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    La distribution adipeuse en lien avec le métabolisme du glucose et de l'insuline chez les femmes obèses post-ménopausées

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    Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

    Gestion optométrique d’une paralysie du troisième nerf crânien dans un milieu carcéral

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    La paralysie du troisième nerf crânien (PTN) est un trouble neuro-oph-talmique que les optométristes peuvent rencontrer dans divers contextes cliniques. Elle affecte les muscles extraoculaires et peut nuire à divers degrés aux fonctions de la paupière et de la pupille. Chez les adultes, son étiologie est souvent associée à des lésions par compression du système nerveux central ou à des causes d’ischémie vasculaire découlant de mala-dies systémiques comme le diabète et l’hypertension. Le présent rapport de cas s’intéresse à la gestion d’une PTN dans un milieu carcéral canadien multidisciplinaire, milieu dans lequel la population de patients est souvent mal desservie. Il présente les pratiques actuelles en matière de neuro-imag-erie pour les cas de PTN dans un contexte clinique conventionnel. Il aborde également les enjeux et avantages de la gestion de la PTN dans un milieu carcéral, en soulignant les particularités des soins aux patients vulnérables en milieu carcéral

    Combien coûtent les thérapies oculaires les plus fréquemment prescrites par les optométristes québécois?

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    Objectifs. Le coût d’une thérapie affecte l’adhésion au traitement. Peu de données existent pour aider les optométristes à incorporer ceci dans leurs décisions cliniques. Cette étude vise à quantifier les coûts totaux aux patients des médicaments et des thérapies oculaires les plus fréquemment traitées par les optométristes québécois. Méthodes. Étude descriptive. Recensement des 15 conditions oculaires les plus fréquemment traitées (Delphi, 16 optométristes experts) ; recensement des traitements standards des conditions (agents thérapeutiques et durée) ; sondage de pharmaciens québécois sur les prix totaux au patient (coût du médicament, honoraires et frais de service) ; calcul des coûts moyens des thérapies à partir du prix total moyen, de la combinaison des substances et de la durée des traitements, et du statut de couverture d’assurancemédicaments publique. Résultats. Les conditions oculaires les plus traitées par les optométristes requièrent souvent entre un et trois agents et durent entre une à quatre semaines. Le prix de vente total 2 moyen varie de (16 ± 3)(chloruredesodium5) (chlorure de sodium 5% générique) à 132 ± 3 (cyclosporine A 0,005%). L’acétate de prednisolone 1% (originale) coûte 65 ± 17etlolopatadinegeˊneˊrique0,2 et l’olopatadine générique 0,2%, 42 ± 2. Le traitement pour un ulcère cornéen périphérique coûte 66aveclacombinaisonloteprednol0,5quaveclesagentsgeˊneˊriquescouvertsparlassurancemeˊdicamentspublique(fluoromeˊtholone0,1 avec la combinaison loteprednol 0,5% (original) et moxifloxacine 0,5% (originale) alors qu’avec les agents génériques couverts par l’assurance-médicaments publique (fluorométholone 0,1% et tobramycine 0,3%), il est de 11,42 (578% moins cher). Discussion et conclusion. Le prix total des médicaments varie grandement selon les principes actifs et leur formulation (générique ou originale). Le coût total d’une thérapie pour un patient varie énormément selon les agents prescrits et le statut de couverture d’assurance-médicaments publique. En choisissant bien les médicaments, les optométristes peuvent réduire substantiellement les coûts aux patients et optimiser les chances d’adhésion au traitement

    La prévalence et les causes de la déficience visuelle dans la population en situation d'itinérance de la région de Montréal

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    Contexte : Les populations marginalisées sont plus à risque de présenter des problèmes de santé. La santé oculovisuelle des personnes en situation d’itinérance est peu étudiée. Objectifs : Estimer la prévalence de déficiences visuelles, d’erreurs réfractives non corrigées et des pathologies oculaires chez les personnes en situation d’itinérance de Montréal et leur utilisation des soins oculovisuels. Méthodes : Dix ressources pour personnes en situation d’itinérance dans la région de Montréal ont été choisies par échantillonnage simple stratifié. À chaque lieu, après consentement, 10 participants ont été recrutés aléatoirement et soumis à une évaluation oculovisuelle détaillée (acuités visuelles ETDRS de présentation et avec trou sténopéïque, pression intraoculaire, examen rétinien mydriatique, autoréfractométrie post-mydriase et questionnaire). Résultats : Parmi les 95 participants, l’âge médian est de 49 ans (écart interquartile 38,0 – 56,5). La prévalence de déficience visuelle (acuité visuelle de présentation : meilleur œil < 6/12) est de 24,2% [IC 95%, 15,6-32,8%], contre 6% au Canada (p < 0,001). Après la mesure de l’acuité visuelle avec trou sténopéïque, cette prévalence chute à 5,2% [IC 95%, 0,7-9,7%]. Parmi ceux présentant une déficience visuelle, 12,6% [IC 95%, 5,9-19,3%] ont une cause uniquement réfractive non corrigée et 6,4% [IC 95%, 1,5-11,3%] présentent une pathologie oculaire (cataracte, glaucome ou autre). Finalement, 18,9% [IC 95%, 11,0-26,8%] ont accédé à des soins oculovisuels dans la dernière année, contre 43,8% au Canada (p < 0,0001) et 2,1% n’ont jamais eu d’examen oculovisuel. Conclusion : Ces données suggèrent que la prévalence de déficience visuelle dans la population itinérante montréalaise est élevée et que la majorité des causes sont corrigibles de façon réfractive. Malgré une prévalence de déficience visuelle plus élevée que dans la population canadienne, l’utilisation des soins oculovisuels par cette population est insuffisante. Ceci souligne l’importance d’adapter les modèles d’accès de soins à cette population

    The traces of World War I in Brussels

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    The hundredth anniversary of World War I has put the spotlight on this period once again. The media coverage of the commemorations is unprecedented and even surprising for a conflict which has remained in the memorial shadow of the even more deadly World War II. While there was every reason to believe that the Great War was only a distant memory, it must also be noted that it is still the object of true curiosity on the part of the general public. The hundredth anniversary has also led to a number of publications, most of which are in keeping with the revival of historical research surrounding World War I for the past twenty years or so. The case of Belgium – the scene of fighting in a territory which was almost completely occupied – has thus been well studied. However, while several recent studies have used Brussels as a framework, a global summary specifically devoted to the capital does not exist. This synopsis thus summarises the material traces and immaterial heritage of the conflict in Brussels. The aim is therefore not to trace the history of Brussels during World War I or to present the latest works on this subject, but rather to answer some simple questions asked by the inhabitants of Brussels today: What remains of World War I in the capital? Who is interested in it, and why? How does this conflict resonate today in Brussels’ memories? How are they reflected in the urban space? In other words, this synopsis reverses the historical temporality to observe the results of the sifting of time.Le centenaire de la Première Guerre mondiale a remis cette période sous les feux des projecteurs. Le retentissement médiatique des premières commémorations a été tout à fait inédit, voire surprenant, pour un conflit longtemps resté dans l’ombre d’une Seconde Guerre mondiale plus meurtrière encore. Si tout portait à croire que la Grande Guerre n’était plus qu’un lointain souvenir, force est de constater qu’elle fait encore l’objet d’une réelle curiosité de la part du grand public. Ce centenaire a aussi engendré une multitude de publications dont beaucoup s’inscrivent dans le renouveau des recherches historiques sur la Première Guerre mondiale en cours depuis une grosse vingtaine d’années. Le cas de la Belgique, théâtre de combats et territoire presque totalement occupé, a été abondamment étudié. Par contre si une série de travaux récents ont pris Bruxelles pour cadre d’analyse, une synthèse globale spécifiquement consacrée à la capitale fait encore défaut. Cette première note synthétise donc les traces matérielles et les héritages immatériels du conflit à Bruxelles. L’ambition n’est dès lors pas de retracer l’histoire de Bruxelles pendant la Première Guerre mondiale, ni même de présenter les derniers travaux sur ce sujet mais de répondre à quelques questions simples que se posent aujourd’hui les Bruxellois : que reste-t-il de la Première Guerre mondiale dans la capitale ? Qui s’y intéresse et pourquoi ? Quelles résonances ce conflit a-t-il encore aujourd’hui dans les mémoires bruxelloises ? Comment se répercutent-elles dans l’espace urbain ? En d’autres mots, cette note prend le parti de renverser la temporalité historique pour observer le résultat opéré par le tri du temps.De honderdste verjaardag van de Eerste Wereldoorlog heeft die periode weer voor het voetlicht gebracht. De belangstelling van de media voor de eerste herdenkingen is ongezien en zelfs verrassend voor een conflict dat lange tijd in de schaduw van de nog moorddadigere Tweede Wereldoorlog is gebleven. Alles wees erop dat de “Groote Oorlog” niet meer dan een verre herinnering was, maar we moeten vaststellen dat het grote publiek er echt meer over wil weten. Ter gelegenheid van de honderdste verjaardag zijn er ook veel werken gepubliceerd, waarvan een groot aantal aansluit bij de hernieuwde belangstelling van de laatste twintig jaar voor historisch onderzoek over de Eerste Wereldoorlog. Het geval België, waar strijd werd geleverd en waarvan het grondgebied bijna volledig bezet was, is zeer uitgebreid bestudeerd. Verschillende recente studies gaan over Brussel, maar er ontbreekt nog een allesomvattende synthese die specifiek aan de hoofdstad is gewijd. Deze eerste nota geeft dus een overzicht van de materiele en immateriële sporen van het conflict in Brussel. De synthesenota heeft niet de bedoeling om de geschiedenis van Brussel tijdens de Eerste Wereldoorlog te beschrijven noch de recentste werken over dat onderwerp te presenteren, maar om antwoorden te geven op enkele eenvoudige vragen die de Brusselaars zich vandaag stellen: wat blijft er over van de Eerste Wereldoorlog in Brussel? Wie interesseert zich daarvoor? Waarom? Welke plaats neemt het conflict vandaag nog in het Brusselse geheugen in? Hoe komt dat tot uiting in de stedelijke ruimte? Met andere woorden, de nota gaat omgekeerd chronologisch te werk en gaat na wat de tand des tijds heeft doorstaan
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