115 research outputs found

    Acetyl-cholinesterase Inhibition by Extracts and Isolated Flavones from Linaria reflexa Desf. (Scrophulariaceae):

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    Extracts, linariin, isolinariin A and B obtained from Linaria reflexa Desf. (Scrophulariaceae) were tested for acetylcholinesterase inhibition activity using Ellman's method. A dose-response relationship was observed for all extracts and isolated compounds. Flavones exhibited IC50 values ranging from 0.27 ÎĽM to 0.30 ÎĽM. The structure-activity relationship was briefly discussed

    A New Polyisoprenylated Phloroglucinol Derivative from Hypericum perfoliatum (Clusiaceae)

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    Hyperfoliatin, a new polyisoprenylated phloroglucinol derivative was isolated from the aerial parts of Hypericum perfoliatum (Clusiaceae) collected in Algeria. The structure of hyperfoliatin was elucidated on the basis of its spectral data, mainly MS and multiple-pulse NMR

    Le Tréhala, une drogue à la croisée des chemins

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    Trehala, a meeting point between zoology, botany, chemistry, and biochemistry – Trehala is a crude drug consisting of the pupal chambers formed by insects belonging to the genus Larinus that live on several Echinops species of the Middle-East. This sweet cocoon is locally used as human food and also for the treatment of cough and various pulmonary diseases. It first appeared in Western Europe in the collection of drugs from the Ottoman Empire displayed by François Della Sudda during the International Exhibition held in Paris in 1855. On the basis of this sample Nicolas Guibourt (1790-1867) gave, in 1858, the first full scientific description of the drug, its origin, and Larinus nidificans as the main insect species responsible for its formation. Marcellin Berthelot (1827-1907) isolated in the same year the sugar trehalose from the drug and gave a full account of its physical and chemical properties. In 1876, Müntz established that trehalose was identical with mycose isolated from Claviceps purpurea by Mitscherlich.Le tréhala est constitué par les cocons durs formés par des insectes du genre Larinus vivant sur diverses espèces d’Echinops originaires du Moyen-Orient. Cette drogue à la saveur sucrée est utilisée localement pour l’alimentation humaine, de même que pour le traitement de la toux et de diverses affections broncho-pulmonaires. Le tréhala fut observé pour la première fois en Europe occidentale dans la collection de «matière médicale de l’Empire ottoman » , présentée par François Della Sudda lors de l’Exposition universelle de Paris en 1855. Sur la base de cet échantillon, Nicolas Guibourt (1790-1867) donna la première description de la drogue et de Larinus nidificans, la principale espèce d’insecte responsable de sa formation. Marcellin Berthelot (1827-1907) en isola la même année un sucre nouveau, le tréhalose, dont il décrivit les principales propriétés physiques et chimiques. L’identité de ce sucre avec le mycose, isolé ultérieurement de l’ergot de seigle par Mitscherlich fut établie par Müntz en 1876.Tillequin François. Le Tréhala, une drogue à la croisée des chemins . In: Revue d'histoire de la pharmacie, 96e année, N. 362, 2009. pp. 163-172

    Henri Moissan et l'opium

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    Henri Moissan and opium. As professor of toxicology at the École supérieure de pharmacie de Paris, Moissan analyzed the smoke of opium. He characterized morphine at 250 °C. This alkaloid was accompanied by pyrrole, acetone and pyridine derivatives at higher temperature. He concluded that the smoke of chandôo only brought small amounts of morphine in the smokers' lungs, whereas dross, obtained by scraping partly combusted residues of opium from the pipe bowls, generated toxic compounds since it had to be smoked at 300 °C.Henri Moissan et l'opium. Nommé professeur titulaire de toxicologie à l'École supérieure de pharmacie de Paris en 1887, Moissan réalisa l'analyse de la fumée d'opium. Il mit en évidence à la présence de morphine dès 250 °C, accompagnée, à température plus élevée, de pyrrole, d'acétone et de bases pyridiques et hydropyriques. Il en conclut que la fumée de chandôo, ou opium des fumeurs, n'apportait aux poumons qu'une très petite quantité de morphine, alors que celle de dross, constitué de résidus du grattage des pipes, dont la décomposition n'avait lieu qu'à une température de 300 °C, produisait des composés toxiques.Tillequin François. Henri Moissan et l'opium. In: Revue d'histoire de la pharmacie, 94ᵉ année, n°356, 2007. pp. 485-494

    Schoenocaulon officinale (la cévadille)

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    PARIS-BIUP (751062107) / SudocSudocFranceF

    Calotropis procera

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    PARIS-BIUP (751062107) / SudocSudocFranceF

    Les salsepareilles médicinales d'origine américaine Smilax L.

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    PARIS-BIUP (751062107) / SudocSudocFranceF

    Les espèces africaines du genre Guibourtia Benn.

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    PARIS-BIUP (751062107) / SudocSudocFranceF

    Pseudocinchona africana A. Chev.

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    Le pseudocinchona africana A. Chev. est présent dans une région particulière d'Afrique, dans la grande forêt tropicale de la Côte d'Ivoire. Bien connue localement, cette espèce a été étudiée par les botanistes français au début du XXe siècle. Cet arbre de 15 à 20 m de hauteur et large de 15 à 35 cm possède une écorce relativement mince d'un blanc jaunâtre, des feuilles de 15 à 20 cm de long et de 5 à 7 cm de large, ainsi que des fleurs formant une inflorescence pyramidale. De cet arbre ont été extraits et identifiés six alcaloïdes : la corynanthine et la corynanthidine dont les études ont montré que ces deux molécules sont des isomères de la yohimbine ; la corynanthéïne et la corynanthéïdine qui sont de même formule brute mais possède un sens rotatoire différent ; et deux alcaloïdes oxyndoliques, la corynoxéïne et la corynoxine. Le pseudocinchona africana A. Chev. possède de par ses alcaloïdes une action sympatholytique ainsi qu'une action érective deux fois plus active que la yohimbine. Des études en toxicologie ont également été réalisées sur des cobayes afin de déterminer leur seuil de toxicitéPARIS-BIUP (751062107) / SudocSudocFranceF
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