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    Prévalence de l’hépatite B chez les personnes infectées par le VIH à Parakou au Bénin

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    Introduction: la co-infection avec l'hépatite B est l'un des défis majeurs de la prise en charge du VIH depuis l'amélioration de l'accès aux  antirétroviraux en Afrique. La présente étude visait à estimer la prévalence de l'hépatite B chez les personnes séropositives au VIH à Parakou et décrire les facteurs associés. Méthodes: il s'agit d'une étude transversale menée de Mai 2011 à Juin 2012 dans le service de Médecine du CHU de Parakou. Ont été inclus tous les adultes séropositifs au VIH vus en  consultation ou hospitalisés. Les données ont été collectées par interviews et dépouillement de dossiers médicaux. L'antigène HBs a été recherché par un test rapide et l'ALAT a été dosé. L'analyse des données a été faite avec le logiciel EpiInfo 3.5.1. Les proportions ont été comparées grâce au test de Chi-deux ou au test de Fisher au seuil de significativité de 5%. Un modèle de régression logistique multivariable a permis d'expliquer la prévalence de l'hépatite B.Résultats: sur les 744 sujets inclus on a dénombré 555 femmes. L'âge moyen était de 35,5 + 10,1 ans. La  prévalence de l'hépatite B a été estimée à 16,9% (IC95 : 14,3%-19,9%). Cette prévalence était plus élevée chez les sujets originaires du  Borgou/Alibori et ceux au stade 4 de l'OMS. Conclusion: la prévalence de la co-infection VIH/VHB au CHU Parakou est élevée. Le dispositif national de prise en charge et de prévention de l'hépatite B chez les personnes  séropositives au VIH doit être renforcé

    Tuberculosis screening among ambulatory people living with HIV: a systematic review and individual participant data meta-analysis

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    BACKGROUND: The WHO-recommended tuberculosis screening and diagnostic algorithm in ambulatory people living with HIV is a four-symptom screen (known as the WHO-recommended four symptom screen [W4SS]) followed by a WHO-recommended molecular rapid diagnostic test (eg Xpert MTB/RIF [hereafter referred to as Xpert]) if W4SS is positive. To inform updated WHO guidelines, we aimed to assess the diagnostic accuracy of alternative screening tests and strategies for tuberculosis in this population. METHODS: In this systematic review and individual participant data meta-analysis, we updated a search of PubMed (MEDLINE), Embase, the Cochrane Library, and conference abstracts for publications from Jan 1, 2011, to March 12, 2018, done in a previous systematic review to include the period up to Aug 2, 2019. We screened the reference lists of identified pieces and contacted experts in the field. We included prospective cross-sectional, observational studies and randomised trials among adult and adolescent (age ≥10 years) ambulatory people living with HIV, irrespective of signs and symptoms of tuberculosis. We extracted study-level data using a standardised data extraction form, and we requested individual participant data from study authors. We aimed to compare the W4SS with alternative screening tests and strategies and the WHO-recommended algorithm (ie, W4SS followed by Xpert) with Xpert for all in terms of diagnostic accuracy (sensitivity and specificity), overall and in key subgroups (eg, by antiretroviral therapy [ART] status). The reference standard was culture. This study is registered with PROSPERO, CRD42020155895. FINDINGS: We identified 25 studies, and obtained data from 22 studies (including 15 666 participants; 4347 [27·7%] of 15 663 participants with data were on ART). W4SS sensitivity was 82% (95% CI 72-89) and specificity was 42% (29-57). C-reactive protein (≥10 mg/L) had similar sensitivity to (77% [61-88]), but higher specificity (74% [61-83]; n=3571) than, W4SS. Cough (lasting ≥2 weeks), haemoglobin (<10 g/dL), body-mass index (<18·5 kg/m2), and lymphadenopathy had high specificities (80-90%) but low sensitivities (29-43%). The WHO-recommended algorithm had a sensitivity of 58% (50-66) and a specificity of 99% (98-100); Xpert for all had a sensitivity of 68% (57-76) and a specificity of 99% (98-99). In the one study that assessed both, the sensitivity of sputum Xpert Ultra was higher than sputum Xpert (73% [62-81] vs 57% [47-67]) and specificities were similar (98% [96-98] vs 99% [98-100]). Among outpatients on ART (4309 [99·1%] of 4347 people on ART), W4SS sensitivity was 53% (35-71) and specificity was 71% (51-85). In this population, a parallel strategy (two tests done at the same time) of W4SS with any chest x-ray abnormality had higher sensitivity (89% [70-97]) and lower specificity (33% [17-54]; n=2670) than W4SS alone; at a tuberculosis prevalence of 5%, this strategy would require 379 more rapid diagnostic tests per 1000 people living with HIV than W4SS but detect 18 more tuberculosis cases. Among outpatients not on ART (11 160 [71·8%] of 15 541 outpatients), W4SS sensitivity was 85% (76-91) and specificity was 37% (25-51). C-reactive protein (≥10 mg/L) alone had a similar sensitivity to (83% [79-86]), but higher specificity (67% [60-73]; n=3187) than, W4SS and a sequential strategy (both test positive) of W4SS then C-reactive protein (≥5 mg/L) had a similar sensitivity to (84% [75-90]), but higher specificity than (64% [57-71]; n=3187), W4SS alone; at 10% tuberculosis prevalence, these strategies would require 272 and 244 fewer rapid diagnostic tests per 1000 people living with HIV than W4SS but miss two and one more tuberculosis cases, respectively. INTERPRETATION: C-reactive protein reduces the need for further rapid diagnostic tests without compromising sensitivity and has been included in the updated WHO tuberculosis screening guidelines. However, C-reactive protein data were scarce for outpatients on ART, necessitating future research regarding the utility of C-reactive protein in this group. Chest x-ray can be useful in outpatients on ART when combined with W4SS. The WHO-recommended algorithm has suboptimal sensitivity; Xpert for all offers slight sensitivity gains and would have major resource implications. FUNDING: World Health Organization

    Pleuresies hemorragiques au chu sylvanus olympio de Lome : aspects etiologiques et evolutifs

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    Le but de cette étude était de déterminer les étiologies et de dresser le profil évolutif des pleurésies hémorragiques dans le service de pneumo-phtisiologie du CHU Sylvanus Olympio de Lomé.Matériel et méthode : Il s’agissait d’une étude rétrospective descriptive portant sur l’analyse des dossiers de patients hospitalisés dans le service pour pleurésie hémorragique de janvier 2000 à décembre 2009. Les étiologies néoplasiques ont  té confirmées par l’examen cytohistopathologique du liquide pleural et ou des fragments de biopsie pleurale. En l’absence de preuve d’autres étiologies, les pleurésies hémorragiques survenues chez des patients déjà porteurs d’un carcinome connu ont été considérées métastasiques. Le diagnostic de la tuberculose avait reposé sur des arguments bactériologiques et ou histologiques ou sur une évolution favorable sous traitement antituberculeux.Résultat : Soixante douze cas de pleurésies hémorragiques ont été inclus. Les étiologies étaient dominées par le cancer qui représentait 59,7%. Il s’agissait majoritairement des métastases (58,38%) dont la localisation primitive a été retrouvée dans 69% des cas. La tuberculose était en cause dans 15,3 % et la pancréatite chronique dans 2,8%. L’étiologie était indéterminée dans 22,2 % des cas. Le taux de décès était 30,5% et 58,7 % des patients avaient été perdus de vue après leur sortie de l’hôpital.Mots clés : Pleurésie hémorragique, étiologie, évolution

    Manifestations allergiques chez les enfants de 13-14 ans en milieu scolaire a lome

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    Introduction : Les manifestations allergiques constituent de nos jours un problème de santé publique. Les objectifs cette étude, phase 3 de l’étude ISAAC, étaient de déterminer la prévalence des manifestations allergiques (asthme, rhinite, eczéma et conjonctivite) chez les enfants de 13-14 ans.Méthode d’étude : Il s’agissait d’une étude transversale réalisée de novembre 2001 à janvier 2002 dans 23 collèges d’enseignement général de la ville de Lomé. Les enquêtés étaient des élèves de 13-14 ans, présents en classe le jour de l’enquête et qui avaient donné leur consentement pour y participer. Le questionnaire utilisé était la version française de celui proposé par le centre de coordination de l’étude.Résultats Un total de 3090 élèves, 56,7 % de garçons et 43,3 % de filles, avaient participé à l’étude. Les manifestations évocatrices de l’asthme et de rhino-conjonctivites étaient présentes respectivement chez 16,8 % et 14,6 % des élèves. Les symptômes évocateurs d’eczéma étaient retrouvés chez 10,7 % des enquêtés.Conclusion : Les manifestations allergiques sont des réalités non négligeables au TogoMots-clés : Allergie, prévalence, enfance
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