375 research outputs found
Batik: A Process and a Means of Progress
I chose an alternative ISP of doing batik because it incorporated all of the facets of my interests: anthropology, international development, and art. As an artist, creating my own batik satisfied my love for expressing how I see the world through art. As an anthropologist, I was able to gain insight on a new culture. As an international activist, I was able to explore how batik can be used as a mechanism to improve the quality of life for people in Senegal. While my project was all encompassing, the primary objective of my research was to gain an understanding of the techniques and process of making batik. I accomplished this by taking formal batik lessons. The other component of my research was to narrow the broad subject of batik through a focus on how art can be used as an empowerment tool. For the purpose of my paper, empowerment is defined as having reliable economic opportunities that can be used to enhance the quality of life for people in Senegal. My objective in doing so was to explore how art can provide opportunities for work and the economic means to better one’s way of life. I accomplished this by conducting interviews only with other batik artists and arts empowerment groups in Senegal.
This ISP concluded in the creation of four batik tableaux and a multiplicity of smaller pieces. The process of making batik also made me reevaluate how I work as an artist and inspired me to let the batik flow naturally from my creative core. Finally, as a means of empowerment, the final results of my research showed that l’art du batik[1] is a less successful means of generating income than petit artisanats[2] who make batik for the sole purpose of selling.
[1] The art of batik. This refers to batik created for the sole purpose of being art for art’s sake, and often entails multiple colors and intricate images.
[2] Craftsmen. This type of batik is more simplistic and easily reproducible for mass vending
Pandora, vol. 1 et 2
Ces deux CD proposent des œuvres « post-byzantines », c’est-à -dire de l’après 1453, et se distinguent donc de la série précédente, consacrée à la période classique. Les musiques sont complètement différentes : elles sont d’un caractère plus franc et plus simple, les mélodies sont plus faciles à mémoriser et se rapprochent de celles de l’Occident. Les œuvres débutent par un bref taksim (voir aussi les deux dernières œuvres du CD « Sympotika » vol. 2), et les strophes sont séparées par des inte..
Byzantine Maistores : Ioannis Koukouzelis, vol. 1
Ce coffret comporte quinze œuvres. Certaines sont brèves, comme Voulgarikon (3’30), qui provient du coffret 1 de la série précédente, d’autres au contraire très longues (deux pièces de 17’), dont Du Roi du même coffret 1. Halaris a en effet repris trois enregistrements du coffret 1 et deux du coffret 3, (soit un tiers de la durée totale du présent coffret) et a enregistré de nouvelles pièces, avec d’ailleurs une prise de son moins réverbérée. Le Tisserand (CD 2) est une version différente de ..
Akritika
Les chants « akritiques » sont les chants des Akrites, c’est-à -dire des guerriers que le gouvernement central de l’Empire byzantin plaçait aux frontières pour empêcher toute invasion. Les Akrites appartenaient à des peuples différents ; ils étaient recrutés comme gardiens des « limites » (akra) et l’Empire leur assurait de nombreux et substantiels avantages : la propriété de terres cultivables, l’exonération d’impôts, etc. Christodoulos Halaris, dans son livret, nous offre un texte documenté ..
Byzantine Secular Classical Music
« De musique cachée, on ne fait point de cas »(Proverbe de l’Antiquité grecque) Byzantine Secular Classical Music, Vol. 1 Sous-titre français : « Les chefs d’œuvre de la Musique Profane d’Antan (Musique Classique Séculaire Byzantine), par Christodoulos Halaris » (recherches, transcriptions, orchestration et direction).Né en 1946, Christodoulos Halaris est l’un des compositeurs les plus en vue dans la Grèce actuelle. Musicien, chanteur, compositeur, arrangeur, et chef d’orchestre, il a fait un..
Byzantine Maistores : Emmanuel Doukas Chrysaphis, vol. 1.
Manouil Doukas Chrysaphis fut le dernier grand compositeur de l’Empire byzantin. Il vécut le siège de Constantinople (1453) où il put voir, nous dit Halaris, « les Conquérants cuisiner en brûlant les manuscrits précieux des bibliothèques »… Il est, comme Koukouzelis, un Maïstor (un Maître) et son nom est fréquemment complété (ou même remplacé) par Lampadarios, c’est-à -dire chef de chœur, premier chantre (à Sainte-Sophie). Lui aussi fut musicien du Palais, et les empereurs lui firent des comma..
- …