Quelles questions posent les jeunes de 11 à 25 ans sur les métiers et les études ?

Il peut sembler pertinent, dans le domaine de l’orientation scolaire et professionnelle, de se demander quelles questions posent les jeunes sur les métiers et les formations. Cela peut même ressembler, au sein de la pédagogie de l’information, à une sorte de préalable. Pourtant, très peu de recherches, à notre connaissance, ont abordé le sujet. Notre étude rend compte de la forme (syntaxique) et du contenu (sémantique) des questions que posent les jeunes de 11 à 25 ans sur les métiers et les études. Elle porte sur deux corpus : un corpus de questions récupérées sur le Web et un autre recueillies dans les CIO. L’analyse de contenu met en exergue différentes formes de questions. Nous montrons notamment que les questions posées en fonction des centres d’intérêt représentent moins de 9 % de l’ensemble des questions et que les questions posées en fonction des caractéristiques personnelles seulement 10 à 11 % des questions. Une proportion importante de questions (plus de 40 %) concernent directement la connaissance du système éducatif.In the field of school and career counseling, it is relevant to speculate about the types of questions students ask about occupations and training. This could even be a prerequisite to career information. Nevertheless, in our opinion, relatively little research has actually been carried out in this field. Our study took into account the form (syntactic) and the content (semantic) aspects of questions asked by young people between the ages of 11 and 25, concerning occupations and studies. The corpus studied was twofold: questions on the Internet and questions from a CIO (National Careers Counseling Centre).The content analysis highlighted different question forms. We showed that questions relative to the centers of interest represented less than 9% of all questions, and that those relating to personal characteristics only 10 to 11% of the questions. An important amount of questions (over 40%) directly concerned knowledge of the educational system

La méthodologie des Tests d’utilisabilité au cœur d’un laboratoire dédié :U-Lab - Un Laboratoire ergonomique à la pointe de la technologie

Depuis les années 80, avec l’avènement de l’informatique, le concept d’utilisabilité ne cesse de gagner en intérêt et en popularité. Centrée sur les Technologies de l’Information et de la Communication (logiciels, sites, web…), cette notion se définit comme « le degré selon lequel un produit peut être utilisé, par des utilisateurs identifiés, pour atteindre des buts définis avec efficacité, efficience et satisfaction, dans un contexte d’utilisation spécifié » (norme ISO 9241). Le tout nouveau laboratoire d’utilisabilité (U-Lab) implanté au cœur du Laboratoire de Psychologie du Travail et Psychologie Economique de l’Université Libre de Bruxelles est un instrument performant dans cette évaluation de l’utilisabilité. Lieu privilégié doté d’une technologie de pointe en matière audio-visuelle, ce laboratoire permet l’étude systématique des comportements humains, évitant toute interaction directe des observateurs avec l’utilisateur pendant l’exécution des tâches qui lui sont demandées. Ce dispositif constitue tant un outil de recherche qu’une aide à la conception et à l’amélioration d’applications informatiques. Les recherches menées principalement dans ce laboratoires sont centrées sur :1- l’étude des comportements de recherche et de gestion d’information au travers des composantes informationnelles, systématique et cognitives des activités humaines, 2- l’étude ergonomique d’interfaces informatiques :fonctionnalité, structure, présentation de l’information, navigation, … 3- l’étude des aides au travail :mise en place de formations, de manuels d’emploi pour pallier les difficultés d’usage de certaines applications. Au travers de ce poster, nous présenterons succinctement la méthodologie générale des tests d’utilisabilité (population, déroulement d’une séance de test, mesures…) et nous focaliserons notre attention sur l’organisation du laboratoire, son architecture, son ergonomie et les technologies audio-visuelles employées pour réaliser ces tests. Ces descriptions seront agrémentées de photos et de plans.info:eu-repo/semantics/nonPublishe

Étude des déterminants de la facilité d’utilisation perçue des technologies de l’information et de la communication (TIC): Une contribution à l’étude de l’adoption des technologies en situations professionnelles et d’apprentissage

Cette dissertation pour objectif de contribuer à la compréhension du phénomène d’adoption des technologies de l’information et de la communication (TIC) au travers de l’étude des déterminants de la facilité d’utilisation perçue du Modèle d’Acceptation des Technologies (TAM) de Davis (1989). La partie théorique présente tout d’abord le modèle TAM, ses origines, limites et évolutions, puis s’intéresse aux déterminants de la facilité d’utilisation perçue des technologies et enfin aborde les approches méthodologiques de l’étude des interactions homme-machine. Les études empiriques ont été menées dans le cadre de deux projets et contrats de recherche dans des contextes de demandes d’intervention (e-GRH) ou de projet de conception (Black-Skin), ce qui offre un excellent ancrage écologique. Pour chaque projet, un premier article présente l’évaluation de la technologie mettant en lumière des facteurs pouvant influencer la facilité d’utilisation perçue, ainsi que des apports méthodologiques, et un deuxième article étudie spécifiquement des facteurs d’influence de cette perception de cette facilité d’utilisation dans leurs contextes spécifiques d’usage. Cette thèse apporte un éclairage intéressant des facteurs impliqués dans la perception de la facilité d’utilisation perçue, mais aussi au niveau méthodologique dans l’étude de ces facteurs dans le cadre d’approches ergonomiques tenant compte de l’utilisateur, de la technologie et de son contexte d’usage.Doctorat en Sciences psychologiques et de l'éducationinfo:eu-repo/semantics/nonPublishe

Effet des tests d'utilisabilité sur l'évolution des perceptions d'utilité et d'utilisabilité d'une plateforme web de dermatologie et sur la performance à un test de connaissance

Dans cette étude, nous proposons d’étudier dans quelle mesure la passation de tests d’utilisabilité favorise ou non une évolution positive de la qualité des perceptions (utilité et utilisabilité) de l’utilisateur. L’intérêt pour ces perceptions est central puisqu’elles déterminent les intentions d’usage et l’usage réel de l’outil comme a pu le démontrer le modèle d’acceptation des technologies (TAM) de Davis (1989). Cette recherche menée sur une période de 5 mois auprès de 103 médecins en formation est basée sur l’usage de la plateforme on-line en dermatologie pour peaux noires « Black-Skin » .Deux groupes se différenciant de par leur participation ou non à des tests d’utilisabilité ont été constitués. Lors de la première phase, le groupe 1 participait à des tests en laboratoire d’utilisabilité. Au cours de la deuxième phase, les deux groupes avaient à se préparer à un test de connaissance en dermatologie sur peaux noires via la plateforme Black-Skin. Enfin, lors de la phase 3, les 2 groupes passaient le test de connaissance. A chaque phase a été associé un questionnaire mesurant l’utilité et l’utilisabilité perçue sur base des items proposés par Davis (1989). Les résultats de cette étude nous permettent de montrer que la familiarisation avec l’outil (par le biais des tests d’utilisabilité) constitue un moteur à l’évolution de la facilité d’utilisation perçue ainsi qu’à son utilité perçue et qu’elle a un effet significatif sur la performance au test de connaissance. En effet, du point de vue de l’utilisabilité perçue, nous constatons une évolution significative des perceptions uniquement pour le groupe qui a participé aux tests d’utilisabilité (entre passations 1 et 3, et passations 2 et 3). De plus, nous observons une différence significative entre les deux groupes lors de la 3ème passation. Nous pouvons déduire que la familiarisation ciblée sur les fonctionnalités principales de la plateforme par le biais de tests d’utilisabilité constitue réellement un moteur à l’évolution de la facilité d’utilisation de l’outil. Du côté de la perception de l’utilité, bien que l’on ne constate pas de différence significative entre le groupe 1 et le groupe 2, on observe toutefois que la familiarisation favorise l’évolution de la perception de l’utilité de l’outil :pour le groupe 1, nous avons pu observer une augmentation significative de l’utilité perçue entre les passations 2 et 3. Enfin, au niveau de l’acquisition de connaissances, nous constatons qu’une familiarisation précoce et accrue avec l’outil favorise la performance au test de connaissances. Même si le temps d’utilisation n’est pas significativement différent entre le groupe 1 et le groupe 2, c’est au niveau de la qualité de l’apprentissage que nous pourrions orienter nos hypothèses. De nouvelles pistes de recherche se dégagent. La familiarisation avec l’outil favorise-t-elle la qualité de l’apprentissage ?L’amélioration de la facilité d’utilisation perçue serait-elle la raison d’une amélioration de la qualité d’apprentissage ou inversement la perception d’une bonne performance au test de connaissances influence-t-elle la perception de la facilité d’utilisation ?info:eu-repo/semantics/nonPublishe

Analysis of the survey HR BSC – Solvay

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L’e-learning :l’ergonomie à la rencontre de la formation et de la gestion des savoirs

Résumé de L'ouvrage :L'objectif de cet ouvrage est de fournir le panorama le plus large possible des travaux francophones actuels menés en ergonomie de conception de produits (en particulier les systèmes interactifs) pour des situations professionnelles centrées sur l'activité, la formation…) ou hors travail (loisirs, éducatives…), et sur l'étude des activités de services médiatisées. L'ouvrage apporte un ensemble riche et diversifié de connaissances, et des repères à la fois méthodologiques et pratiques sur les évolutions thématiques actuelles traitées en ergonomie, comme la prise en compte des émotions dans l'analyse de l'activité et la conception, l'expérience « utilisateur », l'informatique ubiquitaire et ses applications à l'habitat domestique, les communautés « en ligne » ou encore la conception de produits ludo-éducatifs ou de systèmes à base de « réalité augmentée ». Il propose également des éclairages sur les liens entre l'ergonomie et d'autres disciplines impliquées dans la conception de produits, comme le design et le marketing. Le public visé par cet ouvrage comprend les ergonomes, chercheurs et praticiens, les étudiants et tous ceux qui s'intéressent à l'analyse des activités humaines, à la conception et l'évaluation de produits ou de services (designers, sociologues, spécialistes du marketing, concepteurs informaticiens, etc.).info:eu-repo/semantics/publishe

Black-Skin Dermatology Online Project: Study of usage

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Présentation du laboratoire de psychologie du travail et psychologie économique.

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L’acceptation des technologies on-line, une question d’utilisabilité ?

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