12 research outputs found
CARACTÉRISATION DES RÉSIDUS DES FORMULATIONS MICROENCAPSULÉES DE PARATHION MÉTHYL. NOUVELLE MÉTHODE APPLICABLE AUX VÉGÉTAUX TRAITÉS AINSI QU'AUX ABEILLES ET A LEURS PRODUITS
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MÉTHODE DE COMPTAGE AUTOMATIQUE DES GRAINS DE POLLEN : ÉTUDE DE LA PRODUCTION POLLINIQUE CHEZ LE TOURNESOL (HELIANTHUS ANNUUS L., COMPOSITAE)
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Learning and discrimination of honey odours by the honey bee
We used classical conditioning of the proboscis extension response to test whether
the natural discrimination ability of honey bees could be used to assess the origin
of honeys. Five honeys were used as the conditioning stimuli in the procedure: linden
(Tilia spp.), oilseed rape (Brassica napus), eucalyptus, sunflower
(Helianthus annuus), and black locust (Robinia pseudoacacia). Bees exhibited
high levels of conditioned responses to all honey odours. Responses to the conditioned
honey were usually the highest, but high levels of generalisation; i.e. behavioural
response to other honeys, were recorded. Using a differential conditioning procedure
where one honey odour was rewarded and another odour was explicitly unrewarded, we showed
that honey bees could not always differentiate between honey types. The potential use of
the honey bee as a biological detector to discriminate among honeys is discussed
Genetical studies of nectar and pollen production in sunflower
The composition and quantitative characteristics of nectar and pollen production were studied in 2 series of parental lines and the hybrids obtained from a factorial cross. Nectar analysis by gas chromatography and enzyme electrode technology were compared; the former was found to be the most satisfactory. Nectar sugar composition was very stable, with 52% fructose and 48% glucose. Sucrose was rarely present in trace amounts. Significant differences were found in the volume of nectar per floret, percentage dry matter and energy value per floret. Heritable effects appeared most clearly for nectar volume per floret. The number of pollen grains per floret varied between plants but there were significant genotypic and parental effects. Possible relations between nectar and pollen production and agronomic characteristics are discussed.Études de la variabilité génétique de la production de nectar et de pollen chez le tournesol. La composition et les caractéristiques quantitatives des productions de nectar et de pollen ont été étudiées sur 2 séries de lignées de tournesol et les hybrides issus de leurs plans factoriels de croisement (6x6 et 3x3). Des analyses du nectar par chromatographie en phase gazeuse et par une méthode électrolytique ont été comparées. Si la corrélation entre les valeurs moyennes par génotype mesurées par les 2 méthodes est significative, celle entre les valeurs par plante ne l'est pas, surtout parce que la méthode électrolytique fait apparaître des concentrations de saccharose qui sont inexactes selon les analyses en chromatographie (tableau I). Ainsi seule la chromatographie peut être utilisée. La composition des sucres du nectar est très stable, avec aucune différence significative entre 12 lignées et leurs 36 hybrides (tableau II). Il y a environ 52% de fructose et 48% de glucose. Le saccharose est rarement présent et en faible quantité. Il existe des différences significatives entre génotypes en ce qui concerne le volume de nectar par fleuron (tableau III), le pourcentage de matière sèche (tableau IV) et la valeur énergétique par fleuron (tableau V). Le volume de nectar par fleuron est la variable pour laquelle les effets héritables paraissent les plus nets; une lignée, GH, produisant 0,26 μl par fleuron, donne des hybrides avec en moyenne jusqu'à 0,31 μl par fleuron. Alors que les autres génotypes produisent en moyenne 0,10 μl /fleuron. Le nombre de grains de pollen par fleuron varie entre plantes d'un même génotype. Néanmoins il y a des effets génotypiques (tableau VI) et parentaux (tableau VII) pour ce caractère. Le nombre de grains par fleuron moyen varie de 25 218 à 42 087 selon le génotype. Aucune relation avec la résistance ou sensibilité au Sclerotinia n'apparaît en ce qui concerne les productions de nectar et de pollen (tableau VIII). Il y a une tendance pour que les génotypes produisant moins de pollen soient un peu plus riches en huile, mais la corrélation n'est pas significative
The 'relics of Joan of Arc':a forensic multidisciplinary analysis
Archaeological remains can provide concrete cases, making it possible to develop, refine or validate medico-legal techniques.In the case of the so-called ‘Joan of Arc's relics’ (a group of bone and archaeological remains known as the ‘Bottle of Chinon’), 14 specialists analysed the samples such as a cadaver X of carbonised aspect: forensic anthropologist, medical examiners, pathologists, geneticists, radiologist, biochemists, palynologists, zoologist and archaeologist. Materials, methods and results of this study are presented here.This study aims to offer an exploitable methodology for the modern medico-legal cases of small quantities of human bones of carbonised aspect