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    Impact of minimal residual disease status in patients with relapsed/refractory acute lymphoblastic leukemia treated with inotuzumab ozogamicin in the phase III INO-VATE trial.

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    Minimal residual disease (MRD) negativity is a key prognostic indicator of outcome in acute lymphocytic leukemia. In the INO-VATE trial (clinicaltrials.gov identifier: NCT01564784), patients with relapsed/refractory acute lymphocytic leukemia who received inotuzumab versus standard chemotherapy achieved greater remission and MRD-negativity rates as well as improved overall survival: hazard ratio 0.75, one-sided P = 0.0105. The current analysis assessed the prognostic value of MRD negativity at the end of inotuzumab treatment. All patients who received inotuzumab (n = 164) were included. Among patients with complete remission/complete remission with incomplete hematologic response (CR/CRi; n = 121), MRD-negative status (by multiparametric flow cytometry) was defined as <1 Ă— 10-4 blasts/nucleated cells. MRD negativity was achieved in 76 patients at the end of treatment. Compared with MRD-positive, MRD-negative status with CR/CRi was associated with significantly improved overall survival and progression-free survival, respectively: hazard ratio (97.5% confidence interval; one-sided P-value) 0.512 (97.5% CI [0.313-0.835]; P = 0.0009) and 0.423 (97.5% CI [0.256-0.699]; P < 0.0001). Median overall survival was 14.1 versus 7.2 months, in the MRD-negative versus MRD-positive groups. Patients in first salvage who achieved MRD negativity at the end of treatment experienced significantly improved survival versus that seen in MRD-positive patients, particularly for those patients who proceeded to stem cell transplant. Among patients with relapsed/refractory acute lymphocytic leukemia who received inotuzumab, those with MRD-negative CR/CRi had the best survival outcomes

    RDA et plus-value : une question de réalité

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    Par jeu d’accession, le propriétaire d’un terrain devient immédiatement propriétaire des constructions qui s’y incorporent. Ce principe connait un tempérament : tout propriétaire peut renoncer à son droit d’accession au bénéfice d’un tiers qui sera temporairement propriétaire des constructions érigées ; nait alors - à présent avec certitude - un droit de superfici

    De la superficie à la volumétrie : enjeux civils et fiscaux

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    Cette contribution traite du droit d'emphytéose au jour de l'entrée en vigueur de la réforme du droit des biens au 1er septembre 2021

    La TVA et la promotion immobilière

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    L'action d'intérêt collectif au contentieux de l'excès de pouvoir : ou la face clémente de Janus, dieu du passage

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    Les actions d'intérêt collectif permettent à des associations de défendre en justice l'objet pour lequel elles ont été constituées. L'objet du présent mémoire est d'étudier la recevabilité de ces actions auprès du Conseil d'État, tout en s'intéressant au sort que leur réservent la Cour de cassation et la Cour constitutionnelle. Une première partie analyse les conditions de recevabilité des actions d'intérêt individuel en développant les trois points de vue précités. Une seconde s'intéresse aux actions d'intérêt collectif auprès des trois juridictions, une section les compare et une autre s'intéresse à la problématique des actions d'intérêt collectif intentées par des associations de défense de l'environnement (Convention d'Aarhus). Elle comprend également une analyse de propositions de lois récentes en la matière.Master [120] en droit, Université catholique de Louvain, 201

    Acquisition immobilière démembrée en usufruit, en superficie ou en emphytéose : quelle option retenir ?

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    Cette intervention a comme objet de présenter les différents avantages et inconvénients de recourir à tel ou tel droits réels d'usage en fonction de l'objectif poursuivi par les parties en présence
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