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THERMAL BIOCLIMATE CONDITIONS IN THE ALPINE REGIONS OF AUSTRIA
Data of 46 climate stations located from 1000 m to 3105 m a.s.l. were used to describe the thermal human bioclimate conditions in the alpine regions of Austria. Austria possesses a dense network of climate stations with daily measurements and observations of air temperature, relative humidity, wind velocity and mean cloud cover at 7, 14 and 19 LMT . To show the special climate conditions in alpine regions the behaviour of this parameters in relationship to the human energy balance is used to give a description of the effect of the thermal environment on humans. The importance of topography leading to inversions during the cold seasons and clothing resistance to modify the individual thermal bioclimate will be shown exemplarily
Turbulent CO2 and H2O flux measurements with an eddycovariance-system over a wheat field in the Upper Rhine Valley (Project INTERREG IIIa 3c.10)
International audienc
Impacts des changements climatiques sur le comportement de la végétation dans le fossé Rhénan
D’après des résultats de modèles, le changement climatique régional se manifestera par des étés plus chauds et plus secs dans la région du Rhin supérieur en Europe centrale. Comme cette région est déjà la plus chaude et la plus sèche d’Allemagne, le Fossé rhénan apparaît bien adapté à de telles recherches interdisciplinaires. Il conviendrait de savoir quelles modifications dans la disponibilité en eau conduiront à des changements dans les récoltes et dans le stockage du carbone dans l’esprit du protocole de Kyoto. Le groupe de travail international, coordonné par l’Institut de Météorologie à Fribourg en Allemagne, s’est fixé pour objectif de répondre à ces questions. Les plantes-test sélectionnées sont le blé (France), le pin (Allemagne) et le maïs (Suisse). En raison de leur rendement, ces espèces végétales ont des demandes en eau différentes (plantes C3 et C4). Avec des méthodes d’investigations novatrices, il est possible d’expliquer la production de biomasse en fonction de la dynamique complexe de l’offre de carbone atmosphérique et de l’alimentation en eau. Le projet nécessite des mesures simultanées sur les trois sites, associées à des analyses en laboratoire et à un traitement des données. Un des résultats de ce projet sera la présentation de bilans régionaux du carbone. Des méthodes de micrométéorologie et de physiologie végétale sont utilisées conjointement. Une détermination micrométéorologique des flux de CO2 avec la méthode des fluctuations sera confrontée à une évaluation physiologique de la transpiration à l’aide des traceurs 13C et 18O et de mesures porométriques. Un bilan est nécessaire pour estimer la capacité de stockage du carbone de l’écosystème. Ceci permettra aux pays participant au projet de disposer de bases plus précises pour équilibrer les capacités de stockage de carbone par la végétation et les émissions polluantes