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    Jacques Poulain, L'age pragmatique, De l'expérimentation totale

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    Le problème actuel de l'anthropologie thomiste

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    Breton Stanislas. Le problème actuel de l'anthropologie thomiste. In: Revue Philosophique de Louvain. Troisième série, tome 61, n°70, 1963. pp. 215-240

    Les premiers christianismes : R. Nouailhat, Les premiers christianismes.

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    Breton Stanislas. Les premiers christianismes : R. Nouailhat, Les premiers christianismes.. In: Dialogues d'histoire ancienne, vol. 15, n°2, 1989. pp. 522-525

    Dialogue : Symbole, image, prodige

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    Breton Stanislas. Dialogue : Symbole, image, prodige. In: Dialogues d'histoire ancienne, vol. 7, 1981. pp. 309-322

    «Le Plaisir de Parler». Réflexions sur la Sophistique

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    Although a detestable character the sophist nonetheless fascinates Aristotle who owes to this collision, as much out of reaction as from the necessity to invent, the basics of a Metaphysics, the heart of which (Book Gamma) is defined simultaneously by the necessity of wishing to say something (semainein ti) and the correlative impossibility of withdrawing oneself from the jurisdiction of the principle of noncontradiction. The study of the recent work Le Plaisir de Parler makes it possible to situate sophistry (the first and the second) in the historic field of philosophy and to measure the importance of the alternative which it represents in the face of the categorical imperative of meaning which has become, as much by science as by metaphysics, a destiny in the West. The Logou charin arises from the Aristotelian condemnation and proposes for consideration the other and strange possibility of a discourse which would no longer be subject to the constraints of ontology. (Transl, by J. Dudley).Figure détestable, le sophiste n'en reste pas moins fascinant pour Aristote qui doit à ce choc, par réaction autant que par la nécessité d'une invention, l'essentiel d'une Métaphysique, dont le centre (le livre Gamma) se définit simultanément par la nécessité du vouloir-dire (semainein ti) et l'impossibilité, corrélative, de se soustraire à la juridiction du principe de non-contradiction. L'étude de l'ouvrage récent «Le Plaisir de Parler» permet de mieux situer la sophistique (la première et la seconde) dans le champ historique de la philosophie, et de mesurer l'importance de l'alternative qu'elle représente face à l'impératif catégorique de la signification, devenu, par la science autant que par la métaphysique, un destin occidental. Le Logou charin se relève de la condamnation aristotélicienne et propose à la réflexion l'autre et étrange possibilité d'un discours qui ne serait plus soumis aux contraintes de l'ontologie.Breton Stanislas. «Le Plaisir de Parler». Réflexions sur la Sophistique. In: Revue Philosophique de Louvain. Quatrième série, tome 85, n°67, 1987. pp. 356-370

    Kearney's The God Who May Be

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    Jacques Poulain, L'age pragmatique, De l'expérimentation totale

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    Sophistique et ontologie

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    Book Gamma of Aristotle's Metaphysics is still the basic text which any serious thought on ontology takes and must take into consideration. B. Cassin and M. Narcy 's book entitled La décision du sens offers an outstanding opportunity to return to this fundamental work. Now in Book Gamma it is above all else a matter of "wanting to say something". That is the decision required by Aristotle of any man who wishes to be a man. This decision, which the Sophist must make his own, if he agrees to speak, is thus that which brought about the existence of ontology. (Transl. by J. Dudley).Le livre Gamma de la Métaphysique d'Aristote est, aujourd'hui encore, le lieu obligé où passe et doit passer toute réflexion sérieuse sur l'ontologie. L'ouvrage de B. Cassin et M. Narcy, La décision du sens, est l'occasion rêvée d'un retour à ce texte fondamental. Or, dans le livre Gamma, il s'agit avant tout de «vouloir dire quelque chose». Telle est la décision qu'Aristote exige de tout homme s'il veut être un homme. Cette décision que le Sophiste doit faire sienne, s'il consent à parler, est aussi bien ce qui a décidé de l'existence de l'ontologie.Breton Stanislas. Sophistique et ontologie. In: Revue Philosophique de Louvain. Quatrième série, tome 90, n°87, 1992. pp. 279-296

    Sur le «banal» et le «quelconque»

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    Die in seiner These aufgezeigten Ansichten von Jerphagnon weiterführend, stützt sich der Artikel auf «den gewöhnlichen Menschen», der in Italien für eine politische Bewegung bezeichnend war. Dann wird eine Gegenüberstellung von Niemand und Nobody vorgenommen, im 16. Jahrhundert Gegenstand einer ganzen Literatur. Über die beiden Aspekte hinausgehend, deutet die Untersuchung auf eine paradoxale Affinität mit dem Rien und dem Nemo der negativen Theologien, deren dunkle Vorausahnung der Ausspruch des Odysseus «Ich heiße Niemand» gewesen wäre.Developing the views set out a long time ago by Jerphagnon in his thesis, the article centres initially upon the phenomenon of the 'anybody' who could be considered as the sign, in Italy, of a political movement. It then attempts a comparison with the Niemand and the Nobody which presented the thematic basis to an important part of Sixteenth-century literature. Going beyond these two forms of approach, the analysis goes on to suggest a paradoxical affinity with the extreme notions of the Rien and the Nemo in negative theology, a vague premonition of which is already to be found in the saying of Ulysses, «My name is nobody».Prolongeant les vues de Jerphagnon dans sa thèse de jadis, l'article prend appui sur «l'homme quelconque» qui fut, en Italie, l'indicatif d'un mouvement politique. Puis, il tente un rapprochement avec le Niemand et le Nobody, objet, au XVIe siècle, de toute une littérature. Outrepassant ces deux niveaux d'approche, l'analyse suggère une paradoxale affinité avec le Rien et le Nemo par excès des théologies négatives, dont le dit ulysséen «Je m'appelle personne» aurait été l'obscur pressentiment.Desarrollando las consideraciones de Jerphagnon en su antigua tesis, el artículo se apoya sobre «el hombre cualquiera» que fue, en Italia, el signo de un movimiento político. Luego intenta un acercamiento con el Niemand y el nobody objeto de toda una literatura en el siglo XVI. Yendo más allá de estos dos niveles de aproximación, el análisis sugiere una afinidad paradógica con el Rien y el Nemo por exceso de las teologías negativas de las que el dicho ulisiano «yo me llamo nadie» habría sido el oscuro presentimiento.BRETON Stanislas. Sur le «banal» et le «quelconque». In: Cahiers de Fontenay, n°55-57, 1989. Du banal au merveilleux. Mélanges offerts à Lucien Jerphagnon. pp. 315-324
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