27 research outputs found

    Régénération des vieilles cacaoyères par recépage-greffage et redensification des cacaoyers et fruitiers associés : systèmes innovants en cacaoculture. Une méthode développée dans les vieilles cacaoyères improductives au Cameroun. Guide technique

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    Présentation de l'éditeur : La durabilité de la cacaoculture camerounaise se trouve aujourd'hui remise en question. Dans ce contexte et dans le but d'améliorer les rendements et les conditions de vie des cacaoculteurs un projet de recherche-action entre l'IRAD et des groupements de planteurs oeuvre à mettre au point des techniques de régénération des vieux vergers de cacaoyers au Cameroun. Ce guide s'appuie sur les résultats d'expérimentations pilotes conduites depuis l'année 2007 dans 4 parcelles des villages de Bakoa et Kédia dans le Mbam Inoubou, d'Ezezang dans la Lékié et de Ngat dans la Méfou et Afamba dans le Centre Cameroun. Dans ce réseau de recherche participative les technologies testées sont entre autres : (i) la technique du recépage et greffage sur rejets des vieux cacaoyers et fruitiers "tout venants"(avocatier et agrumes sont les cultures de diversification les plus fréquentes dans la cacaoyère), (ii) le réglage de l'ombrage dans la parcelle, (iii) la promotion du matériel végétal performant, (iv) la redensification de la parcelle avec des semenceaux, (v) l'utilisation d'une plante de couverture dans le système de culture cacaoyer, (vi) les modalités de gestion des vergers de cacaoyers. L'objectif de ce guide technique est d'apporter une contribution à l'accompagnement des producteurs dans leur processus de construction d'innovations en cacaoculture. Ce guide est également destiné à aider les décideurs de projets et techniciens de l'agriculture et du développement dans leurs prises de décisions. Sommaire : 1. Introduction. 2. Choix du site. 3. Préparation de la parcelle. 4. Choix et préparation du matériel. Végétal : Choix du matériel ; Préparation. 5. Greffage des arbres recépés. 6. La redensification : Mise en place des plants ; Fumure. 7. Entretien de première année : Désherbage du vivrier ; Paillage ; Remplacements ; Contrôle d'Imperata. 8. Installation et gestion de la plante de. couverture (Brachiaria brisantha) : Production des rejets ou plantules ; Diffusion de Brachiaria. 9. La fertilisation minérale : Nature des engrais et doses standards ; Mode d'épandage des engrais ; Quelques symptômes de déficiences minérales du cacaoyer. 10. Traitements phytosanitaires. 11 Conduite des arbres : Cacaoyer ; Agrumes ; Avocatier ; Safoutier. 12. Prévisions de production. 13. Compte d'exploitation prévisionne

    Association du cacaoyer avec le palmier ou le cocotier. Systèmes innovants en cacaoculture. Création d'une nouvelle parcelle sur jachère ou savane : guide technique

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    Depuis la fin de la décennie 80, la cacaoculture camerounaise est caractérisée par le faible niveau de revenu des producteurs en raison, entre autre, d'une faible productivité du verger cacaoyer. Le faible niveau d'adoption des acquis de la recherche cacaoyère est également en cause d'autant que les technologies développées ne répondent qu'en partie aux besoins réels des producteurs. Dans un contexte marqué par l'embellie des prix du cacao sur le marché international depuis 2000, les producteurs se mobilisent pour relancer la cacaoculture. L'accent est mis notamment sur la diversification des sources de revenus à travers le développement de systèmes de culture plurispécifiques originaux mais dont les rendements restent faibles. Ce guide a pour objectif d'apporter une contribution à l'accompagnement des producteurs dans leur processus de construction d'innovations en cacaoculture. Il s'appuie sur les résultats d'expérimentations pilotes conduites depuis 2005 dans 168 parcelles de cinq villages du Cameroun. il est également destiné à aider les décideurs de projets et les techniciens de l'agriculture et du développement dans leurs prises de décision

    Intercropping cocoa with oil palm or coconut : Innovative systems in cocoa cultivation. Setting up a new plot on fallows or savannah areas

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    Since the end of the 80s, cocoa growers in Cameroon have experienced a low level of income due, among others, to the low productivity of cocoa trees. The average yield is estimated at about 300 kg of dried cocoa beans per hectare. The low level of adoption of the results and recommendations of cocoa research as well as the fact that the technologies developed do not respond to the real needs of the producers are among the causes of the low yields observed in cocoa farms. In addition, the insufficiency or complete absence of technical management, and extension staff in the field makes the situation worse. In a context marked since 2000 by rising cocoa prices in the international market, farmers are determined to boost cocoa production. A particular emphasis is placed on the diversification of income sources through the development of mixed cropping systems, but yields of cocoa and interplanted crops remain low. The objective of this technical guide is to contribute in providing support to farmers in the process of building innovations in cocoa farming. This guide is based on the results of pilot trials conducted since 2006 in 168 plots in the villages of Bakoa and Kedia in the Mbam-et-Inoubou division, and Ezezang in the Lekie and Ngat in the Mefou-et-Afamba divisions respectively in the Centre Region of Cameroon. A large network, with the development of new technologies, has been established: 143 farmers supported by 16 cocoa producers' groups took part in the activities ol participatory research; the technologies tested include: (i) planting design for associating cacao trees with other perennials such as oil palm or coconut trees and pluriannual crops such as plantains, (ii) promotion of performing plant materials, (iii) use of a cover crops in cacao-based cropping system, (iv) the technique of producing plantain seedlings through a vegetative multiplication by fragmentations (called "PIF" in french), and (v) methods of managing cocoa plantations. This technical guide is also meant to help project managers and agricultural and development technicians in decision makin

    Association du cacaoyer avec les fruitiers. Systèmes innovants en cacaoculture. Création d'une nouvelle parcelle sur jachère ou savane : guide technique

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    Depuis la fin de la décennie 80, la cacaoculture camerounaise est caractérisée par le faible niveau de revenu des producteurs en raison, entre autre, d'une faible productivité du verger cacaoyer. Le faible niveau d'adoption des acquis de la recherche cacaoyère est également en cause d'autant que les technologies développées ne répondent qu'en partie aux besoins réels des producteurs. Dans un contexte marqué par l'embellie des prix du cacao sur le marché international depuis 2000, les producteurs se mobilisent pour relancer la cacaoculture. L'accent est mis notamment sur la diversification des sources de revenus à travers le développement de systèmes de culture plurispécifiques originaux mais dont les rendements restent faibles. Ce guide a pour objectif d'apporter une contribution à l'accompagnement des producteurs dans leur processus de construction d'innovations en cacaoculture. Il s'appuie sur les résultats d'expérimentations pilotes conduites depuis 2005 dans 168 parcelles de cinq villages du Cameroun. il est également destiné à aider les décideurs de projets et les techniciens de l'agriculture et du développement dans leurs prises de décision

    Evolution spatio-temporelle de l'agro-biodiversité dans les cacaoyères agroforestières du centre Cameroun

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    Dans de nombreux pays, la cacaoculture est pratiquée après défriche forestière sous forme de culture pure ou sous forme de systèmes agro-forestiers peu complexes, composés de quelques espèces associées aux cacaoyers. Au Centre Cameroun, dès l'apparition de la cacaoculture dans ce pays, les agriculteurs ont au contraire adopté des pratiques agro-forestières complexes et une mu1titude d'espèces ligneuses sont complantées en permanence avec les cacaoyers. Afin d'étudier l'agro-biodiversité des cacaoyères de ce bas de production, et les déterminants de cette agro-biodiversité, des travaux ont été conduits en 2007 dans trois zones de culture différenciables par leur végétation et leurs caractéristiques pédoclimatiques. 110 cacaoyères, réparties en trois classes d'âge (cacaoyères jeunes, cacaoyères adultes et cacaoyères sénescentes), ont été identifiées dans chaque zone d'étude. Un inventaire des espèces ligneuses associées aux cacaoyers a été réalisé. Le niveau d'agro-biodiversité des systèmes de cacaoculture a été estimé à l'aide de plusieurs indices de diversité et de régularité. Les densités des espèces associées aux cacaoyers ont été calculées. L'origine de la présence des espèces inventoriées et leurs principaux usages ont été appréhendés. Les résultats confirment la richesse floristique des cacaoyères du Centre Cameroun. Ils montrent que l'agro-biodiversité varie fortement en fonction d'une part, de la zone de cacaoculture et d'autre part, de l'âge du verger. Ainsi, le niveau d'agro-biodiversité des cacaoyères implantées en zone de transition forêt-savane se différencie significativement de celui des cacaoyères créées en zone forestière. D en est de même pour le niveau d'agro-biodiversité des jeunes cacaoyères qui est significativement différent de celui des cacaoyères adultes et des cacaoyères sénescentes dont la richesse floristique est plus élevée, en particulier en zone forestière. Le gradient pédoclimatique nord-sud qui caractérise le Centre Cameroun et les modifications, par les agriculteurs, de la composition floristique des cacaoyères au cours du temps expliquent donc en grande partie l'évolution spatio­temporelle de l'agro-biodiversité des cacaoyères de cete région. (Résumé d'auteur

    Innovations techniques proposées aux producteurs de cacao du Centre Cameroun. Premiers résultats et perspectives

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    Le système traditionnel de cacaoculture du Centre Cameroun est de type agro-forestier complexe. Les agriculteurs cultivent en effet le cacaoyer en association avec de nombreuses autres espèces forestières ou fruitières. Si ce système de cacaoculture plurispécifique présente de nombreux avantages agronomiques, écologiques, économiques et sociaux, sa principale caractéristique demeure cependant son faible niveau de productivité en cacao marchand. Afin de contribuer à l'amélioration de ce système de culture, des expérimentations sont conduites depuis 2005 en partenariat avec 27 agriculteurs localisés dans trois zones de cacaoculture de la région du Centre. Les innovations testées sont de plusieurs types: (i) adoption de dispositifs de plantation des cacaoyers permettant leur association avec des plusieurs cultures vivrières et des espèces pérennes; (ii) utilisation de matériel végétal performant, qu'il s'agisse du cacaoyer ou des autres espèces végétales associées, pour augmenter la productivité du système de culture; (iii) utilisation d'une plante de couverture, le Brachiaria b., pour réduire les coûts d'entretien des cacaoyères et améliorer la structure et la fertilité des sols. Trois ans après plantation, les premiers résultats obtenus montrent que la mise en place des nouvelles parcelles de cacaoyers sur des jachères a permis d'enrayer la défriche sur forêt pour les agriculteurs concernés. Le travail du sol pratiqué pour la mise en place des cultures pérennes et des cultures vivrières facilite le contrôle des adventices et réduit le taux de mortalité des jeunes cacaoyers lors des 2 premières campagnes. L'arachide cultivée en intercalaire et l'utilisation des fanes pour le paillage ont un effet bénéfique sur le développement des cacaoyers et autres plantes associées. L'itinéraire technique suivi permet d'obtenir une vigueur accrue des différentes plantes associées avec une bonne précocité de production pour le cacaoyer (30 mois). L'installation de la plante de couverture Brachiaria b. lors de la culture de vivriers de 2ème cycle en seconde année permet une couverture rapide des jeunes cacaoyères. L'importante biomasse produite par le Brachiaria b. est utilisée comme engrais vert pour améliorer la fertilité des sols. Sur le plan économique, les innovations techniques proposées aux producteurs de cacao du Centre Cameroun permettent un retour rapide sur investissement grâce aux différentes productions du bananier plantain et des cultures vivrières cultivées en intercalaire des cacaoyers. (Résumé d'auteur

    Importance des espèces fruitières dans les systèmes de cacaoculture agro-forestiers du Centre Cameroun

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    Les systèmes de cacaoculture du Centre Cameroun sont du type agro-forestier. De nombreuses espèces fruitières y sont notamment introduites par les exploitants pendant ou après la plantation des cacaoyers. La place des espèces fruitières dans ces systèmes de culture demeure cependant mal connue. Une étude a été conduite en 2005 dans 74 cacaoyères d'âges différents situées dans trois zones de production également différentes. Les travaux de recherche ont porté sur l'inventaire des espèces ligneuses associées aux cacaoyers. Le niveau d'agro-biodiversité globale des systèmes de cacaoculture et la contribution des espèces fruitières à celle-ci ont été estimés. Les résultats montrent de fortes variations entre les trois zones et les trois classes d'âge considérées. Les espèces fruitières, très présentes dans les cacaoyères, expliquent en grande partie l'importante agro-biodiversité qui y est observée. Un gradient nord-sud est constaté, la diversification du système de cacaoculture étant significativement plus forte en zone de transition forêt-savane qu'en zone forestière. (Résumé d'auteur

    Evaluation agronomique du système de cacaocuIture traditionnel du Centre Cameroun. Premiers résultats et perspectives

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    Le Centre-Sud est l'un des deux principaux bassins de production de cacao du Cameroun. La cacaoculture y demeure le socle de très nombreuses exploitations agricoles car cette activité représente 60% de leur assolement alors que la vente de cacao marchand contribue à hauteur de 75% au revenu total de ces agriculteurs. Le système de cacaoculture traditionnel du Centre Cameroun, de type agro-forestier complexe, demeure cependant caractérisé par un rendement faible de l'ordre de 250 kilos de cacao marchand par hectare. Améliorer les performances du système de cacaoculture traditionnel du Centre Cameroun apparaît donc comme une priorité majeure compte tenu des enjeux économiques et sociaux qu'il représente. Dans le même temps, le fonctionnement du système de cacaoculture traditionnel est peu connu. Des travaux de recherche ont donc été conduits dans 60 cacaoyères d'âge différent localisées dans trois zones de culture de la région du Centre pour disposer d'éléments de compréhension susceptibles de permettre d'identifier des pistes d'amélioration possibles. Les analyses préliminaires permettent une caractérisation des peuplements de cacaoyers et des peuplements associés et une évaluation du système de cacaoculture traditionnel dont les performances agronomiques (rendement potentiel) et écologiques (durabilité) sont mieux connues. Un schéma conceptuel préliminaire d'élaboration du rendement des cacaoyers, mettant en évidence les variables-clés à l'origine des variations régionales de rendement de cacao, est proposé à l'échelle de la parcelle. En apportant un éclairage nouveau sur le fonctionnement du système de cacaoculture traditionnel, ces résultats ouvrent donc de nouvelles perspectives en vue de l'amélioration des performances de sa composante principale qu'est le peuplement de cacaoyers. (Résumé d'auteur

    Une cacaoculture durable est-elle possible? éléments de réponse au centre Cameroun

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    La durabilité des systèmes de cacaoculture fait l'objet de débats en zone tropicale humide. La culture du cacaoyer est en effet caractérisée par un déplacement des zones de production an détriment des zones forestières qui ont pratiquement disparu dans certains pays producteurs de cacao où, après 40 ans, les anciennes cacaoyères sont généralement abandonnées ou reconverties. Paradoxalement, au Centre Cameroun, l'essentiel du verger cacaoyer est constitué de très anciennes cacaoyères agroforestières exploitées sans apport de fertilisaton minérale. Afin de mieux comprendre le fonctionnement de ces anciennes cacaoyères et leur dynamique sur le très long terme, nous avons enquêté 742 exploitations regroupant 1114 cacaoyères localisées dans les zones de Ngomedzap et de Zima. Plusieurs variables ont été renseignées: l'áge et l'origine des agriculteurs, l'assolement et le revenu des exploitations, l'áge et la superficie des cacaoyères, le type et nombre d'interventions culturales ainsi que les modalités de régénération des cacaoyères. Nous avons mesuré la densité et le rendement des cacaoyers dans 316 cacaoyères et inventorié les espèces associées aux cacaoyers dans 30 cacaoyères. Enfin, la trajectoire de conduite de 20 cacaoyères a été reconstituée a posteriori avec les exploitants actuels. Nos résultats montrent que les cacaoyères agroforestières du Centre Cameroun occupent 60% de l'assolement des exploitations et la vente de cacao marchand couvre 75% du revenu total des agriculteurs. 30% des agriculteurs enquêtés ont moins de 40 ans et tous sont autochtones. Alors que 80% des cacaoyères ont plus de 40 ans, la plupart des agriculteurs ont déclaré régénérer de façon continue leurs peuplements de cacaoyers, expliquant ainsi la stabilité à long terme de la densité de ces derniers entre 1 300 et 1 600 plants ha-1. Le rendement des cacaoyères se stabilise autour de 200 kg de cacao marchand ha-1 quel que soit l'áge des cacaoyères adultes. L'indice de Shannon des cacaoyères est élevé (2,6) et en moyenne 28 espèces ha-1 et 126 arbres ha-1 sont associés aux cacaoyers. Enfin, la trajectoire de conduite des cacaoyères est caractérisée, la plupart du temps, par une ou plusieurs phases de rupture suivies d'une reprise au terme de laquelle le rendement de la cacaoyère retrouve son niveau initial. Pour conclure, la régénération continue des cacaoyères, la transission du patrimoine entre générations d'agriculteurs ainsi que les pratiques agroforestières adoptées par ces derniers constituent des éléments explicatifs de la durabilité des systèmes de cacaoculture agroforestiers du Centre Cameroun. (Résumé d'auteur

    Comparaison des performances agro-économiques mesurées sur cinq systèmes de cacaoculture dans la région du centre du Cameroun

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    Pour satisfaire certains besoins d'autoconsommation el améliorer les revenus des agriculteurs de la région du Centre Cameroun, il a été développé dans le cadre d'un programe de recherche participative initié en 2005, des systèmes innovants en cacaoculture permettant l'association raisonnée du cacaoyer avec les fruitiers; le palmier à huile ou le cocotier. Ces systèmes sont basés sm rutilisaton de: 1) variétés améliorées; 2) de meilleures techniques de multiplication végétative, d'une plante de couvert.ure pour le contrôle des mauvaises herbes et ramélioration de la fertilité; 4) d'itinéraires techniques appropriés. La présente communication montre les résultats obtenus suite à J'évaluation des performances agronomiques de jeunes parcelles de cacaoyers (5 ou 6 ans) mises en place suivant cinq systèmes de cacaoculture différents dans la région Centre du Cameroun: Trois systèmes expérimentaux installés sur sols de jachères ou de savane: - association de cacaoyers avec des arbres fruitiers (agrumes, safoutier et avocatier): 64 parcelles évaluées; - association de cacaoyers avec le palmier à huile: 15 parcelles évaluées; - un système basé sur J'association de cacaoyers avec le cocotier: 6 parcelles évaluées. Les performances agronomiques et financières de ces trois systèmes ont été comparées au: - système de cacaoculture préconisé par l'agence de vulgarisation du cacao (SODECAO): culture du cacaoyer sous ombrage léger d'essences forestières (7 parcelles); - système de cacaoculture traditionnel le plus largement utilisé: asiation de cacaoyers avec des espèces fruitières sous couvert d'espèces forestières (6 parcelles). Les résultats montrent que le coût de préparation des parcelles varie avec le précédant cultural et le type d'association. Les deux premières années, les revenus du vivrier et du plantain couvrent les coûts de gestion de la parcelle. Le maïs et le plantain contribuent fortement au revenu des parcelles quelle que soit la zone. Le revenu net devient positif au terme de la quatrième ou la cinquième anée. Le système d'association du cacaoyer avec les fruitiers est le plus efficient. II ressort que les systèmes innovants sont plus performants que les systèmes SODECAO et traditionnels. (Résumé d'auteur
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