45 research outputs found

    Functional evaluation of anterior cruciate ligagment autografts in pre-clinical animal models

    Get PDF
    Introduction Rupture of the Anterior Cruciate Ligament (ACL) affects about 1 person over 3000 every year. The current standard care is based on ligament reconstruction by autograft from tendon tissues and is considered as the gold standard. Yet, autograft reconstruction presents serious limitations. Recent developments in artificial ligaments are promising and could potentially address the currently growing demand from surgeons and patients for an off-the-shelf alternate solution. However, before these can be commonly used in clinical routine, their biocompatibility and biomechanical performance for the short and long terms must be studied in pre-clinical animal models. Building upon the work of [1], we propose in this contribution a methodology for assessing the biomechanical performance of artificial ligaments, and to provide reference data (autografts) using an animal model (sheep) at 3 months after implantation. Materials and Methods Surgery and specimen preparation 14 fresh frozen lower limbs were used in this study, seven left (autograft implantation) and seven right (contralateral) knees. These were harvested from seven sheep sacrificed 3 months after implantation. The biomechanical analysis of the knees consisted of four successive in vitro experiments: three kinematics tests (flexion-extension, varus-valgus laxity and anterior drawer tests) and a pull-out destructive test. Kinematics analysis: flexion-extension and laxity tests The kinematic analysis was performed using specific motorized devices adapted from previously described and validated ones [1]. The protocol combined motion analysis of tripods screwed in the bony structures and 3D personalized reconstruction (figure 1) from low-dose X-ray system (EOS, EOS Imaging, Paris, France) [1,2,3,4]. Pull-out destructive tests The pull-out tests were performed using an INSTRON 5566 testing machine (Instron Ltd., Buckingham-shire, England) instrumented with a 5 kN load cell. After conditioning, a tension load was applied to the specimen (5 mm/min) until total failure. Data analysis: mobility assessment and statistical tests The following parameters were extracted to allow the comparison with the literature [1] (i) Internal rotation Ry (°) value for a 40° flexion angle (Ry_40), (ii) Anterior Tibial Translation (mm) for 100 N loading (ATT_100), (iii) Varus Valgus amplitude (°) at 4 Nm loading (VV_4) and (iv) the Failure load (N) (FL). Results and discussion The results shows a good consistency for kinematic parameters of the contralateral knees. The failure load was clearly different due to the interindividual variability. As concerns the autograft, a reduction of internal rotation during the flexion motion and an increase of the laxity in ATT could be observed. The failure load was also decreased for the grafted knee.This work was supported by the French National Research Agency (ANR project n°ANR-08-ETEC-003

    Prise en charge chirurgicale des traumatismes de la trachée (brèches et ruptures)

    No full text
    Un traumatisme de la trachée doit faire partie des hypothèses formulées face à un emphysème sous-cutané, associé ou non à une dyspnée, survenant dans un contexte d’intubation endotrachéale, de plaies de morsures en regard de l’encolure ou d’accident de la voie publique. L’hypothèse d’une avulsion trachéale doit également être évoquée en présence de difficultés respiratoires s’aggravant brutalement chez un chat ayant accès à l’extérieur ; la possibilité d’une survenue parfois tardive des signes cliniques d’appel, d’une imagerie initiale parfois non contributive, peuvent être piégeuse dans un tel contexte. Le contexte de survenue permet de préjuger de la nature et de la localisation de la lésion, de sa gravité potentielle et d’orienter la décision opératoire. L’indication opératoire est systématique dans un contexte d’avulsion trachéale et de plaies pénétrantes de l’encolure. L’intervention chirurgicale n’est nécessaire que dans environ 21 % des cas dans un contexte d’intubation endotrachéale. Sous réserve d’une prise en charge multidisciplinaire adaptée, le pronostic d’une brèche ou d’une avulsion trachéale est le plus souvent bon en dépit d’une présentation clinique initiale souvent spectaculaire. Les séquelles fonctionnelles sont exceptionnelles et sans gravité

    REMPLACEMENT SEGMENTAIRE DIAPHYSAIRE OSSEUX DE GRANDE TAILLE CHEZ LA BREBIS PAR AUTOGREFFON MASSIF ET IMPLANTS HYBRIDES ASSOCIANT CORAIL MADREPORAIRE ET MOELLE OSSEUSE

    No full text
    Les greffes osseuses permettent de remplacer des pertes de substance osseuse de grande taille. Les autogreffes corticospongieuses donnent de bons résultats mais comportent des inconvénients : quantité souvent insuffisante et douleur persistante au site de prélèvement. Les implants hybrides associant un support ostéo-conducteur à des préparations cellulaires à potentiel ostéogénique offrent une alternative intéressante mais elles donnent pour l'instant des résultats irréguliers. Deux lots de sept brebis ont subi une résection osseuse métatarsienne de 25 mm de long, puis son remplacement par une autogreffe massive prélevée sur l'aile iliaque (groupe 1), ou un implant hybride associant cellules de moelle osseuse autologue et corail (groupe 2). La cicatrisation a été appréciée par radiographies conventionnelles, microradiographies et analyse histologique. Les résultats des deux lots ont été comparés. Toutes les brebis du groupe 1 ont montré une consolidation osseuse alors que seulement trois brebis du groupe 2 ont présenté une consolidation osseuse à 16 semaines. L'autogreffe corticospongieuse massive reste donc le matériau de remplacement de référence. Le potentiel ostéogénique et ostéoinducteur de l'implant hybride doivent être améliorés avant d'en envisager l'utilisation en médecine humaine dans le remplacement des grandes pertes de substance osseuse.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF

    Stabilisation intracapsulaire par un ligament artificiel bioactif pour le traitement de la rupture du ligament croisé antérieur chez le chien - Etude pilote

    No full text
    La rupture du ligament croisé antérieur (RLCA) est une des causes les plus fréquentes de consultation pour boiterie d'un membre postérieur en médecine vétérinaire. Plusieurs techniques chirurgicales sont actuellement utilisées pour la stabilisation du grasset lors de RLCA, mais toutes présentent un taux d'échec trop élevé, en particulier chez les chiens de moyen à grand format (plus de 10%). Les techniques de pose intra-articulaire de ligament artificiel, présentant historiquement un fort taux d'échec (ruptures et synovites), ne sont plus utilisées actuellement. Néanmoins, le ligament artificiel LARSTM a donné des résultats encourageants chez l'Homme et chez la brebis, ce qui nous a amené à l'utiliser dans une étude pilote chez le chien afin de vérifier la faisabilité de son implantation dans cette espèce et d'évaluer les résultats fonctionnels obtenus après implantation. Des ligaments LARSTM greffés avec du PolyNaSS ont été implantés sur cinq chiens présentés au CHUVA pour RLCA. Les résultats fonctionnels obtenus sont satisfaisants (3 cas) à très satisfaisants (2 cas) plus de six mois après l'intervention. Aucune complication majeure n'a été observée. Les complications mineures (3 cas) et les légères instabilités postopératoires (2 à 3 mm) observées sont en accord avec les données de la littérature chez l'Homme avec ce même ligament et chez le chien avec d'autres techniques. Une étude clinique prospective et comparative est d'ores et déjà prévue afin d'évaluer l'existence ou non d'un avantage réel de cette technique par rapport aux autres, notamment par rapport aux techniques d'ostéotomies tibiales.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocTOULOUSE-EN Vétérinaire (315552301) / SudocSudocFranceF

    Intérêt d'un laser chirurgical en clientèle canine

    No full text
    L'acronyme LASER évoque un procédé d'amplification de la lumière par le phénomène d'émission stimulée décrit par Einstein en 1917. Les caractéristiques bien particulières de ce type de rayonnement ainsi que ses interactions avec les tissus en ont fait un outil précieux en médecine et en chirurgie. Il existe une grande diversité de lasers, avec des effets variés et donc des indications différentes. Aussi, leur utilisation requiert une connaissance pointue des principes physiques et optiques régissant leur fonctionnement, d'être conscient de leur dangerosité potentielle et de respecter les règles de sécurité nécessaires. Désormais accessibles aux vétérinaires, les lasers chirurgicaux offrent de nouvelles perspectives dans de nombreuses spécialités : Chirurgie des tissus mous, ophtalmologie, chirurgies mini-invasives et endoscopiques, oncologie ... Comme en médecine humaine il y a quelques années, les lasers cherchent aujourd'hui à trouver une place dans l'arsenal thérapeutique dédié à nos animaux de compagnie.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF

    Les traumatismes de la face chez le chat, étude rétrospective sur 34 chats

    No full text
    L étude concerne 34 chats traités à l ENVA entre janvier 2001 et août 2005 pour des traumatismes de mâchoires. Les résultats sont évalués rétrospectivement grâce à un questionnaire envoyé aux propriétaires et à un examen clinique pour 8 animaux. Tous les chats ont un suivi post-opératoire de plus de 3 mois. Une alimentation entérale assistée a été mise en place dans 68% des cas, pendant 13,5 jours en moyenne. Bien que les résultats soient excellents pour les chats à fente palatine, disjonction de la symphyse mandibulaire ou luxation de l articulation temporomandibulaire, ils sont plus variables lors de fracture mandibulaire isolée ou d atteinte multiple des os mandibulaires ou maxillaires. Le résultat esthétique est satisfaisant dans 75% des cas, la récupération fonctionnelle dans 94% des cas. La petite taille des mâchoires chez le chat complique le traitement chirurgical des fractures . Une technique efficace de stabilisation des fractures du corps mandibulaire reste à déterminer.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF

    Les fractures du tibia chez le chat, étude rétrospective portant sur 33 fractures du tibia sur des chats présentés à l'Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort entre Septembre 2003 et Janvier 2009

    No full text
    Le faible recouvrement en tissus mous du tibia et la fréquence des traumas à haut degré d'énergie responsable de fracture chez le chat rendent cet os enclin aux fractures ouvertes et comminutives. Ces fractures possèdent donc fréquemment un faible potentiel ostéogénique, les prédisposant aux complications de la cicatrisation osseuse. Notre étude a pour but d'évaluer les délais de cicatrisation des fractures du tibia chez les chats, l'incidence et les facteurs prédictifs des complications fracturaires, puis de les comparer aux données rapportées dans la littérature. Sur les trente et un chats inclus dans notre étude (soit 33 fractures du tibia), près d'une fracture sur deux était ouverte, et plus de deux sur cinq étaient comminutives (plus de 3 fragments). Malgré cela, seule une fracture n'a pas cicatrisé. Ces résultats concordent avec les données rapportées dans la littérature. Les délais de consolidation (101 +-55 jours) et l'incidence des retards de cicatrisation (plus de 21% des fractures) étaient néanmoins plus élevés dans notre étude. Les facteurs identifiés comme influençant le délai de cicatrisation et les risques de retard de consolidation, dans notre étude, ont été l'âge, les lésions des tissus mous et la comminution de la fracture. Le respect des principes de techniques de l'ostéosynthèse biologique, ainsi que l'utilisation des greffes osseuses sont proposés afin d'obtenir une consolidation dans des délais satisfaisants, concordant avec la littérature.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF

    Les orthèses chez le chien, étude bibliographique

    No full text
    Depuis plusieurs années, la rééducation en médecine vétérinaire vit un véritable essor. Ceci est particulièrement flagrant et plus fortement engagé sur le continent nord américain. Cette discipline apporte de nombreuses nouvelles alternatives thérapeutiques. Les orthèses en font partie. Elles regroupent les nombreux appareillages d'assistance appliqués à une région du corps mis en place afin de pallier à une déficience fonctionnelle locomotrice (à l'exclusion des prothèses qui sont des appareils de suppléance). Les orthèses nous font envisager des nouveaux soins vétérinaires. Elles offrent une alternative à des chirurgies lourdes ou dans les cas où les soins les plus adaptés sont impossibles (par manque de temps, d'argent ou de disponibilité). Elles constituent aussi de nouveaux outils de traitement ou soins post-opératoires. Reste au vétérinaire qui souhaite proposer cette technique à connaître les différentes étapes de la conception d'un appareillage, les matières premières et leur maniement afin de proposer aux animaux une orthèse de bonne qualité et adaptée à leur affection.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF

    Les traumatismes perforants de la paroi thoracique chez le chien et le chat, étude rétrospective portant sur 12 cas

    No full text
    Après avoir présenté les données épidémiologiques et étio-pathogéniques des traumatismes perforants de la paroi thoracique chez le chien et le chat, l'auteur expose les moyens diagnostiques et thérapeutiques disponibles actuellement. En s'appuyant sur une étude rétrospective portant essentiellement sur des cas de morsure, l'auteur propose enfin une démarche systématique visant à améliorer le pronostic de ce type de traumatisme.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF

    RUPTURE DU LIGAMENT CROISE CRANIAL, EVALUATION D'UNE TECHNIQUE DE STABILISATION EXTRA-CAPSULAIRE SUR LES CHIENS DE GRANDS FORMATS

    No full text
    La rupture du ligament croisé crânial est une cause très fréquente de boiterie du membre postérieur chez le chien. Le but de cette étude est d'évaluer l'efficacité d'une technique de stabilisation chirurgicale utilisant une bandelette de fascia lata extra-articulaire associée à deux sutures sésamoïdiennes latérales. Dans une première partie, après une présentation générale de l'anatomie du grasset, l'auteur décrit le rôle du ligament croisé crânial dans la stabilité du grasset, la pathogénie et les conséquences de sa rupture, ainsi que les principales techniques chirurgicales de réparation. Dans une seconde partie, l'auteur présente une technique utilisée au service de chirurgie de l'Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort pour traiter la rupture du ligament croisé crânial chez les chiens de grandes races. 46 chiens de poids corporel compris entre 24 et 60 kg ont été opérés. Sur ces 46 chiens, le suivi post-opératoire a pu être effectué sur 35 chiens avec une période de recul d'au moins 6 mois. L'évaluation post-opératoire s'est basée sur l'appréciation effectuée par les propriétaires et sur l'évaluation clinique. Le taux de réussite de cette technique chirurgicale a été évalué à 85%, ce qui rejoint la fourchette des résultats obtenus par la plupart des autres techniques chirurgicales. L'auteur conclut que cette technique est aisément réalisable pour traiter la rupture du ligament croisé crânial chez les chiens de grand format. A la différence d'autres méthodes destinées à la stabilisation du grasset chez les chiens de grand format, elle est d'un apprentissage simple et ne nécessite aucune instrumentation spécifique.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF
    corecore