25 research outputs found

    Urinary Trichomoniasis among Sexually Activethai Females

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    Soins traditionnels donnes aux nouveau-nés et nourrissons dans le district sanitaire de Kloto (Togo) : risques et avantages

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    Purpose: Evaluate the traditional practices of management of neonates and infants, to identify practices to encourage and practices to discourage in the promotion of child health in the health district of Kloto.Population and methods: it was a quantitative and qualitative cross-sectional investigation, conducted from May 28 to June 14, 2008 in the health district of Kloto, and which involved 21 traditional birth attendants, 21 tradipractitioners, 70 pregnant women, 70 lactating women and 70 neonates and infants 0-6 months.Results: more than nine out of ten tradipractitioners received consultation of newborns and infants. They administered care as oral decoction (4.8%), body massage (33.3%) and bath (57.1%). Thirty percent of the neonates had received their first bath since the birth and seventy percent within the first 24 hours of life. They had already received an indefinite nature ophthalmic ointment in 50% of cases. Neonates whose umbilical cord had been treated with ash or Shea butter were in 100% of cases in rural areas. More than eight traditional birth attendants on 10 (83.3%) knew that infants must take the first feeding as soon as its first hour of life. Two-thirds (66.7%) of traditional birth attendants in urban areas and the third party (33.3%) in rural areas felt that the first administration of water and complementary foods to infants should be before 6 months of age. According to 81.7% to 90% of pregnant women the customary time for initiation of infants at the first feeding is the hour after birth. They threw the colostrum in 20% or more of cases. According to 9 out of ten pregnant women first administration of water to the infant was traditionally after 6 months of age of the infant. The traditional time of the introduction of the first baby food is the period of 2 to 6 months of age of the infant, declared by over three quarters of pregnant women. These pregnant women actually introduced the first food to their babies before there one month of age in 100% of cases in urban areas and 75% of cases in rural areas. Introduced food type was porridge or other liquids in almost 100% of cases. According to the majority of lactating women, the customary time for initiation of infants at the first feeding is the hour after his birth. They directly used colostrum in 97.1% of cases. The traditional time of the first administration of water to the baby is before 6 months of age of the infant according to 9 out of 10 mothers. And according to 78.6% of these mothers, the introduction of the first baby food is traditionally from the sixth month of age of the infant. Introduced food type was porridge or other liquids in more than 90% of cases, the pulp or other foods in 1.6%.Conclusion: This study to measure the degree of involvement of the practitioners in the health of children, and we reflect the reality of beneficial or harmful traditional practices.Keywords: Traditional care, newborn and infant, risks and advantages, TogoJ. Rech. Sci. Univ. Lomé (Togo), 2012, Série D, 14(2) : 27-3

    Profil des parasitoses intestinales chez les enfants ages de 0 a 5 ans au Togo.

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    Objective: To value the pertinence of the deparasitage says "systematic" at Togo, while establishingparasitic profile of the five sanitary regions of the country.Patients and methods: We conducted a retrospective study carrying on 2009 positive parasitological stool exams of under 5 years old children received in consultation and / or hospitalized in pediatricsservices of the Teaching Hospital Center of Kara and of the Regional hospital Center of Dapaong, Sokodés, Atakpamés, and Tsévié, from January 1st, 1999 to December 31, 2001, either a period of 3years.Results: On the 2009 positive parasitological stool exams, 61% came from boys and 39% from girls. The children the more touched were aged of more than 12 months, with a predominance of children of 48 at 60 months (34.45%). Diarrhea (41.3%), abdominal pains (23.6%) and vomits (17.7%) were the main motives of demand of stools exam. The parasitic groups isolated were protozoa (75.5%), helminths (20%) and fungi (4.5%). Monoparasitism (83.5%) was the most frequent means ofinfestation. The associations to two parasitic species have been recorded in 14.5% of cases and associations to three parasitic species were rather rare.Conclusion: The deparasitage says "systematic" in Togo should include imidazole, anthelminthic aiming the round worms and the flat worms, and sometimes an antifungal. Objectif : Evaluer la pertinence du déparasitage dit « systématique » au Togo, en établissant le profil parasitaire des cinq régions sanitaires du pays.Patients et méthodes : Nous avons réalisé une étude rétrospective portant sur 2009 examens parasitologiques de selles positifs des enfants de 0 à 5 ans reçus en consultation et / ou hospitalisésdans les services de pédiatrie du CHU – Kara et des CHR de Dapaong, Sokodé, Atakpamé, et Tsévié, du 1er Janvier 1999 au 31 Décembre 2001, soit une période de 3 ansRésultats : Sur les 2009 examens parasitologiques des selles positifs, 61% provenaient des garçons et 39 % des filles. Les enfants les plus touchés étaient âgés de plus de 12 mois, avec une prédominancedes enfants de 48 à 60 mois (34,45 %). La diarrhée (41,3 %), les douleurs abdominales (23,6 %) et les vomissements (17,7 %) étaient les principaux motifs de demande d’examen des selles. Les groupesparasitaires isolés étaient les protozoaires (75,5 %), les helminthes (20%) et les champignons (4,5 %). L e mode d’infestation le plus fréquent était le monoparasitisme (83,5 %). Les associations à deuxespèces parasitaires ont été enregistrées dans 14,5 % des cas et les associations à trois espèces parasitaires étaient plutôt rares.Conclusion : Le déparasitage dit « systématique » au Togo devrait comporter les imidazolés, les antihelminthiques visant les vers ronds et les vers plats, et parfois un antifongique.

    Evaluation de la prise en charge des infections respiratoires aiguĂŞs chez les enfants de moins de 5 ans au Chu de Lome (Togo)

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    Introduction : La PCIME est une stratégie élaborée par l’OMS et l’UNICEF en vue de réduire la mortalité ainsi que la fréquence et la gravité des maladies les plus meurtrières chez l’enfant.Objectif : Evaluer la prise en charge des IRA chez les enfants de moins de 5 ans hospitalisés au CHU –Tokoin de Lomé au regard des directives de la stratégie PCIME (Prise en Charge Intégrée des Maladies de l’Enfant).Patients et Méthodes : Nous avons réalisé une étude rétrospective portant sur 378 dossiers de patients de moins de 5 ans hospitalisés pour IRA du 1er janvier 2004 au 31 décembre 2005 dans le service de pédiatrie du CHU – Tokoin, hôpital de référence du pays.Résultats : La fréquence hospitalière était de 5,81%. Les enfants de moins de deux ans étaient plus atteints (79,80%). Les garçons sont plus touchés (sex ratio=1,4). Près de la moitié des enfants avaient leurvaccination à jour (48,67%) ; 52,91% des enfants de moins de 2 ans étaient allaités au sein Les signes cliniques étaient classiques dominés par la toux (78,04%), la fièvre (67,19%) et les signes de lutte respiratoire 52,91% des cas. La pneumonie (31%) et la bronchite aiguë (24,60%) ont été les formes les plus fréquentes. La malnutrition protéino énergétique a été retrouvée chez 53,96% des enfants, l’anémie dans 47,35%. La prise en charge thérapeutique des malades ne correspond pas à cellerecommandée par les directives de PCIME, notamment avec une trop large utilisation d’antibiotique (95,50%,) dont 24,66 % pour " une toux ou un rhume "et dans un tiers des cas l’association céphalosporine de 3èmegénération + aminoside a été utilisée (30,75%). Le taux de létalité global était de 5, 03%; La plupart des patients n’ont pas été suivis après la sortie.Conclusion : Cette étude montre clairement les insuffisances de la stratégie classique pour la prise en charge des enfants de moins de 5 ans hospitalisés dans le service du CHU - Tokoin pour infections respiratoires aiguës, par rapport à la stratégie PCIME. Cette stratégie mérite donc d’être vulgarisée à tous les centres hospitaliers en vue d’améliorer la prise en charge des malades

    Capacites des formations sanitaires Ă  assurer la prise en charge et reanimation du nouveau-ne au Togo Capacities of health structures to provide neonatal care and resuscitation in Togo

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    Contexte : Chaque année, environ 10 millions de nouveau-nés ne respirent pas à la naissance, dont près de 6 millions nécessitent une réanimation néonatale de base.Objectif : Déterminer les capacités des formations sanitaires du Togo à assurer la prise en charge et réanimation du nouveau-né, à travers l’analyse de leurs matériels et ressources humaines disponibles.Méthode : Une évaluation nationale des besoins en soins obstétricaux et néonataux d’urgence (SONU) a été analysée et les informations sur la prise en charge etréanimation du nouveau-né ont été collectées. Toutes les formations sanitaires offrant des SONU, leurs ressources humaines, équipements, médicaments et fournitures pour la prise en charge et réanimation néonatales ont constitué les paramètres étudiés.Résultats : Des 864 formations sanitaires pratiquant l’accouchement, 3,7% offraient les SONU, soit 24 SONU complets et 8 SONU de base. En tout 14,9% d’entre ellesassuraient la prise en charge et réanimation du nouveau-né. L’absence de la prise en charge et réanimation néonatales dans les 85,1% de formations sanitaires restantes était due à un manque d'équipement (79%) et de formation (74,3%). Environ 48,5% de l’ensemble du personnel de santé qualifié du Togo pratiquait cette fonction. Le taux de mortalité néonatale intra-partum et néonatale très précoce était de 83,7‰.Conclusion : L’évaluation des besoins en SONU a révélé une faible capacité du système de santé togolais à assurer la prise en charge et réanimation du nouveau-né, à l’origine d’une forte mortalité néonatale. Un renforcement de l’équipement des formations sanitaires et de la formation des prestataires en soins et réanimation néonatale s’impose pour améliorer la survie du nouveau-né.Mots clés : Système de santé, Ressources humaines, Soins périnatals, Réanimation néonatale, Mortalité périnatale, Togo.ABSTRACTContext: Every year about 10 millions newborns do not breathe at the birth, of which about 6 millions require basic resuscitation.Objective: To determine the human and material resources available for neonatal care and resuscitation in Togo.Method: An assessment of the needs in obstetrical and neonatal emergent care (ONEC) has been analyzed and information on neonatal care and resuscitation has been collected. All health care centres offering ONEC, with their human resources, their facilities, their medicines and medical supplies for neonatal care and resuscitation were the studied parameters.Results: of the 864 health care centres practicing deliveries, 3.7% offered ONEC, of which 24 complete ONEC and 8 basic ONEC. 14.9% of them provided neonatal care and resuscitation. The remaining 85.1% health care centres could not provide neonatal care and resuscitation because of a lack of equipment (79%) and neonatal care and resuscitation training (74.3%). 48.5% of the whole health human resources of Togo trained in neonatal care and resuscitation were practicing it. The intra-partum stillbirths and very early neonatal death rate was 83.7‰.Conclusion: The assessment of the needs in ONEC has revealed a weak ability of the Togolese Health System to provide newborn care and resuscitation which is the cause of a high neonatal mortality rate. Intensification of the neonatal care and resuscitation training and of the equipment of the health care centres is imperative to improve the newborn’s survival.Keywords: Health system, human resources, perinatal care, neonatal resuscitation, perinatal mortality, Togo

    Alimentation du nouveau-ne et du nourrisson dans la region centrale du togo : pratiques familiales et communautaires avant la mise en oeuvre de la strategie « prise en charge integree des maladies de l’enfant »

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    Aim: To assess neonate and infant feeding in the central region of Togo.Methods : Set out from 29th March to 8th April 2004, in that region, the cross-sectional study concerned a random sample of 983 households, 506 caretakers and 733 under-five children. Through Epi-info and SPSS softwares, we studied mainly breastfeeding, breast milk substitutes and weaning practices.Results: Out of the 733 children, 52% were males and 48% females, 27% less than one year and 21.6% between 12 and 23 months. After delivery, 29.3% of infants were breastfed within one hour, and 75.6%within the first 24 hours. Children got colostrum in only 78.4% of the cases. We noted insufficient breast milk flow in 53.1% of the mothers and water, the main substitute given to 21% of the children. Until 6 months, 57.7% of the children were exclusively breastfed. Only 9.5% of the infants were breastfed until 23rd month. Complementary foods were averagely introduced at 6 months for water, pap, “Diuri” (a plant decoction), and 11 months for other family foods. At 18 to 30 months, 65% of mothers stopped breastfeeding, because of pregnancy (7%), insufficient breast milk flow (6%), professional constraints (3%) and death (3%).Conclusion: The study revealed us cultural practices that do not support optimal infant and young children feeding upon which, ssustained efforts have to be made on the sensitization of mothers during CIMCI implementation

    Mortalite hospitaliere des adolescents

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    Cette étude vise à déterminer la mortalité hospitalière des adolescents afin d’apprécier la condition sanitaire des adolescents au Togo.Méthode : Par une étude rétrospective de 4170 dossiers d’hospitalisations, sur deux périodes de 24 mois chacune, soit 3264 en 1996-1997 et 1446 en 2006-2007, nous avons évalué les pathologies et leur évolution, les limites et difficultés de la prise en charge hospitalière des adolescents de 10-14 ans et de 15-19 ans.Résultats : Le taux d’hospitalisation des adolescents a été de 8,85% sur les deux périodes. Les deux tiers de l’effectif étaient des jeunes de 15-19 ans. Les services de gynéco-obstétrique (43%) et de pédiatrie (25%) ont été les plus fréquentés par les adolescents. Ont prédominé, les pathologies liées à la sexualité (40,98%), essentiellement chez l’adolescente de 15-19 ans (98,55%) et les maladies infectieuses(23,08%), surtout chez les jeunes de 10-14 ans (68,26%). Le taux de mortalité a été de 5,58%, avec une surmortalité des adolescents de 15-19 ans (68,9%) et surtout des filles (sex ratio: 0,62). Les pathologiesinfectieuses (33%), gynéco-obstétricales (14,4%), neurologiques (14%) et hématologiques (9,1%) ont été les plus meurtrières. Les réponses des services de santé aux besoins de santé des adolescents sont apparues inadéquates. Seuls les services de pédiatrie des centres hospitaliers universitaires disposent d’un environnement propice à une prise en charge multidisciplinaire des adolescents.Conclusion : Cette étude, par le fort taux de mortalité hospitalière des adolescents, a révélé l’ampleur des problèmes de santé de l’adolescent. Elle invite à une recherche sur les stratégies que doit développer lapédiatrie africaine pour une mise en oeuvre de la médecine des adolescents

    Place des intoxications aigues accidentelles dans les urgences pediatriques a Atakpame au Togo

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    Objectif : Déterminer les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, thérapeu-tiques et évolutives des intoxications aiguës accidentelles dans un hôpital régional en zone rurale au Togo où comme dans lespays en voie de développement certaines pratiques traditionnelles peuvent être néfastes.Patients et Méthodes : Il s’agit d’une étude de dossiers de 134 enfants des deux sexes âgés de 0 à 15 ans, hospitalisés pour intoxications aiguës accidentelles au cours des années 1994 à 2003 au CHR d’Atakpamé (un hôpital régional) au Togo.Résultats : Les intoxications aiguës accidentelles représentaient 1,08% des hospitalisations et 3% des urgences pédiatriques. Près de 2 enfants sur 3 (62,68%) étaient âgés de moins de 5 ans (âge moyen 4,52ans ±3,34). Le sex ratio est de 1,31. L’alcool éthylique occupait la première place (41,79%) suivi par le pétrole (20,89). L’intoxication par le pétrole prédominait entre 1et 2 ans et celle de l’alcool entre 3 et 5ans. L’intoxication par les caustiques était la plus grave. Les pesticides étaient retrouvés dans 8,96% des cas.Certains enfants ont reçu à domicile avant leur admission à l’hôpital de l’huile rouge (13,43%) du lait (5,22%) ou du miel (2,24%). Le traitement hospitalier comprenait l’élimination du toxique par les vomissements provoqués et la diurèse forcée dans un quart des cas (24,62%), les gestes de réanimation (aspiration des voies aériennes supérieures,  oxygénothérapie) chez un malade sur cinq (23,13%), un traitement symptomatique chez deux tiers des enfants (67,91%). Le taux de guérison était de 97,01% au décours d’un séjour moyen de 2,64 jours. Le taux de létalité était faible (0, 74%).Conclusion : Les intoxications aiguës accidentelles demeurent toujours un réel problème de santé publique notamment en milieu rural ; elles sont dominées par les accidents domestiques dont l’issue est souvent fatale. leur prévention efficace devra passer par une approche à la fois médiatique, épidémiologique et communautaire

    Etiologies et pronostic de l’insuffisance renale de l’enfant a l’hopital universitaire de Lome

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    But. Déterminer l’incidence, les aspects cliniques, étiologiques et évolutifs de l’insuffisance rénale (IR) de l’enfant et les pathologies associées au centre hospitalier universitaire de Lomé (Togo).Méthode. De janvier 2005 à décembre 2007, tous les cas consécutifs d’IR admis dans les services de pédiatrie du CHU de Lomé ont fait l’objet d’une étude prospective à partir d’une fiche d’enquête préétablie. Age, sexe, diurèse, surface corporelle, délai d’admission, observation clinique, étiologies, pathologies associées, indications de dialyse, examens para cliniques, durée d’admission et évolution du malade ont été les paramètres étudiés.Résultats. Sur 14468 enfants admis durant la période d’étude, 92 (0,63%) atteints d’IR ont fait l’objet de cette étude, soit 50 garçons et 42 filles (sex ratio:1,19) avec un âge moyen de 6,30 ± 5 ans. La plupart des patients (80,44%) ont été admis au moins une semaine après le début de l’IR. A l’admission, l’IR était aiguë (IRA:80,43%) ou chronique (IRC:19,57%), oligurique (45,65%), non oligurique (36,96%) ou anurique (17,39%). L’indication de dialyse a concerné 50 patients (54,34%) dont 68% d’IR oligurique et 32% d’IR anurique, mais seuls 20% ont pu l’effectuer. En tout, 39,13% d’étiologies primitives et 60,87% de secondaires ont été enregistrées. Syndrome néphrotique (17,39%) et glomérulonéphrite aiguë (6,52%) étaient les principales étiologies primitives de l’IR aiguë, et paludisme à P. falciparum (21,73%) et septicémie (15,21%), les principales étiologies secondaires. L’anémie était la pathologie associée la plus fréquente, présente chez tous les patients, seule (23,91%) ou associée à d’autres pathologies (76,08%). Le retard à l’admission (80,44%), l’inaccessibilité à la dialyse (80%), les étiologies primitives d’IR (39,13%) et l’association de plusieurs pathologies (76,08%) étaient liés à la plupart des décès. Le taux de mortalité général a été de 47,82%. Les difficultés financières des parents, la rareté des unités de dialyse etl’inexistence d’un service de néphrologie ont été les obstacles majeurs à la prise en charge efficace de l’IR.Conclusion. La plupart des causes d’IR dans cette étude sont évitables. Des mesures préventives pertinentes, la création d’un service de néphrologie et de nouvelles unités de dialyse peuvent réduire lamorbidité et la mortalité de l’IR de l’enfant.Mots clés: Insuffisance rénale, enfant, étiologie, pathologie associée, dialyse, évolution, Togo

    Place Du VIH / SIDA Chez Les Enfants Admis A La Pouponniere Sainte Claire De Lome (TOGO)

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    Introduction : La place de l’infection VIH/SIDA chez les enfants placés en pouponnière étant insuffisamment documentée dans notre pays, le présent article cherche à déterminer le profil social, l’évolution pondérale et le devenir des enfants à sérologie positive au VIH à la pouponnière Sainte Claire de Lomé qui accueille les enfants abandonnés ou en situation difficile.Patients et méthodes : Il s’agit d’une étude cas-témoin du 1er janvier 1997 au 31 décembre 2002 chez les enfants ayant une sérologie au VIH positive dépistée à l’admission à la Pouponnière Sainte Claire (PSC) de Lomé. Les témoins étaient des enfants séronégatifs pour le VIH, de même origine sociale, et reçus pendant la même période que le cas.Résultats : Parmi 192 enfants admis à la PSC, 111 ont été dépistés pour le VIH dont 18 avaient une sérologie positive (16,2%). Au moins trois enfants sur quatre (78%) à sérologie positive à l’admission avaient été des abandonnés et admis plus tardivement que les séronégatifs (79% vs 57%), Au moins trois enfants sur quatre (78%) à sérologie positive à l’admission (14/18) étaient des abandonnés alors que les orphelins ne représentaient que 17% des cas (3/18), le reste des enfants 5% (1/18) avait été de autres statuts (mère malade mentale, mère incarcérée).Parmi les enfants séropositifs suivis jusqu’à 18 mois (nombre) (66,7%) ont négativé leur sérologie entre 7 et 14 mois. Deux enfants restés séropositifs à 18 mois étaient infectés par le VIH. Il n’y a pas de différence significative entre la fréquence de consultation (2,56 vs 2,46 consultations par mois, p= 0,202), ni d’hospitalisation (22% vs 17%) entre les enfants à sérologie positive à l’admission et les enfants groupe témoin.Tous les enfants à sérologie négative et abandonnés à l’admission ont été adoptés avant l’âge de 1 an contre 25% des enfants à sérologie positive avant l’âge de 1an. Les 3/4 (75%) des adoptions dans le groupe des enfants à sérologie positive à l’admission et abandonnés se sont faites au Togo contre 40% des enfants à sérologie négative. Les enfants à sérologie positive arrivaient tardivement à la PSC (plus d’enfants séropositifs étaient admis tardivement et de façon significative au-delà d’un mois (43% vs 21%), p < 0,001 ) et ils avaient été plus souvent abandonnés. Cela suppose que la séropositivité pourrait être l’une des raisons de l’abandon de ces enfants par les parents. Mais pris en charge dans de bonnes conditions médicosociales, ils avaient une évolution pondérale normale, comparable à celle des enfants à sérologie négative. Conclusion : En attendant que soit suffisamment documentée la place du VIH dans l’abandon des enfants, les campagnes de sensibilisation sur le VIH / SIDA devraient prendre en compte les données de cette étude.Mots clés : Enfants, infection à VIH, pouponnière, Togo, Afrique.ABSTRACTBackground: More children were abandoning in difficult condition in our countries. What is the place of VIH/AIDS infection in this situation?Objective: To specify the social profile, the weight evolution and the outcome of children HIV- positive at Sainte Claire nursery at Lomé to contribute to understand the reasons of children abandoning (givenup) in Lomé (Togo).Method: It is retrospective study about taking care of children HIV-positive during a period of 6 years (January 1997 to December 2002).Results: Out of 192 children admitted in the institution 111 were checked (58%) and 18 were HIVpositive (16%). Most of them (78%) were abandoning and lately after 3 months, orphans were 17%. Among the children who were not really infected, two children for tree (66.7%) lost the HIV antibody between 7 and 14 mouths. Two children were positive at 18 months. The weight evolution was normal for all the HIV-positive children.Most of HIV- positive children (75%) were adopted at Togo against 40% of HIV-negative children. The HIV- positive children were admitted lately on the nursery and most of them abandoned. These suppose perhaps the HIV- positively could be an important reason for children abandoning by their parents. But taking in care correctly and not discreditably they were weight evolution normal.Conclusion: This information is important for HIV/AIDS sensitization campaign in ours countries.Keywords: Children HIV- positive, difficult situation, nursery, Togo, Africa
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