6 research outputs found
Les principales parasitoses humaines d'origine canine ou féline
Les animaux domestiques prennent une place de plus en plus importante dans la vie de l'homme. Malgré l'affection qu'ils nous apportent, ils sont aussi susceptibles de nous transmettre des maladies, notamment des parasitoses : les principales, par leur fréquence ou leur gravité, sont décrites ici. Parmi les endoparasitoses, on trouve la leishamniose, la toxoplasmose, la toxocarose ou encore les échinoccocoses. Pour les ectoparasites, les plus fréquents sont les dermatophytes, les puces, les tiques et la gale. Le pharmacien d'officine a un rôle primordial d'écoute, d'information, de sensibilisation des propriétaires d'animaux aux règles d'hygiène quotidienne, au suivi thérapeutique des animaux (vermifugation, anti-parasitaires externes ). Il peut ainsi faire valoir dans ce domaine son rôle d'éducateur de la santé.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF
Savoir regarder pour éviter les récidives
La stabilité de nos résultats de traitements représente l'accomplissement ultime de notre pratique clinique. Nous sommes convaincus que cette stabilité est liée aux activités neuro-musculaires oro-faciale, linguale et posturale.
L'observation attentive, en début et fin de traitement, de la ventilation, de la phonation et de la déglutition de nos patients, nous permet d'espérer réduire les causes de récidive.
Nous étudions en détail les fonctions oro-faciales et leurs dysfonctionnements afin d'en faciliter la rééducation précise et bien ciblée
Intradermal vaccination prevents anti-MOG autoimmune encephalomyelitis in macaques
International audienceBACKGROUND: Autoimmune demyelinating diseases (ADD) are a major cause of neurological disability due to autoreactive cellular and humoral immune responses against brain antigens. A cure for chronic ADD could be obtained by appropriate immunomodulation.METHODS: We implemented a preclinical scheme to foster immune tolerance to myelin oligodendrocyte glycoprotein (MOG), in a cynomolgus-macaque model of experimental autoimmune encephalomyelitis (EAE), in which administration of recombinant human MOG (rhMOG) elicits brain inflammation mediated by MOG-autoreactive CD4+ lymphocytes and anti-MOG IgG. For immunotherapy, we used a recombinant antibody (Ab) directed against the dendritic cell-asialoglycoprotein receptor (DC-ASGPR) fused either to MOG or a control antigen PSA (prostate-specific antigen).FINDINGS: rhMOG and the anti-DC-ASGPR-MOG were respectively detected in CD1a+ DCs or CD163+ cells in the skin of macaques. Intradermal administration of anti-DC-ASGPR-MOG, but not control anti-DC-ASGPR-PSA, was protective against EAE. The treatment prevented the CD4+ T cell activation and proinflammatory cytokine production observed in controls. Moreover, the administration of anti-DC-ASGPR-MOG induced MOG-specific CD4+CD25+FOXP3+CD39+ regulatory lymphocytes and favoured an upsurge in systemic TGFβ and IL-8 upon rhMOG re-administration in vivo.INTERPRETATION: We show that the delivery of an anti-DC-ASGPR-MOG allows antigen-specific adaptive immune modulation to prevent the breach of immune tolerance to MOG. Our findings pave the way for therapeutic vaccines for long-lasting remission to grave encephalomyelitis with identified autoantigens, such as ADD associated with anti-MOG autoantibodies. FUND: Work supported by the French ANR (ANR-11-INBS-0008 and ANR-10-EQPX-02-01), NIH (NIH 1 R01 AI 105066), the Baylor Scott and White Healthcare System funding and Roche Research Collaborative grants