36 research outputs found

    Giant adenoid cystic carcinoma of the sinonasal cavity

    Get PDF
    Adenoid cystic carcinomas, formerly known cylindromas, were originally described by Foote and Frozell 1953. These are epithelial malignancies that develop at the expense of salivary glands, other rare localizations have been described in particular in the oral cavity, the sinonasal tract, lacrimal glands or nasopharynx. Clinical and radiological signs are not specific, and are common to all sinonasal tumors, including squamous cell carcinomas and adenocarcinomas. The adequate treatment is surgery, postoperative radiation therapy improves long-term prognosis. These tumors are characterized by aggressiveness and a high incidence of local recurrence and distance metastasis regardless of therapeutic modalities used. We report a case of a 70 year old patient, hospitalized for exploration of a large sinonasal tumors, CT Scann of the face and sinonasal cavities disclosed a large right ethmoïdomaxillonasal tumor, with tissue density with and contrast enhancement, lysing all the walls of the maxillary sinus, septum and the horizontal branch of the mandible. With extension to the infratemporal fossa, the orbital floor, the contralateral nasal cavity, the floor of the nasal cavity and nasopharynx. A nasal biopsy concluded to an adenoid cystic carcinoma, The staging revealed no distant metastases, the tumor was classified T4NoMo.The patient refused any surgery, he was referred for palliative radiotherapy, it was lost sight of.Pan African Medical Journal 2015; 2

    Intralaryngeal thyroglossal duct cyst

    Get PDF
    Thyroglossal duct cyst (TDC) is the most common congenital neck mass, approximately 7% of the Population has a TDC. It results from incomplete resorption of the thyroglossal duct during embryogenesis. A 31-year-old male patient presented with a painful left paramedian neck swelling for two months. Physical examination revealed a cystic mobile swelling; the lesion disappeared on hyperextension of the neck and reappeared on lateral rotation to the left side. Cervical CT scann revealed a bilobular cystic mass on the prominentia thyroidea, and extending deeply into the preepiglottic region, turning medially from the upper border of the thyroid cartilage (Figure 1). Surgery revealed a cystic lesion with intralaryngeal extension through a defect in the thyrohyoid membrane. In the last step of the surgery, as described in the Sistrunk procedure, the central portion of the hyoid bone was included in the specimen. The tract was followed to the tongue base and then cut after ligation. Histopathology confirmed the diagnosis of an inflamed TDC. During the 6-month postoperative follow-up of the patient, no finding consistent with recurrence was detected in the surgical site. TDC may be located at the level of the hyoid (15-50%), the suprahyoid (20-25%), or the infrahyoid (25-65%). The intralaryngeal location of a thyroglossal duct cyst is rare and only a few cases have been reported, which makes this case interesting. TDC can extend from the thyroid cartilage. It can push or destroy the thyrohyoid membrane and then progress to the laryngeal ventricle, which causes it to be confused with saccular cyst or laryngocele. Airway obstruction due to intralryngeal thyroglossal duct cyst can cause the disease to show a fatal course. Evaluation of laryngeal structures with preoperative endoscopic and radiological techniques is an important step that can help the diagnosis. Sistrunk procedure should be administered for such cases.Pan African Medical Journal 2015; 2

    L’otite moyenne chronique cholestéatomateuse de l’enfant: à propos de 30 cas

    Get PDF
    Le cholstéatome de l'oreille moyenne est une otite chronique qualifiée de dangereuse en raison de ses risques évolutifs et de ses complications potentiellement graves pouvant mettre en jeu le pronostic vital. L'évolution du cholestèatome est sensiblement différente entre l'adulte et l'enfant, avec une agressivité particulière des cholestèatomes pédiatriques nécessitant ainsi une prise en charge adéquate. Le but de notre travail est d'analyser à travers une revue bibliographique les particularités des otites moyennes chroniques cholestèatomateuses chez 30 enfants pris en charge dans le service d'oto-rhino-laryngologie de l'hôpital militaire Avicenne de Marrakech. Le traitement est exclusivement chirurgical, actuellement, la plupart des auteurs optent pour l'utilisation d'une technique fermée en première intention chez l'enfantKeywords: otite moyenne chronique cholestéatomateuse,enfant, tympanoplastie en technique fermé

    Les facteurs prédictifs de malignité dans la prise en charge des tumeurs parotidiennes: à propos de 76 cas

    Get PDF
    La pathologie tumorale de la glande parotide est complexe et pose un problème diagnostique et thérapeutique. Une bonne analyse des facteurs prédictifs de malignité de ces tumeurs parotidiennes semble actuellement nécessaire en vue d'une meilleure planification thérapeutique. Le but de ce travail est d'étudier les facteurs prédictifs de malignité dans les tumeurs parotidiennes à travers une étude rétrospective sur 76 cas de tumeurs de la parotide traités au service d'Oto-Rhino-Laryngologie et de Chirurgie Cervico-Faciale de l'hôpital militaire Avicenne de Marrakech entre janvier 2000 et décembre 2012. Il s'agit de 40 femmes et 36 hommes. L'âge moyen était de 44 ans pour les tumeurs bénignes alors qu'il était de 50 ans pour les tumeurs malignes. Le délai moyen de consultation était de 24 mois pour les tumeurs bénignes et de 16 mois pour les tumeurs malignes. La tuméfaction de la région parotidienne a été un signe révélateur constant chez tous les malades. La malignité est évoquée cliniquement devant la douleur, la paralysie faciale, la fixité par rapport au plan superficiel ou profond et la présence d'adénopathie. L'IRM constitue désormais l'examen de choix dans l'exploration des masses tumorales parotidiennes avec une bonne valeur diagnostique de malignité ou de bénignité. La cytoponction à l'aiguille fine n'a pas de valeur que si elle est positive. La parotidectomie exploratrice avec examen anatomopathologique extemporané demeure la clé du diagnostic positif. Les tumeurs parotidiennes bénignes représentent l'entité la plus fréquente (80%) et l'adénome pléomorphe demeure le type histologique prédominant (61%). Quant aux tumeurs malignes, elles sont plutôt rares, dominées essentiellement par les carcinomes muco épidermoides (6,5%). Le traitement chirurgical est l'option de choix souvent associée à un curage ganglionnaire et une radiothérapie pour les tumeurs malignes. La paralysie faciale est la complication la plus fréquente de la chirurgie parotidienne.Pan African Medical Journal 2016; 2

    EFFECT OF MOBILIZATION OF BODY RESERVES ON OVARIAN REACTION OF COWS SUBJECT TO SUPEROVULATION TREATMENT

    Get PDF
    The aim of this work is to highlight the influence of variations of some energy balance indicators on the ovarian reaction to superovulation treatment. A three day superovulation protocol was implemented in five cows. Glycemia, BHB (β-hydroxybutyrate), NEFA (non-esterified fatty acids) and body condition score (BCS) were monitored before and during treatment. The ovarian reaction was assessed by estimating the number of corpora lutea. All biochemical parameters underwent variations at one time or another during the protocol. Maximum concentrations of 2.2 mmol/l, 1.01 g/l, 1.36 mmol/l were recorded respectively for BHB, glycemia and NEFA. Despite the lack of correlation between these parameters and the number of corpora lutea, the assays demonstrated a mobilization of body reserves in all the cows which caused a negative energy balance. Our results show that the parameters studied can support clinical data in the selection of embryo donor cows and serve as a discriminatory factor for those with a negative energy balance

    L’otospongiose: étude rétrospective à propos de 36 cas

    Get PDF
    L'objectif de l'étude est de rapporter notre expérience concernant la prise en charge de l'otospongiose et comparer nos résultats avec ceux de la littérature. Nous rapportons une étude rétrospective concernant 36 cas d'otospongiose colligés au service d'Oto-rhino-laryngologie de l'hôpital militaire Avicenne de  Marrakech, entre Janvier 2009 et Décembre 2012. L'âge moyen des patients était de 38 ans avec une nette prédominance masculine (77%). Notre étude a révélé un retard diagnostique (stades  audiométriques II et III). Ce diagnostic est le plus souvent simple, très fortement suspecté dès la première consultation devant l'existence d'une surdité de transmission ou mixte à tympan normal qui constitue le signe de découverte le plus prépondérant et constant dans notre série (100%), accompagnée parfois d'acouphènes (41%). L'existence d'antécédents familiaux de la maladie a été retenue chez  33,33%. L'audiométrie tonale liminaire et la tympanométrie ont été réalisées chez tous nos patients (100%) évoquant le diagnostic dans la majorité des cas. La tomodensitométrie, non obligatoire, reste  indispensable pour le diagnostic différentiel et surtout permet de prévoir les difficultés opératoires ainsi que les éventuelles associations pathologiques. Tous les patients ont subit une intervention chirurgicale comportant soit une platinectomie partielle ou totale(83%) ou une platinotomie. L'évolution et les résultats ont été généralement satisfaisants, par ailleurs nous avons constaté la survenue d'un cas de fistule périlymphatique, la persistance des acouphènes chez six patients et une surdité de transmission chez trois patients. Key words: Otospongiose, surdité, platinectomie, platinotomi

    Méningiome primitif ethmoïdonasal.

    Get PDF
    Introduction : Les méningiomes primitifs des fosses nasales et des sinus paranasaux sont des tumeurs bénignes rares, la sémiologie clinique et radiologique n’est pas spécifique. L’objectif de ce travail est de décrire les aspects épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques de cette localisation ectopique des méningiomes.Observation : Patient âgé de 52 ans, présentant une obstruction nasale bilatérale avec hyposmie et épistaxis depuis 4 ans, l’examen endonasal a montré un processus tissulaire polypoïde occupant les deux fosses nasales, la TdM a montré un processus tumoral ethmoïdonasal étendu aux sphénoïdes et vers les deux fosses nasales sans extension endocrânienne. Le patient a été opéré par voie transfaciale, l’examen anatomopathologique était en faveur d’un méningiome méningothélial gradei. Les contrôles cliniques, endoscopiques et scannographiques n’ont pas montré de résidu tumoral ni de récidive avec un recul de 4ans.Conclusion : Les fosses nasales et les sinus paranasaux représentent une localisation ectopique exceptionnelle des méningiomes extra crâniens primitifs. Ces tumeurs se développent lentement et leur pronostic est généralement bon après exérèse chirurgicale.Mots clés : Méningiomes ectopiques, sinus paranasaux, anatomie pathologique, immunohistochimie, chirurgie.Introductione : Primary extracranial meningiomas of the nasal cavity and paranasal sinuses are rare benign tumors, the clinical and radiological presentations are not specific. The objective of this work is to describe the epidemiological, diagnostic and therapeutic aspects of this ectopic location of meningiomas.Case report : 52-year-old patient, presented a bilateral nasal obstuction with hyposmie and epistaxis for 4 years, the endonasal examination showed a polypoid process occupying both nasal cavity, the CT examination showed a ethmoïdonasal tumoral process extending to sphenoid bones and both nasal cavity without endocranial extension. The patient was operated by transnasal approach, histopathological examination was in favour of a méningothélial meningioma rank i.The clinical, endoscopic and CT controls did not show tumor residue or a local recurrence with a recession of 4years. Nasal cavity and paranasal sinuses represent an exceptional ectopic location of primary extracranial meningiomas , these tumors are slowly growing, and their prognosis is generally good after surgical excision.Keyswords : ectopic meningioma, paranasal sinuses, histopathology, immunohistochemistry, surgery

    La forme pseudo tumorale de la tuberculose primitive du nasopharynx: à propos de deux nouvelles observations et revue de la littérature

    Get PDF
    La tuberculose primitive du nasopharynx est rare, nous présentons deux observations révélées par un aspect pseudo tumoral et à travers lesquelles nous soulevons le problème de diagnostic différentiel avec les lésions malignes du nasopharynx. La première observation concerne un jeune patient de 22 ans hospitalisé pour obstruction nasale bilatérale évoluant dans un contexte d’apyrexie et de conservation de l’état général. La nasofibrosopie et le scanner ont monté un processus tumoral évoquant une hypertrophie des végétations adénoïdes. Le deuxième cas est celui d’un homme de 45 ans tabagique chronique qui a présenté une adénopathie latérocervicale droite, une obstruction nasale et une otite séromuqueuse homolatérale. La nasophibroscopie et le scanner on montré un bourgeon tumoral postéro latéral droit du nasopharynx évoquant un carcinome nasopharyngé. Les biopsies du nasopharynx et les études histologiques, chez les deux patients, ont confirmé le diagnostic de tuberculose. La recherche d’autres localisations était négative. Le pronostic était favorable après 6 mois de traitement antibacillaire. La tuberculose primitive du cavum est rare, elle revêt le plus souvent des formes pseudotumorales et pose des problèmes de diagnostic différentiel avec les tumeurs nasopharyngées, son pronostic sous traitement antibacillaire estPan African Medical Journal 2013; 14: 6

    Apport diagnostique de la cervicotomie exploratrice: étude rétrospective de 300 cas

    Get PDF
    Les tuméfactions cervicales représentent un motif fréquent de consultation, et les adénopathies en constituent l'étiologie la plus fréquente. L'examen clinique et les bilans paracliniques permettent, dans la majorité des cas de retrouver une étiologie. Néanmoins certaines de ces tuméfactions restent d'origine non précisée, portant donc l'indication d'une cervicotomie exploratrice. Il s'agit d'une étude rétrospective d'une série de 300 cas de tuméfactions cervicales isolées colligées au service d'ORL de l'hôpital militaire Avicenne de Marrakech entre 2001 et 2014. Tous nos patients ont bénéficié d'une cervicotomie exploratrice avec étude anatomo-pathologique. L'âge des patients varie entre 1 et 76 ans avec un âge moyen de 32,57 ans et une légère prédominance masculine de 52%. La symptomatologie qui a motivé une consultation chez 81% des patients était la tuméfaction latérocervicale. La localisation la plus fréquente était sous mandibulaire (33,34%). Les tuméfactions d'installation progressive ont été retrouvées chez 93,34% des patients. Les principales étiologies retrouvées dans notre étude après examen anatomopathologique étaient de deux types: soit d'origine ganglionnaire dominées par la tuberculose ganglionnaire cervicale (53,66%), le lymphome malin non hodgkinien (6 ,66%), les adénites réactionnelles non spécifiques (4,66%), la maladie deHodgkin (4,33%) et les métastases ganglionnaires cervicales (3,33%); soit d'origine non ganglionnaire dont le lipome cervicale (17,66%), les kystes branchiaux (6%), les kystes du tractus thyréoglosse (1,66%) et le lymphangiome kystique (1,66%). A la lumière des résultats obtenus et des données de la littérature, nous allons discuter l'intérêt et l'utilité de la cervicotomie exploratrice dans le diagnostic étiologique des tuméfactions cervicales lorsque les examens cliniques et paracliniques ne sont pas concluants, et ainsi d'analyser les aspects épidémiologiques, cliniques et paracliniques des différentes étiologies retrouvées. La cervicotomie exploratrice reste, avec l'étude anatomo-pathologique, un outil nécessaire pour le diagnostic de certitude de certaines tuméfactions cervicales malgré son caractère invasif

    Surdité brusque: étude rétrospective à propos de 36 cas

    Get PDF
    L’Objectif de cette étude est de rapporter notre expérience concernant la prise en charge des surdités brusques en soulignant la notion d’urgence, et en montrant les facteurs influant la probabilité de récupération. Nous rapportons une étude rétrospective concernant 36 patients colligés au service ORL de l’Hôpital Militaire Avicenne de Marrakech au Maroc, pendant 05 ans. Uniquement les surdités brusques unilatérales ont été incluses dans notre étude. Il s’agit de 21 oreilles droites et 15 gauches. Les données cliniques étaient recueillies par l’interrogatoire et l’examen clinique complet. L’évolution du déficit auditif a été évaluée à l’admission, toutes les 48 heures et après arrêt du traitement par audiométrie tonale liminaire. Tous nos patients ont bénéficié des potentiels évoqués auditifs du tronc cérébral, 09 d’entre eux d’une tomodensitométrie. Une IRM a été réalisée chez une seule patiente. Le protocole thérapeutique comprend des corticostéroïdes, vasodilatateurs. Seulement 16,6 % des patients ont récupéré la totalité de la perte auditive initiale. Les potentiels évoqués auditifs (P.E.A) ont décelé un cas de neurinome de l’acoustique confirmé par l’imagerie
    corecore