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    Les adénomes hypophysaires, épidémiologie, classification, traitement chirurgical et évolution à long terme ( à propos de 452 cas).

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    les adénomes hypophysaires sont des tumeurs bénignes, ils représentent 10 à 20% des tumeurs intracraniennes : Matériels et methodes : 452 cas d’adénomes hypophysaires entre 1983 et 2011. Résultats : délai de diagnostic de 24 mois en moyen, avec hypertension intracrânienne (24.6%), le déficit neuro-ophtalmologique (9.5%), ainsi que le déficit hormonal (21.7%). Avec 11.5% de nos patients admis en cécité totale, et 28.5% admis avec une acuité visuelle très altérée. microadénomes (10.6%), adénomes intrasellaires (12.6%), macroadénomes grade A (7%), grade B (7.5%), grade C (20%), grade D (12%), grade E (30.3%). selon le type de sécrétion : 31% des prolactinomes, 30.5% des adénomes non fonctionnels, 16% des adénomes corticotropes, 14.6% des adénomes somatotropes, 6.6% des adénomes à sécrétion plurihormonale, et mois d 1% des adénomes thyréotropes et gonadotropes. 60 % de nos patients étaient traités chirurgicalement. Par voie transsphénoidale dans 83.3% des cas, par voie endocranienne dans 11.5% des cas. L’abord transphénoidal suivi d’une craniotomie a été préconisé dans 5.2% des cas. Les complications post opératoire immédiate ont été observées dans 32.7% des cas avec : 10.8% de rhinorrhée, 6.4% de coma post opératoire, 8% de méningite, et 1.5 % de déficit neurologique, avec une mortalité post opératoire globale de 7.8% (14% dans les adénomes géants). Le recul varie de 6 mois à 28 ans, et montre une amélioration ophtalmologique dans 61% des cas, (33.5% en cas d’acuité visuelle très altérée). Par ailleurs, une amélioration de la fonction endocrine a été notée dans environ 80% des cas de déficit hormonal, et environ 60% des cas d’hypersécrétion hormonale
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