Uncoupling Which-Way Information from Interference: A Novel Interference Experiment using a Super-Focused Laser Beam

The generally accepted view in quantum theory is that information about which way the quantum system traveled and interference visibility are complementary. In all which-way experiments, however, an intervention takes place in the interference process in order to determine which way the quantum system took. This intervention can imply the tagging of a which-way marker to a quantum system or, for instance, blocking off one of the paths in a Mach-Zehnder interferometer so that one indirectly knows that the quantum system took the other (open) path. It is, however, this intervention that destroys the interference. In this paper a novel two-slit which-way interference experiment will be discussed and proposed for implementation that provides maximum which-way information without intervening in the interference process so that simultaneously maximum interference visibility remains preserved. This, in fact, implies an uncoupling of which-way information from interference and consequently also entails violating the duality relation P^2+V^2<1. Basically, the purpose of the proposed experiment and of this paper is to scrutinize this duality relation. The experiment makes use of a super-focused laser beam that is launched into only one of the two slits of the two-slit interference experiment

UNCOUPLING WHICH-WAY INFORMATION FROM INTERFERENCE: A NOVEL INTERFERENCE EXPERIMENT USING A SUPER-FOCUSED LASER BEAM

The generally accepted view in quantum theory is that information about which way the quantum system travelled and interference visibility are complementary. In all whichway experiments, however, an intervention takes place in the interference process in order to determine which way the quantum system took. This intervention can imply the tagging of a which-way marker to a quantum system or, for instance, blocking off one of the paths in a Mach-Zehnder interferometer so that one indirectly knows that the quantum system took the other (open) path. It is, however, this intervention that destroys the interference. In this paper a novel two-slit which-way interference experiment will be discussed and proposed for implementation that provides maximum which-way information without intervening in the interference process so that simultaneously maximum interference visibility remains preserved. This, in fact, implies an uncoupling of which-way Concepts of Physics, Vol. III (2006) 211 information from interference and consequently also entails violating the duality relation P 2 +V 2 ≤ 1. Basically, the purpose of the proposed experiment and of this paper is to scrutinise this duality relation. The experiment makes use of a superfocused laser beam that is launched into only one of the two slits of the two-slit interference experiment

On Heisenberg Uncertainty Relationship, Its Extension, and the Quantum Issue of Wave-Particle Duality

Within the path integral Feynman formulation of quantum mechanics, the fundamental Heisenberg Uncertainty Relationship (HUR) is analyzed in terms of the quantum fluctuation influence on coordinate and momentum estimations. While introducing specific particle and wave representations, as well as their ratio, in quantifying the wave-to-particle quantum information, the basic HUR is recovered in a close analytical manner for a large range of observable particle-wave Copenhagen duality, although with the dominant wave manifestation, while registering its progressive modification with the factor 1-n2, in terms of magnitude n∈[0,1]. of the quantum fluctuation, for the free quantum evolution around the exact wave-particle equivalence. The practical implications of the present particle-to-wave ratio as well as of the free-evolution quantum picture are discussed for experimental implementation, broken symmetry and the electronic localization function

Le journal des demoiselles : analyse littéraire et médiatique d'un journal pour les jeunes filles du Second Empire

Le présent travail propose une analyse littéraire et médiatique d'un journal pour les jeunes filles du Second Empire, le Journal des demoiselles (1833 - 1922). Il s'inscrit dans la recherche sur les relations entre la presse et la littérature au XIXe siècle. L'étude exhaustive des années 1855 et 1856 de ce périodique permet de proposer l'hypothèse de la proximité entre la littérature et la presse destinées à la jeunesse au cours de ce siècle. Elle veut également démontrer et confirmer que le journal pour les enfants est redevable d'une analyse littéraire, à l'instar de l'imprimé pour les adultes. Cette recherche s'articule autours de trois chapitres : le premier retrace l'histoire du périodique pour les enfants depuis ses origines jusqu'à la fin du XIXe siècle. Il met l'accent, d'une part, sur les aspects sociaux, économiques et éditoriaux qui accompagnent l'évolution historique de cette presse spécialisée et, d'autre part, sur les rapports qu'ont entretenus les milieux journalistiques et littéraires tout au long de cette période. Replaçant le Journal des demoiselles dans son contexte historique, ce chapitre dépeint dans un deuxième temps le portrait historique et editorial du périodique. La seconde partie s'attarde plus longuement sur l'imaginaire social qui se déploie dans les numéros étudiés. Le dépouillement et l'étude sociocritique du périodique permettent d'observer et de dégager la dimension sociale du texte, notamment les pratiques et les idées transmises en termes d'éducation. Il s'agit d'examiner par cette analyse la manière dont les idéaux et les valeurs de la rédaction se mettent en place dans les contenus de l'imprimé. Le dernier volet s'interroge sur la manière dont les rédacteurs du journal offrent une représentation des pratiques et des rites sociaux de la demoiselle. L'analyse se fonde sur le relevé des nombreuses stratégies narratives mises en oeuvre dans les articles et permet de montrer que les procédés littéraires utilisés confortent et contribuent au discours idéologique du journal

Existe-t-il un droit commun des droits de l'homme au travers du dialogue entre les juridictions ? La contribution de la Cour européenne des droits de l'homme à l'élaboration du droit international des droits de l'homme au travers de sa jurisprudence comparée, tant comme co-auteur des normes que comme "récipiendaire" des développements inaugurés par d'autres juridictions

Dans le cadre du présent mémoire, nous nous interrogerons sur la possible formation d’un droit commun des droits de l’homme au travers du dialogue entre les juridictions et plus spécifiquement, sur la contribution de la Cour européenne des droits de l’homme à l’élaboration du droit international des droits de l’homme par le biais de sa jurisprudence comparée, tant comme co-auteur des normes que comme « récipiendaire » des développements inaugurés par d’autres juridictions. La question sous-jacente sera celle de l’émergence progressive d’une jurisprudence globale convergente en matière de droits de l’homme et ce faisant, d’un « jus commune » des droits de l’homme grâce à l’interaction entre ces différentes juridictions. Une première partie du travail sera consacrée à l’examen factuel du dialogue des juridictions dans le domaine de la protection des droits fondamentaux. Dans ce cadre, nous nous intéresserons dans un premier temps à la jurisprudence comparée de la Cour européenne des droits de l’homme, c’est-à-dire à la présence de références externes dans la jurisprudence strasbourgeoise. Dans un second temps, nous évoquerons l’influence inverse, à savoir le rayonnement international et national de la jurisprudence de la Cour européenne, en examinant les renvois explicites à la jurisprudence de Strasbourg dans l’activité des autres juridictions. Dans une deuxième partie, plus théorique, nous distinguerons les différents types de dialogues qui peuvent se nouer entre les juges dans le domaine des droits de l’homme et nous mettrons en avant les raisons de ces dialogues. Enfin, une troisième et dernière partie sera dédiée à une évaluation critique du dialogue des juges. Dans ce cadre, nous énoncerons d’abord les critiques qui peuvent être émises à l’égard de la technique du référencement externe et nous essayerons ensuite d’analyser le phénomène du point de vue de la théorie du droit.Master [120] en droit, Université catholique de Louvain, 201