17 research outputs found

    Protection of Historical Monuments in People's Poland

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    THE TRAINING OF RESTORERS AT THE FACULTY OF ARCHITECTURE, TECHNICAL UNIVERSITY, WARSAW

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    In curricula of studies at the Faculty of Architecture, Technical University, Warsaw from its beginings datin back to 1915 up to the present day has been included as subject the conservation of monuments with a total of ab,out 30 hours of lectures in the course of the fourth year. These lectures have as their general purpose to make the fu tu re architect fam'iliar with problems of conservation of monuments and also with those connected with their adaptation to requirements of modern life. A specialized training in this field is being conducted within the Faculty in form of post-graduaUon courses of conservation which have been made accessible not ,only for architects but also for those representing other disciplines and through their everyday professional work linked with problems of monument protection. ,The curriculum of this two-year course covers the following lines: theory of conservation of monuments, h'istory of building a rt in Poland, methodology of investigations, survey and photographic records, technical problems involved in conservation of monuments, the scope of restorers work, revaluation of historical centres of towns, landscape protection, legal and organizational problems. The above courses have been started in 1970 and it is likely that their curriculum will be subjected to some modifications as a result of experiences gathered

    UdziaƂ paƄstwa w opiece nad pomnikami kultury

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    La derniĂšre guerre a fo r tement endommagĂ© bien des monuments de P o logne. ImmĂ©diatement aprĂšs la guerre, 1111 groupe de conservateurs, fort bien prĂ©parĂ©s, s ’est mis au travail. Il s ’est e ffo r c Ă© de rĂ©soudre Ă  sa maniĂšre les problĂšmes de conservation dont la po r tĂ© e Ă© ta it inou ĂŻe jusque lĂ . On 11e se bornait pas alors Ă  conserves les monuments e x istan ts, mais, en bien des cas, comme Ă  Varsovie, il fa llu t reconstruire des monuments entiĂšrement dĂ©truits. On eut l’id Ă© e de tirer pro fit des monumen ts et de les faire servir Ă  la vie contemp o raine et sociale. Pour m ieu x assurer la rĂ©alisation de ces tĂąches, on organisa toute une sĂ©rie d ’ate lier s sp Ă© c ia u x de conservation: d ’architecture, de peinture, de dĂ©coration et de g raphiq ue. On organisa aussi des Ă©tudes de conservation prĂšs l ’AcadĂ©mie de Beau x Arts de Varsovie et l’École SupĂ©rieure des Arts P la stiques de Cracovie. Lors des tr a v a u x de conservation, 011 se contenta au dĂ©but d ’une assurance provisoire, mais ensuite, en 1946, 011 appliqua une maniĂšre du rable et cela dans 370 cas. La r Ă©alisation de ces entreprises fut rendue possible grĂące aux crĂ©dits adm in is tr a tifs du MinistĂšre de la Culture et des Arts ainsi qu ’à c eu x du Plan P u b lic d ’inv e stissements. O 11 put alors ex Ă©cu te r les plus grands tra v au x d’a ssurance, en a p p liq u an t les moyens de construction modernes, comme pour l’ég lise de N o tr e -D am e Ă  GdaƄsk et la CathĂ©drale de WrocƂaw. Le - Service Public de C on se rv a tion a encore d ’autres tĂąches Ă  remplir, entre autres s ’occuper des monuments dĂ© truits par la guerre ainsi que des monuments ab an donnĂ©s de l’a r ch ite ctu re fo r tifiĂ© e d e s p a la is et des chĂą teaux . Des gardiens sp Ă© c ia u x veillent sur les monuments inhabitĂ©s. La so c iĂ©tĂ© v ien t ici Ă©g a lem en t en aide, ce qui permet d ’espĂ©rer que la lutte pour la conservation de l ’a sp e c t de la c iv ilisa tio n po lon aise sera couronnĂ©e de succĂšs

    Nowe odkrycia w dziedzinie architektury romaƄskiej w Polsce

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    Les tra v aux de conservation et de recherches opĂ© r Ă©s dans diverses parties de la Pologne ont apportĂ© un certain nombre de curieuses dĂ© couvertes d ’a r ch ite ctur e romane. L’auteur, ne dĂ©sirant que les communiquer Ă  ses lecteurs, se contente de les esquisser. La plms importante est c elle qui a mis Ă  nu les piliers d ’entre les ne fs de la basiliqu e de S t r z e 1 n o. Lorsqiron eut en lev Ă© le murage du XV III-e s., on v it apparaĂźtre la riche dĂ©coration de sculptu re des colonnes du X I-Đ” s., dĂ©coration qui recouvrait aussi bien les fĂ»ts que les bases et les ch a p ite a u x . D e u x d ’entre les quatre colonnes dĂ© couvertes ont un e dĂ©coration de figures,- a vec 36 reprĂ©sentations de sa ints ou de figures sym b o liq ue s dans des cadres architectoniques. Les deux autres colonnes ont une dĂ©coration ornementale. T1 n’y a dĂ© dĂ©coration de figures que sur les ch ap iteau x . Cette dĂ©coration des colonnes qui prouve une interprĂ©tation toute po lon aise de la pla stiq ue rom ane est une dĂ© couverte des plus importantes; e lle permet d’élucider le problĂšm e de l ’atelier a r tistique qui app araissait de plus en plus nettement dans la P o lo gn e du XIT-e s. Ces sculptures acquiĂšrent une importance encore plus grande si 011 les compare a u x vestig es romans de Cz erwiƄsk, de Turn prĂšs de Ɓ ę c zy ca ou des portails de Gniezno et de PƂock. Les scu lp ĂŒ ire s de Strzelno se ra tta chent Ă  l ’a c tiv itĂ© de la fam ille des ƁabędĆș, et pa r ticu liĂšremen t de Pierre Wszeborowicz. A T v n i e c (voĂŻev. de Cracovie), on a dĂ©couvert, pendant la guerre, dans la partie sud de l ’ég lise le fragment d’une chap e lle romane allon g Ă©e , a vec des colon ne ttes adossĂ©es et un portail Ă  redans, ainsi que les murs infĂ©rieurs du rĂ©fe cto ire roman dans la partie du couvent. Lors des tra v a u x de conservation op Ă© r Ă©s Ă  S u l e j Ăł w (voĂŻev. de ƁódĆș), on a dĂ©couvert, dans le mur oriental du choeur, 3 fenĂȘtres de sty le roman a v anc Ă© , ainsi que le fragment d ’une ch ap e lle a vec une pe tite fenĂȘtre romane. O11 a Ă©g a lem en t dĂ©couvert toute une sĂ©rie de fragments de la ta ille de pierre romane. En 1946 et 47, on a dĂ©couvert les Ă©brasures prim itiv e s des fenĂȘtres des tours romanes de l ’ég lise de st AndrĂ© Ă  C racovie , du XI/XII s., des parties de co lon ne s e t des bases. La dĂ© couverte la plus curieuse est celle d’une tribune e x tĂ© r ieu r e entre les tours, avec une ouv erture de triphorium, des colonnes fort bien conservĂ©es et leurs chap iteau x . ' Les recherches opĂ© r Ă©e s dans l’é g lis e baroque a c tu e lle des PP. P aulin s Ă  S k a Ƃ k a (Cracovie), ont amenĂ© la dĂ©couverte, dans le mur sud de l’ég lise , des fon d a tion s d ’une construction Ă© ta b lie sur un plan rectangulaire, p eut-ĂȘ tre mĂȘme carrĂ©. Le prof. Szy szko -B oh Ăčsz, qui dirige les recherches, su p p o se — d’aprĂšs une mention de D Ƃu g o sz sur un e „Ecclesia rotunda“ qu’il s ’a g it lĂ  des fond a tion s d ’une rotonde. La rotonde de st N ico la s, Ă  C i e s z y n , est construite sur le p lan d ’un cercle de 6,50 m. de diamĂštre intĂ© rieu r et des murs de 1,30 m. d’épa isseur . A l’est, une abside d’un rayon de 1,40 m. se rattache au cercle du mur; la voĂ»te de l’abside e st une demi-coupole, c e lle de la rotonde, une coupole entiĂšre. A l ’in tĂ© rieu r de la rotonde en fa c e de l ’absid e, on a trouv Ă© les bases des colonnes, 2 Ă  part dans la n e f et 4 adossĂ©es qui sou ten a ien t la tribune du choeur. Un e sc a lier c reu sĂ© dans l’épaisseur du mur m en a it au choeur. Ëtant donnĂ© le m anq ue de mentions Ă©crites, le revĂȘtement ultĂ© rieu r en brique et le manque de d Ă© ta ils, il est d iffic ile d ’é tablir l ’époque Ă  la q u e lle remonte cette construction. On ne peut que constate r son app a rtenan ce au g roupe de constructions centrales rĂ©pandues chez les TchĂšques au dĂ©but du m o y en Ăą g e et qui se rattachent au sp lend ide pro to type — la rotonde de st Guy Ă  P ra gu e (930). A G n i e z n o , on a dĂ©terrĂ© les fond a tion s d ’une chape lle ronde Ă  3 ab sides, Ă  cĂŽtĂ© de la CathĂ©drale. Ces fon d a tion s ava ien t Ă©tĂ© dĂ©couvertes, dĂšs 1932, par l’év ĂȘq u e Laubitz et a v a ien t Ă© tĂ© reconnues par le prof. Szy szko -Boh usz et Da lbo r pour les ve stig es d’une anc ien ne rotonde romane. L’observation du mur fit constater Ă  l’auteur que ces fond a tion s proviennent de la chape lle de Ɓaski, construite au XVI-e s. D ’aprĂšs les recherches de l ’auteur, la rotonde p r im itiv e qui contena it la d Ă©pou ille de st Albert, s e trouvait Ă  l’intĂ©rieur de la cathĂ©dra le actuelle. L’auteur a retrouvĂ© les restes de ces fondations lors des fouille s de 1947

    LE PROBLÈME DE LA RECONSTRUCTION DU CHATEAU DU POINT DE VUE DE LA FORME EXTÉRIEURE ET DE L’INTÉRIEUR

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    Le chĂąteau royal est le principal monument historique de Varsovie. Il a fallu des siĂšcles pour le construire, aussi, sa reconstruction doit-elle fidĂšlement reproduire son aspect historique avec toutes les retouches de style. On pourra alors utiliser une grande partie des f ragment, authentiques d’architecture qui seront posĂ©s sur l’ancien emplacement. D’autre part, la reconstruction doit se faire selon la technique et le matĂ©riel les plus modernes. Ainsi, le chĂąteau ressuscitĂ© ne perdra rien de sa valeur essentielle au point de vue de l’architecture et en tant que monument historique. Il en est de mĂȘme des intĂ©rieurs qui ont Ă©tĂ© reconstruits Ă  l’aide de tous les nombreux fragments authentiques, sauvĂ©s du dĂ©sastre, de dĂ©coration, — dos meubles sau vĂ©s et conservĂ©s, d ’objets dĂ©coratifs di spersĂ©s en de nombreuses collections et magasins, de sorte que. une fois la forme extĂ©rieure du chĂąteau reconstruite, on en trouverait le corrĂ©latif en une suite d’intĂ©rieurs historiques de grande beautĂ© et qui constituent notre acquit culturel. J.es unties parties du chĂąteau dĂ©viaient ĂȘtre reconstruites en des formes neutres ou qui puissent ĂȘtre rattachĂ©es Ă  celles (pie nous prĂ©sente le matĂ©riel i conographique. Naturellement, il faut, lues de la reconstruction des intĂ©rieurs, appliquer les procĂ©dĂ©s de la technique la plus moderne afin de donner au chĂąteau une pleine valeur utilitaire. Ainsi comprise, la reconstruction du chĂąteau en tant que monument de la culture et de l’histoire polonaise, sera en mĂȘme temps une nouvelle et magnifique acquisition technique et culturelle de la Pologne Populaire

    Stare Miasto Warszawa wraca do ĆŒycia

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    Linus Birchler 1893-1967

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    METHODS APPLIED FOR PRESERVATION AND REHABILITATION OF HISTORICAL URBAN CENTRES

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    Both the Polish and international experiences are apparently showing th a t the way to effective prese rvation and rehabilitation of historical centres within the urban organisms is to be considered as one extremely difficult as it requires from those responsible for it to be many-sidedly acquainted with the structure and life of a given town, with directions and trends governing its transformation and reconstruction and above the all to control these transformations in a manner enabling the putting into effect all theses and requirements set forth by conservators. On this way a need will arise to make the use of methods which might be divided into the following three groups: I. Cognition through historical studies, detailed inventorying surveys of the present state (using both architectural and town-planning methods), architectural investigations (using a method of historical stratification of objects investigated), testing technical conditions, inventorying survey of technical equipment, analysis of actual use, demographic data; II. Defining the range and directions for preservation and rehabilitation through establishing of protection zone for a given site, delimitating of detailed protection areas, detailed studies for the centre’s development, proposals and drafts for infrastructure, preliminary economical appraisal of works undertaken; III. Detailed planning of action — determining the p a rt played by the centre within the town’s general plan, defining and locating the programme of utilization, dislocation and translocation of inhabitants, defining the stages of realisation and detailed economical appraisal

    Mury i Barbakan Starej Warszawy

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