10 research outputs found

    Assessing the agro-environmental sustainability of organic mixed-crop dairy systems on the basis of a multivariate approach

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    Sustainable development calls upon the farming sector to commit itself to the transmission of natural resources to future generations. The INRA research team of Mirecourt studies the design of environmentally-friendly farming systems. The design of these systems is based on a multitude of objectives, and their evaluation is determined by a wide range of criteria. This work aims at determining the practical conditions for implementing agricultural systems considered to be sustainable from an environmental point of view. Two organic dairy systems considered to be environmentally friendly ex ante have been designed in partnership with the staff of the INRA research team of Mirecourt. A grazing dairy system and a mixed-crop dairy system are being experimentally tested at the system scale. The two systems have environmental and agricultural objectives. They are managed using multi-objective decision rules and are assessed on their biotechnical and practical properties, using a structured multiyear experimental design, completed by a model-based assessment. Assessment is oriented towards progressive and permanent re-designing of the systems in order to increase their environmental sustainability and feasibility at the practical level. Knowledge acquired from the two prototypes will then have to be validated on commercial farms

    Quelles relations entre système fourrager et performances laitières dans les grandes exploitations laitières des Vosges ?

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    National audienceCe travail vise à mettre en évidence les éventuelles relations entre le système d'alimentation et les performances laitières d'exploitations de grandes tailles de la plaine des Vosges nous nous sommes intéressés d'une part aux pratiques d'alimentation recueillies à partir d'enquêtes en exploitations et d'autres part aux résultats de production laitière issus du contrôle laitier. Ce travail porte sur une trentaine d'exploitations laitières des Vosges caractérisées par une grande taille (100 à 300 ha et 200 à 400 000 l de lait). A l'aide d'une AFCM, nous avons classé les exploitations selon la conduite alimentaire : le type A, maïs toute l'année. VL et génisses pas de pâture la nuit ; le type B, pâture et maïs, accès au bâtiment la nuit, ensilage d'herbe pour les génisses ; le type C, maïs en hiver, pâture la nuit, foin pour les génisses. Mais ce travail met en évidence l'absence de lien simple entre l'alimentation et les performances laitières

    L'équilibre énergétique et protéique des rations complètes à base d'herbe conservée pour piloter le début de lactation des vaches laitières

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    National audienceL'utilisation de rations complètes facilite le travail en élevage laitier mais implique une ration unique pour toutes les vaches. L'impact de l'équilibre en énergie et protéines des rations complètes à base d'herbe conservée est encore mal connu. Quatre rations complètes combinant deux proportions d'aliments concentrés, 25 et 45% sur la base de la MS, et deux concentrations en protéines, 92 et 110 g/UFL, suivant un schéma factoriel 2x2 ont été offertes à volonté à quatre lots de 16 vaches laitières pendant 14 semaines en début de lactation. La plupart des effets des niveaux d'aliments concentrés et de protéines sont additifs. L'élévation de la proportion d'aliments concentrés accroît significativement l'ingestion (+1,9 kg/j), le taux protéique (+1,5 g/kg) et le taux de lactose (+0,6 g/kg). La situation énergétique des vaches laitières est améliorée avec une différence de poids vif de 10 kg et une amélioration du bilan énergétique calculé de +1 UFL/j ainsi que des concentrations plasmatiques d'insuline et de glucose. Les effets sur la reproduction ont été bénéfiques. L'accroissement de la teneur en protéines des rations a permis d'accroître l'ingestion (+0,8 kg MS/j), et plus fortement la production laitière (+3,3 kg/j), mais n'a pas modifié la composition du lait. Cette augmentation plus importante de la production que de l'ingestion a entraîné une baisse du bilan énergétique calculé (-1 UFL/j), mais le poids vif, les paramètres métaboliques et les résultats de reproduction ne sont pas en accord avec cette dégradation du bilan énergétique. Dans cet essai, la proportion d'aliments concentrés dans la ration complète a été importante pour contrôler la qualité du lait et la réussite à la mise à la reproduction alors que les teneurs en protéines ont principalement amélioré la production laitière et l'efficacité du régime en début de lactation

    Rejets azotés par les vaches laitières et lessivage de nitrates en pâturage continu

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    National audienceDepuis 1990, une extensification du pâturage continu de vaches laitières par réduction de la fertilisation azotée (55N/ha/an) a été comparée à une conduite maintenue intensive (200N/ha/an). Les prairies pâturées sont des prairies permanentes dominées par du Ray grass anglais et comportent du Trèfle blanc. Sans complémentation alimentaire (sauf déficit fourrager avéré), deux lots appariés de 30 vaches laitières ont été conduits de manière à contenir la hauteur moyenne de l’herbe, mesurée à l’herbomètre, entre 6 et 8 cm :chaque lot a produit, en moyenne pendant chaque période de pâturage, environ 20 kg de lait par jour. De 1993 à 1995, un échantillonnage pour analyse chimique (cendres, MAT, Dcell) de l’herbe offerte aux vaches laitières a kt15 réalisé chaque quinzaine sur l’ensemble des surfaces mises à leur disposition. Simultanément, la teneur en urée a été mesurée sur des laits de mélange en 1993, puis sur des laits individuels en 1994 et 1995. Par ailleurs, trois sites de collecte de l’eau par bougies poreuses horizontales (7 bougies par site) ont permis de mesurer, chaque quinzaine, les teneurs en nitrates de l’eau de percolation à une profondeur d’environ 1 mètre, sur les surfaces toujours pâturées de chaque dispositif

    Effet d'une castration tardive sur la production de boeufs Hostein et Montbéliards

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    National audienceBeef steer production in the dairy livestock systems of the east of France implements an enhanced value of pastures and a simplification of livestock managements. Traditionally, the animals are castrated before they are one-year-old. Sometimes, the animals are castrated later on, so that they can benefit from bull growth superiority. Three trials with 83 animals (41 seven-month-old weighing 265 kg, castrated before they first went out to pasture; 42 sixteen-month-old weighing 458 kg, castrated before they went out a second time to pasture) showed the effects of castration age on animal growth, carcass and meat features. Twenty seven-month-old beef steers weighing 700 kg after trough feeding mere slaughtered. The age at the castration did not change growing performances up to 16 months of age and no bull growth superiority was observed in these trials. Trough feeding with a grass silage and hay diet (for 65 to 95 days) permitted weight gains of 1000 to 1500 g per day. The age at castration had little effect on slaughter weight of the carcass (380 kg on the average), tissue composition and conformation. Holstein carcasses were, however, better classified for animals castrated at sixteen months of age than at seven months of age. Castration at 16 months of age did modify certain physicochemical muscular characteristics ties : the total collagen or haeminic iron contents were higher. These trials confirmed the better meat production abilities of the Montbeliard breed.La production du bœuf dans les exploitations laitières de l’Est de la France passe par une valorisation des prairies et une simplification des conduites d’élevage. Traditionnellement les animaux sont castrés avant l’âge d’un an. Il est parfois préconisé de repousser cet âge à la castration pour bénéficier de la supériorité de croissance du mâle entier. Trois essais réalisés sur 83 animaux (41 castrés avant la première mise à l’herbe à 7 mois, 42 castrés avant la deuxième mise à l’herbe à 16 mois) ont permis de mettre en évidence les effets de l’âge à la castration sur la croissance et les caractéristiques de la carcasse et de la viande. Les bœufs ont été abattus en moyenne à l’âge de 27 mois, à 700 kg de poids vif après une finition à l’auge. L’âge à la castration ne modifie pas les performances globales de croissance. La supériorité du mâle entier jusqu’à l’âge de 16 mois n’est pas apparue dans ces essais. La finition à l’auge avec une ration à base d’ensilage d’herbe et de foin (durée de 65 à 95 jours selon les lots) a permis un gain de poids de 1000 à 1500 g/j. L’âge à la castration a eu peu d’effet sur le poids de carcasse (en moyenne 380 kg), sa composition tissulaire et sa conformation. Toutefois les carcasses des Holstein castrés à 16 mois sont plutôt mieux classées que celles de leurs homologues castrés à 7 mois. La castration à 16 mois a modifié certaines caractéristiques physico-chimiques musculaires. Ainsi les teneurs en collagène total et en fer héminique sont plus élevées que pour une castration précoce. Ces essais ont également permis de confirmer les meilleures aptitudes à la production de viande de la race Montbéliarde

    Représenter l'organisation de la conduite d'un troupeau bovin laitier : l'exemple du troupeau de l'INRA de Mirecourt

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    National audienceNous présentons un cadre de représentation de l'organisation de la reproduction en élevage laitier, sur la base de l'analyse du fonctionnement d'un troupeau particulier, celui de l'INRA de Mirecour
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