2 research outputs found

    Minimal to no transfer of certolizumab pegol into breast milk: Results from CRADLE, a prospective, postmarketing, multicentre, pharmacokinetic study

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    Background Women with chronic inflammatory diseases face uncertainty regarding the safety of biologics during breast feeding. CRADLE was the first industry-sponsored study to evaluate certolizumab pegol (CZP) concentrations in human breast milk and estimate average daily infant dose (ADID) of maternal CZP. Methods CRADLE (NCT02154425) was a pharmacokinetic study of lactating mothers receiving CZP. After ≥3 CZP doses, breast milk samples were collected across one dosing period (14 days for 200 mg every 2 weeks [Q2W]; 28 days for 400 mg every 4 weeks [Q4W]). Optimal analytical methods were developed to determine CZP and polyethylene glycol (PEG) levels in breast milk. ADID and relative infant dose (RID) were estimated. Safety events in mothers and infants were assessed. Results 19 CZP-Treated mothers were screened; 17 entered the sampling period: 16 on 200 mg Q2W, 1 on 400 mg Q4W. 77/137 (56%) breast milk samples had no measurable CZP. For 4/17 mothers, all samples were below the lower limit of quantification (LLOQ). Estimated ADID was 0-0.0104 mg/kg/day; median RID: 0.15%. PEG was undetectable in 134/137 samples (results could not be determined in three samples). Infants of CZP-exposed mothers had a safety profile consistent with that of unexposed similar-Age infants. Conclusion When quantifiable, CZP concentrations were <3× LLOQ (<1% plasma concentration observed with therapeutic dose), indicating no/minimal CZP transfer from plasma to breast milk. RID was 0.15% of maternal dose; <10% is considered unlikely to be of clinical concern. No PEG transfer was observed. CZP absorption by infants via breast milk is unlikely due to its low oral bioavailability and Fc-Â-free molecular structure. These findings are reassuring and support continuation of CZP treatment during breast feeding. Trial registration number NCT02154425; Results

    Pleine terre. Paysage et sols urbains retrouvés ?: Introduction au numéro thématique

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    National audienceCe numéro traite du sol et de ses liens, oh combien complexes, aux paysages. Il se situe dans un contexte marqué par une artificialisation des sols en hausse constante, un changement continu de destination des terres agricoles au bénéfice de l’urbanisation (Henry, 20171), mais aussi un mouvement de désimperméabilisation des sols urbains. L’appel à textes s’affranchissait des frontières entre les disciplines scientifiques, d’une part, et les domaines de la recherche et de l’action, d’autre part. Si les propositions reçues ont été nombreuses, seuls 6 textes sur les 17 publiés sont le fruit exclusivement de chercheurs au sens académique du terme. Les autres, au nombre de 11, intègrent dans leur collectif d’auteur·e·s au moins un concepteur, paysagiste, architecte ou urbaniste. Ainsi la maîtrise d’œuvre paysagiste (agences privées) n’est pas en reste ; la maîtrise d’ouvrage (collectivités territoriales) est elle aussi présente à travers un syndicat de rivière (Hecht) et un syndicat mixte (Lahaie). C’est une caractéristique notable de ce numéro qui relaie la parole de l’action et lui donne un droit de cité dans une revue scientifique. Les chercheurs y ayant contribué s’inscrivent majoritairement dans le champ de la géographie, de l’aménagement ou de l’environnement, parfois dans celui de l’écologie ; plus rarement dans les sciences dites « dures » comme les sciences du sol ou l’agronomie. La maîtrise d’usage n’a pas pris la plume mais des textes leur donnent la parole. Le triptyque – maîtrises d’ouvrage, d’œuvre et d’usage – est donc complet. Que tous soient ici remerciés de nous avoir suivis dans ce projet éditorial
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