9 research outputs found

    Drought Stress in Lentil (<i>Lens culinaris</i>, Medik) and Approaches for Its Management

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    Lentil plays an important role for food and nutritional security. It is a sustainable source of protein, zinc, iron, prebiotic carbohydrates, and diverse health-promoting nutrients. This crop is widely cultivated in semi-arid marginal areas and exposed to various environmental stressors. Drought stress is the major abiotic stress that causes serious effects on lentil growth and development. Thus, it is imperative to set up innovative and sustainable solutions to reduce the adverse effects of drought on lentil crop. In this review, the agro-morphological, physiological, and biochemical effects of drought on lentil were highlighted. Furthermore, breeding and agronomic interventions to improve lentil performance in drought-prone environments were also discussed. Overall, drought disturbs lentil germination, photosynthesis, water relations, shoot and root growth, thereby reducing final yield. Conventional breeding programs have identified several sources of drought tolerance; however, modern biotechnological tools could be adopted to decipher the genetic architecture of drought tolerance in lentil to accelerate the genetic progress. Cost-affordable and eco-friendly agronomic practices may also contribute to minimize the negative consequences of drought stress. Smart exploitation of breeding approaches and agronomic practices could help overcome drought, improve lentil productivity, and increase the profitability of farmers in dry areas

    Rponse au dficit hydrique progressif chez la lentille: vers une diffrentiation morpho-physiologique entre des accessions sauvages (Lens orientalis), populations locales et lignes avances (Lens culinaris Medik.)

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    La Lentille (Lens culinaris Medik.) contribue la scurit alimentaire et la durabilit des systmes agricoles. La tolrance la scheresse est un objectif majeur pour la cration varitale. Cette tude visait la comparaison des rponses des populations locales, accessions sauvages Lens orientalis et des lignes avances au stress hydrique progressif en pots sous serre. Les accessions sauvages ont dmontr une grande tolrance au stress hydrique par rapport aux lignes avances et populations locales. Elles avaient un ratio des racines/la matire sche arienne, contenu relatif en eau des feuilles, une dpression de la temprature du couvert et une stabilit de la membrane cellulaire plus levs ainsi qu’une svrit de fltrissement et un taux de perte d’eau des feuilles plus faible. Une diffrentiation gntique claire pour la tolrance la scheresse entre les trois groupes gntiques a t montre. Diffrentes rponses morpho-physiologiques du matriel gntique ont t observes, correspondant diffrents mcanismes de tolrance la scheresse. Les accessions sauvages, les lignes avances et les nouvelles varits amliores INRA Maroc A3, A4, A5, A6 et A7 ainsi que la lentille de Zaer, une population locale bnficiant d’un label de qualit connue dans le pays, ont t identifies comme les plus tolrantes la scheresse parmi le matriel gntique tudi. Ces accessions pourraient tre utilises dans les programmes d’amlioration gntique dans la perspective de dvelopper des varits tolrantes la scheresse. Lentil (Lens culinaris, Medik.) is one of the world’s most important food legumes, contributing to food security and sustainable farming. Drought tolerance is a major objective of breeding programs. This work aimed at comparing genotypes with different genetic background (landraces, Lens orientalis wild accessions and elite advanced lines) under two watering regimes (well-watered; progressive water deficit). Drought tolerance was assessed based on morphological and physiological parameters: leaves’ relative water content and water losing rate, cell membrane stability, canopy temperature, root/shoot ratio, seedling vigor, wilting severity and harvest index. The evaluation was carried out in a greenhouse pot experiment using three replications. Wild accessions were more drought tolerant than advanced lines and landraces. They had higher root/shoot ratio, leaves’ relative water content, canopy temperature depression and cell membrane stability and lower wilting severity and leaves’ water losing rate. Discriminant factor analysis highlighted a clear genetic differentiation for drought tolerance between the three genetic groups. Different morpho-physiological responses of the studied genetic material have been observed corresponding to different drought tolerance mechanisms. Wild accessions, advanced lines and new improved INRA Morocco varieties A3, A4, A5, A6 and A7 as well as lentil of Zaer, a specific landrace with specific quality mark distinction known in the country, were identified as the most drought tolerant among the studied material. These accessions could be used in genetic improvement programs for developing drought tolerant varietiesThe accepted manuscript in pdf format is listed with the files at the bottom of this page. The presentation of the authors' names and (or) special characters in the title of the manuscript may differ slightly between what is listed on this page and what is listed in the pdf file of the accepted manuscript; that in the pdf file of the accepted manuscript is what was submitted by the author

    MÉDIATEUR INTERCULTUREL: <p>&nbsp;</p><p>ANR LIMINAL</p>

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    Prenant acte de l'absence de médiation interculturelle paire, le programme ANR Liminal a initié le diplôme universitaire Hospitalité, médiations, migrations (H2M) Inalco. Des médiateurs de la promotion Ulysse (2020-2021), reviennent dans ces capsules-vidéo à quelques questions sur leurs pratiques de la médiation et sur des mots de la migration, tels qu'abordés dans le site Migralect.org, auquel plusieurs d'entre-eux ont participé.&nbsp;Lien vers DU Hospitalité, médiations, migrations (H2M) </p

    COLLOQUE FINAL ANR LIMINAL (3): MIGRALECTE / Langues et migrations

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    Que font aux langues les espaces sociaux de la migration ? De quelles façons mettent-elles à l’épreuve les politiques migratoires ? Que deviennent les sujets et les langues sur le qui-vive face à la langue de souveraineté du pays d’arrivée ? Quelles sont les politiques de traduction, le rôle des « traduisants », bénévoles ou salariés impliqués dans l’acte de traduire sans en avoir ni le statut ni la légitimité ? L’expérience migratoire invente-t-elle des bricolages linguistiques spécifiques – un parler de la migration&nbsp;composé d’acronymes, de mots inventés, détournés ou codés, de schibboleths, utilisés par les exilés mais aussi,&nbsp;parfois, par les solidaires et les administrations de l’asile&nbsp;? Et si c’est le cas, comment qualifier ce «&nbsp;migralecte&nbsp;», le collecter et l’analyser, restituer sa charge subjective, ses violences –&nbsp;coloniales, racialisées, policières&nbsp;–, et ses&nbsp;puissances&nbsp;–&nbsp;de dérision, de résistance, de subversion ? Ces questions ont mobilisé les chercheurs du programme multidisciplinaire LIMINAL (Linguistic and Intercultural Mediations in a context of International Migrations, Agence nationale de la recherche / Inalco) pendant quatre intenses années. Aux frontières franco-italiennes et franco-britanniques, dans les campements et structures d’Ile de France, dans des centres d’accueil parfois isolés, à Calais, Paris ou Vintimille, les membres de l’équipe ont repéré ces mots utilisés à l’oral, observé leurs usages et élaboré une méthodologie d’analyse avec les locuteurs exilés et réfugiés. Ce programme résolument et nécessairement collaboratif a appréhendé la place des langues pour ce qu’elle est : une question politique, celle du sens, entre subalternisation et gestion des indésirables. Partir de la langue c’est en effet aborder « la vie souterraine » des exilés selon l’expression d’Erving Goffman, celle qui n’est pas connue des « dominants » de l’asile ; prendre pleine mesure de sa centralité, c’est également interroger sa minoration dans les études des migrations ; évaluer les manques de traduction, c’est enfin s’engager dans la formation de médiateurs pairs, c’est-à-dire dans une professionnalisation des traduisants, tel que le propose le DU&nbsp;Hospitalité, médiations, migrations&nbsp;(Inalco)&nbsp;depuis deux ans&nbsp;maintenant. Pour présenter les résultats de LIMINAL et réfléchir aux enjeux du cosmolinguisme constitutif des situations de migration, le colloque s’articulera autour de plusieurs ateliers, nommés par quelques-uns des plus de 400 mots du migralecte constitué&nbsp; : welcome,&nbsp;border,&nbsp;&nbsp;violence&nbsp;–&nbsp;en anglais et en français, mais utilisés ou compris&nbsp;dans&nbsp;bien d’autres langues&nbsp;;&nbsp;tarjuman&nbsp;en farsi,&nbsp;tarjoman&nbsp;en pachto,&nbsp;dalmechar&nbsp;en ourdou&nbsp;–&nbsp;l’interprète au sens large ; shiou’iyin littéralement le « communiste » en arabe soudanais, terme désignant bénévoles et militants ;&nbsp;agent, en anglais, ourdou et persan,&nbsp;muharrib&nbsp;en arabe&nbsp;&nbsp;ou&nbsp;&nbsp;samssari&nbsp;en tigrinya&nbsp;–&nbsp;le passeur,&nbsp;&nbsp;opposé au sens plus neutre du fonctionnaire de police ou de l’agent de sécurité en français;&nbsp; muhajir, l’exilé, le réfugié en arabe mais aussi en dari et pachto&nbsp; ; Yunan&nbsp;–&nbsp;la Grèce, antique terme qui viendrait de Ionie&nbsp;;&nbsp;yôdegôri&nbsp;en farsi «&nbsp;souvenir de&nbsp;», et enfin&nbsp;boza, migralecte aux sens multiples… Ces table-rondes, avec des communications courtes et des coordonateurs-intervenants, regrouperont différents acteurs de la solidarité et de la recherche, du documentaire et de l’art, dans la droite ligne des ateliers réflexifs du Briançonnais (14-16 mai 2021). Entre lingua franca&nbsp;et&nbsp;persona non grata, la&nbsp;Lingua (non) grata, intitulé du colloque comme de l’ouvrage collectif* à paraitre fin 2021, entend contribuer à « déprovincialiser » – au sens de Dipesh Chakrabarty –, la xenobureaucratie et ainsi à penser les conditions politiques d’une hospibabélité.</p

    Effet du système de travail du sol sur les propriétés chimiques du sol sous différents génotypes de lentille et de pois chiche

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    No-tillage (NT) practice as a principal component of conservation agriculture (CA) aims to improve soil quality and crop productivity. The potential advantages of crop legumes under NT system could be enhanced even further by using performant genotypes that act positively on soil nutrient availability. According to that, the current study aims to assess the postharvest soil chemical properties after harvesting some lentil and chickpea genotypes, in conventional (CT) and no-tillage (NT) systems. The assessed properties include soil pH, available phosphorus (P), exchangeable potassium (K), nitrate content (NO3), total nitrogen (TotN), and soil organic matter (SOM) in approximately 30 cm of depth. Sowing chickpea under NT system had significantly increased soil P, K, NO3 and TotN by 8 %, 17 %, 54 % and 13 %, respectively, while soil pH has decreased slightly by 3 %, with non-relevant effect on SOM. All soil chemical properties recorded negative correlation with soil pH. Accordingly, the best responder genotypes to NT system for chickpea crop were 71771 genotype that enhanced P and K levels by 40% and 30%, respectively, and PI269882 genotype that enhanced NO3 and TotN by 55% and 27%, respectively, likewise, PI564775 genotype enhanced K and NO3 by 17% and 80%, respectively. On the other side, the best responder genotypes to NT for lentil crop were ZR-7 genotype that enhanced P and K levels by 25% and 10%, respectively, and LR8 genotype that enhanced NO3 by 41%. In conclusion, the use of best-suited legume genotypes to no-tillage system could be a promising alternative to improve soil fertility and crop yield productivity even further.La pratique du semis direct (SD), en tant que composante principale de l’agriculture de conservation (AC), vise à améliorer la qualité des sols et la productivité des cultures. Les avantages des légumineuses cultivées sous le système SD pourraient être encore améliorés en utilisant des génotypes performants qui agissent positivement sur la disponibilité des éléments nutritifs dans le sol. Dans ce sens, la présente étude vise à évaluer les propriétés chimiques du sol après la récolte de certains génotypes de lentille et de pois chiche, dans des systèmes semis conventionnel (SC) et semis direct (SD). Les propriétés évaluées comprennent le pH du sol, le phosphore disponible (P), le potassium échangeable (K), la teneur en nitrates (NO3), l’azote total (TotN) et la matière organique du sol (MOS) à environ 30 cm de profondeur. Le semis de pois chiche sous le système SD a augmenté de manière significative le P, le K, le NO3 et le TotN du sol de 8 %, 17 %, 54 % et 13 % respectivement, tandis que le pH du sol a légèrement diminué de 3 %, avec un effet non pertinent sur la MOS. Toutes les propriétés chimiques du sol ont enregistré une corrélation négative avec le pH du sol. En conséquence, les génotypes les plus répondeurs au système SD pour la culture de pois chiche étaient le génotype 71771 qui a amélioré les niveaux de P et de K de 40 % et 30 %, respectivement, et le génotype PI269882 qui a amélioré le NO3 et le TotN de 55 % et 27 %, respectivement, de même le génotype PI564775 a amélioré le K et le NO3 de 17 % et 80 %, respectivement. De l’autre côté, les génotypes les plus répondeurs au SD pour la culture de lentille étaient le génotype ZR-7 qui a amélioré les niveaux de P et de K de 25 % et 10 %, respectivement, et le génotype LR8 qui a amélioré le NO3 de 41 %. En conclusion, l’utilisation des génotypes de légumineuses les plus adaptés au système semis direct pourrait être une alternative prometteuse pour améliorer encore davantage la fertilité des sols et la productivité des cultures

    Effet du système de travail du sol sur les propriétés chimiques du sol sous différents génotypes de lentille et de pois chiche

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    La pratique du semis direct (SD), en tant que composante principale de l’agriculture de conservation (AC), vise à améliorer la qualité des sols et la productivité des cultures. Les avantages des légumineuses cultivées sous le système SD pourraient être encore améliorés en utilisant des génotypes performants qui agissent positivement sur la disponibilité des éléments nutritifs dans le sol. Dans ce sens, la présente étude vise à évaluer les propriétés chimiques du sol après la récolte de certains génotypes de lentille et de pois chiche, dans des systèmes semis conventionnel (SC) et semis direct (SD). Les propriétés évaluées comprennent le pH du sol, le phosphore disponible (P), le potassium échangeable (K), la teneur en nitrates (NO3), l’azote total (TotN) et la matière organique du sol (MOS) à environ 30 cm de profondeur. Le semis de pois chiche sous le système SD a augmenté de manière significative le P, le K, le NO3 et le TotN du sol de 8 %, 17 %, 54 % et 13 % respectivement, tandis que le pH du sol a légèrement diminué de 3 %, avec un effet non pertinent sur la MOS. Toutes les propriétés chimiques du sol ont enregistré une corrélation négative avec le pH du sol. En conséquence, les génotypes les plus répondeurs au système SD pour la culture de pois chiche étaient le génotype 71771 qui a amélioré les niveaux de P et de K de 40 % et 30 %, respectivement, et le génotype PI269882 qui a amélioré le NO3 et le TotN de 55 % et 27 %, respectivement, de même le génotype PI564775 a amélioré le K et le NO3 de 17 % et 80 %, respectivement. De l’autre côté, les génotypes les plus répondeurs au SD pour la culture de lentille étaient le génotype ZR-7 qui a amélioré les niveaux de P et de K de 25 % et 10 %, respectivement, et le génotype LR8 qui a amélioré le NO3 de 41 %. En conclusion, l’utilisation des génotypes de légumineuses les plus adaptés au système semis direct pourrait être une alternative prometteuse pour améliorer encore davantage la fertilité des sols et la productivité des cultures
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