5 research outputs found

    Effect of time of harvest on the incidence of Fusarium spp. in kernels of silage corn

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    The effect of time of harvest (at 75, 50 and 25% of milkline) on the incidence of kernel-borne Fusarium spp. was examined in four silage corn (Zea mays) hybrids (MAIZEX Leafy 4, NK BRAND Enerfeast 1, PIONEER 37M81 and MYCOGEN TMF94) in Ottawa, Ontario, in 2001 and 2002. Eleven Fusarium species were isolated over the 2 yr. Fusarium subglutinans was the dominant species recovered from 28.8% of the kernels. Other frequently isolated species included F. oxysporum (2.6%), F. graminearum (2.5%), F. proliferatum (0.3%) and F. sporotrichioides (0.2%). Trace amounts (< 0.1%) of the remaining six species, F. avenaceum, F. crookwellense, F. culmorum, F. equiseti and F. solani, were recovered from the kernels. When the kernels were harvested at 75, 50 and 25% of milkline, the incidence of F. subglutinans increased from 20.9 to 26.7 and to 38.7%, respectively; that of F. graminearum increased from 1.7 to 2.9 and to 3.1%; and for the total of the five main Fusarium species it increased from 28.7 to 32.2 and to 42.3%. Incidence of the other species was not affected by harvesting date. Of the four silage corn hybrids, NK BRAND Enerfeast1 had a significantly lower incidence of Fusarium species in kernels than the other hybrids, indicating a genotypic variation in resistance to kernel-borne infection by Fusarium species.L’effet de trois temps de récolte, correspondant à 75, 50 et 25 % de l’état laiteux, sur l’incidence des espèces de Fusarium a été étudié chez les grains de quatre hybrides de maïs (Zea mays) ensilage (MAIZEX Leafy 4, NK BRAND Enerfeast 1, PIONEER 37M81 et MYCOGEN TMF94) en 2001 et 2002 à Ottawa, en Ontario. Onze espèces de Fusarium ont été isolées pendant ces deux années. Le F. subglutinans a été l’espèce dominante, trouvée sur 28,8 % des grains. Les autres espèces détectées ont été les F. oxysporum (2,6 %), F. graminearum (2,5 %), F. proliferatum (0,3 %) et F. sporotrichioides (0,2 %). Des traces (< 0,1 %) des six autres espèces, les F. avenaceum, F. crookwellense, F. culmorum, F. equiseti et F. solani, ont aussi été détectées sur les grains. L’incidence du F. subglutinans a augmenté respectivement de 20,9 à 26,7 puis à 38,7 % en fonction du temps de récolte (75, 50 et 25 % de l’état laiteux), tandis qu’elle a augmenté de 1,7 à 2,8 puis à 3,1 % pour le F. graminearum et de 28,7 à 32,2 puis à 42,3 % pour les cinq espèces principales confondues. L’incidence des autres espèces n’a pas été affectée par les dates de récolte. Parmi les quatre hybrides à l’essai, l’hybride commercial NK BRAND Enerfeast1 a eu la plus basse incidence d’espèces de Fusarium dans le grain, ce qui indique qu’il existe une variation génotypique de la résistance des grains aux infections causées par les espèces de Fusarium

    Pathogenicity of Fusarium species causing head blight in barley

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    The pathogenicity of eight Fusarium species causing fusarium head blight (FHB) in barley was studied under controlled conditions. Six barley genotypes varying in resistance to FHB were artificially inoculated with six isolates each of F. acuminatum, F. avenaceum, F. crookwellense, F. culmorum, F. equiseti, F. graminearum, F. poae and F. sporotrichioides 10-14 d after heading. Symptoms of FHB were rated as disease severity using a 0-9 scale, 4, 7, 14, 21 and 28 d after inoculation, and as percentage of infected spikelets (IS) after 21 d. All species tested caused head blight symptoms on the barley genotypes, but only F. crookwellense, F. culmorum and F. graminearum resulted in severe disease development (> 65% IS) and were considered highly pathogenic. Fusarium avenaceum had 48% IS, which was significantly lower than those of the three highly pathogenic species and was moderately pathogenic. The remaining species had 65 %) et ont été considérés comme fortement pathogènes. Avec un PÉI de 48 %, qui était significativement inférieur à ceux des trois espèces les plus pathogènes, le Fusarium avenaceum a été considéré comme moyennement pathogène. Les autres espèces ont eu un PÉI de moins de 15 % et ont été considérées comme faiblement pathogènes. Des différences significatives (P < 0,05) ont été observées entre les espèces pour l'agressivité parmi les isolats et pour la sensibilité parmi les génotypes d'orge, ce qui suggère que le tri pour la résistance à la FÉ doit faire appel à des isolats agressifs ou à un mélange de plusieurs isolats. C'est la première fois que le F. crookwellense est signalé comme fortement pathogène et le F. avenaceum comme moyennement pathogène sur l'orge
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