43 research outputs found

    Mutations in DNAH1, which encodes an inner arm heavy chain dynein, lead to male infertility from multiple morphological abnormalities of the sperm flagella.

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    International audienceTen to fifteen percent of couples are confronted with infertility and a male factor is involved in approximately half the cases. A genetic etiology is likely in most cases yet only few genes have been formally correlated with male infertility. Homozygosity mapping was carried out on a cohort of 20 North African individuals, including 18 index cases, presenting with primary infertility resulting from impaired sperm motility caused by a mosaic of multiple morphological abnormalities of the flagella (MMAF) including absent, short, coiled, bent, and irregular flagella. Five unrelated subjects out of 18 (28%) carried a homozygous variant in DNAH1, which encodes an inner dynein heavy chain and is expressed in testis. RT-PCR, immunostaining, and electronic microscopy were carried out on samples from one of the subjects with a mutation located on a donor splice site. Neither the transcript nor the protein was observed in this individual, confirming the pathogenicity of this variant. A general axonemal disorganization including mislocalization of the microtubule doublets and loss of the inner dynein arms was observed. Although DNAH1 is also expressed in other ciliated cells, infertility was the only symptom of primary ciliary dyskinesia observed in affected subjects, suggesting that DNAH1 function in cilium is not as critical as in sperm flagellum

    Fertilité et aneuploïdies spermatiques après traitement par radiothérapie et chimiothérapie pour cancer testiculaire ou lymphome

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    La chimiothérapie et la radiothérapie anticancéreuses permettent la guérison de nombreuses pathologies. La toxicité gonadique de ces traitements est importante à considérer pour tout sujet jeune. Chez l'homme, en plus de l'atteinte de la spermatogenèse, ces traitements pourraient altérer la constitution chromosomique des spermatozoïdes. Nous avons analysé par FISH sur noyaux spermatiques les anomalies de nombre des chromosomes 13, 18, 21, X et Y chez 19 patients traités pour cancer testiculaire ou lymphome entre 1995 et 2000, que nous avons comparés à ceux de sujets témoins fertiles sains. Sept patients présentaient des taux d'aneuploïdies modérément élevés, sans lien statistique retrouvé avec les différentes modalités de traitement. Aussi, dans le cadre de l'aide médicale à la procréation avec sperme frais, un délai de 2 ans après traitement devrait être respecté. Passé ce délai, une analyse chromosomique des gamètes pourrait être conseillée afin d'adapter au mieux la conduite médicale.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Extension de l’AMP aux demandes sociétales: questionnements éthiques et juridiques

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    International audienceA ce jour, l’utilisation en France des techniques d’aide médicale à la procréation, vise à remédier aux infertilités de couple relevant d’une origine médicale ou à éviter la transmission d’une affection d’une particulière gravité à la descendance du couple. L’homme et la femme formant le couple doivent être vivants et consentants pour bénéficier de ces techniques utilisant leurs propres gamètes ou les gamètes d’un tiers donneur. Une évolution de la loi est en discussion et ces techniques pourraient alors être accessibles aux couples de femmes ou aux femmes seules. Cette soirée de discussion permettra d’aborder des questionnements en termes d’égalité reproductive des hommes et des femmes ou d’équité dans l’accès à ces techniques.Des questions juridiques concernant la famille et la filiation seront également abordées. Après deux courtes présentations de la problématique, une large place sera faite à la discussion

    Extension de l’AMP aux demandes sociétales: questionnements éthiques et juridiques

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    International audienceA ce jour, l’utilisation en France des techniques d’aide médicale à la procréation, vise à remédier aux infertilités de couple relevant d’une origine médicale ou à éviter la transmission d’une affection d’une particulière gravité à la descendance du couple. L’homme et la femme formant le couple doivent être vivants et consentants pour bénéficier de ces techniques utilisant leurs propres gamètes ou les gamètes d’un tiers donneur. Une évolution de la loi est en discussion et ces techniques pourraient alors être accessibles aux couples de femmes ou aux femmes seules. Cette soirée de discussion permettra d’aborder des questionnements en termes d’égalité reproductive des hommes et des femmes ou d’équité dans l’accès à ces techniques.Des questions juridiques concernant la famille et la filiation seront également abordées. Après deux courtes présentations de la problématique, une large place sera faite à la discussion

    Extension de l’AMP aux demandes sociétales: questionnements éthiques et juridiques

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    International audienceA ce jour, l’utilisation en France des techniques d’aide médicale à la procréation, vise à remédier aux infertilités de couple relevant d’une origine médicale ou à éviter la transmission d’une affection d’une particulière gravité à la descendance du couple. L’homme et la femme formant le couple doivent être vivants et consentants pour bénéficier de ces techniques utilisant leurs propres gamètes ou les gamètes d’un tiers donneur. Une évolution de la loi est en discussion et ces techniques pourraient alors être accessibles aux couples de femmes ou aux femmes seules. Cette soirée de discussion permettra d’aborder des questionnements en termes d’égalité reproductive des hommes et des femmes ou d’équité dans l’accès à ces techniques.Des questions juridiques concernant la famille et la filiation seront également abordées. Après deux courtes présentations de la problématique, une large place sera faite à la discussion

    Les phospholipases, enzymes clés de la physiologie spermatique

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    Chez les mammifères, la physiologie du spermatozoïde dans les voies génitales femelles est complexe, et plusieurs étapes bien définies doivent être franchies pour que le spermatozoïde puisse féconder l’ovocyte. Les phospholipases, qui permettent de contrôler la composition lipidique du spermatozoïde en hydrolysant les phospholipides de manière très spécifique, sont impliquées dans des mécanismes aussi variés que le contrôle du battement flagellaire, la capacitation, la réaction acrosomique, ainsi que dans le déclenchement des oscillations calciques de l’ovocyte qui entraînent l’activation ovocytaire. Deux phospholipases, la PLCζ et la PLA2 sécrétée de groupe X, pourraient représenter des cibles thérapeutiques pour lutter contre l’infertilité masculine

    [Function of aurora kinase C (AURKC) in human reproduction]

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    International audienceInfertility concerns at least 70 million couples worldwide. An important proportion of cases is believed to have a genetic component, yet few causal genes have been identified so far. Hundreds of genes are probably involved in spermatogenesis and oogenesis and this genetic heterogeneity has so far hindered the identification of genes causing infertility in the human. Careful morphological examination of spermatozoa can provide cues to identify homogeneous cohorts of patients likely to have the same genetic defect. We studied a cohort of North-Africans patients with a rare phenotype of large-headed spermatozoa. Using a homozygosity mapping strategy, we could map the morbid gene and we identified the same homozygous mutation (c.144delC) in the aurora kinase C gene (AURKC) of all patients studied initially. We then genotyped a total of 62 patients. All who had a typical phenotype with close to 100% large-headed spermatozoa were homozygously mutated (n=34), whereas no AURKC mutations were detected in the others. A carrier frequency of 1/50 was established from individuals from the Maghrebian population, indicating that 1 in 10,000 men from North-African can be expected to present this form of infertility, a frequency comparable to that of Y-microdeletions, thus far the only known recurrent genetic event altering spermatogenesis. Then we demonstrated by flow cytometry that all spermatozoa have in fact a homogeneous 4C. We recommend the realisation of a molecular diagnosis to all patients with large-headed spermatozoa. ICSI is formally contraindicated for all homozygous patients who can have recourse to donor sperm or adoption. One cannot be as categorical for the patients not harbouring an AURKC mutation
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