136 research outputs found

    Belles, Jezebels and Other Dis/reputable Ladies: Southern Women on Screen

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    Beyond the Aesthetics of Rage : the Embryonic Writing of Sylvia Plath

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    De la poignée de notes aux toiles du nouveau sanctuaire : les poèmes-peintures de Frieda Hughes

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    The Color Purple or Eying America through a Colored lens: Alice Walker / Stephen Spielberg

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    Entre commémoration et démémorisation : le cas du Sud états-unien au cinéma

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    Dès ses débuts, le septième art s\u27est intéressé à l\u27Histoire des États ex-Confédérés dans une région américaine qui, plus d\u27un siècle après l\u27avènement du cinéma, continue à porter les marques de maintes « surdéterminations » et « surmémorisations ». Ces reconstitutions commémoratives en disent souvent plus long sur les réalisateurs, ainsi que sur les mécanismes et motivations de production que sur l\u27espace-temps historique introduit à l\u27écran. En effet, en privilégiant la valeur spectaculaire de l\u27Histoire, le cinéma mainstream s\u27est attaché à renforcer l\u27unité nationale : le mythe de la « Cause perdue » (« the Lost Cause ») du Sud antebellum perdure dans le Sud états-unien des films, dans lesquels sont gommés nombre d\u27éléments susceptibles de brouiller l\u27image pastorale d\u27un parfait monde arcadien. Si la plupart des premiers films sudistes - que nous inscrivons ici délibérément sous la catégorie « southerns » en écho au genre westernien - se servent des codes et des normes (narratifs, typologiques, etc.) aisément identifiables tout au long de la période dite classique du cinéma américain, certains films fabriqués par « l\u27usine à rêves » (« dream factory ») hollywoodienne montrent que l\u27intérêt de ces productions dépasse, très tôt, les frontières à la fois géographiques et génériques. Après les premiers effets réflexifs dès les années vingt et trente, les films ultérieurs confirment que la reconstitution historique du Sud est loin d\u27une histoire ou d\u27une théorie terminée. En plus de la confrontation politico-militaro-économique entre le Nord et le Sud, lisible comme un « grand récit » (Jean-François Lyotard) nourri par des mythes et des légendes d\u27origine européenne, les cinéastes contemporains semblent progressivement de plus en plus fascinés par la confrontation entre plusieurs mémoires, y compris cinématographiques. Car si, comme l\u27affirme Marc Ferro dans Cinéma et histoire (1977), le cinéma donne une forme à l\u27Histoire, celle-ci s\u27avère également capable d\u27agir sur la forme cinématographique, comme le souligne Antoine de Baecque dans L\u27Histoire-caméra (2008). Au cours de notre présentation, nous nous attacherons à démontrer, à la lumière de quelques films emblématiques - tels que Naissance d\u27une nation (D. W. Griffith, The Birth of a Nation, 1915), La Case de l\u27Oncle Tom (Harry Pollard, 1927), et Django Unchained (Quentin Tarantino, 2012) - comment les nouveaux « southerns » interrogent la mémoire publique du Sud états-unien, tout en réactivant la mémoire cinéphilique du spectateur

    Molto Vivace: brash and bold womantalk in All About Eve (1950)

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    Ekoturismi ja Suomi karhumaana

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