36 research outputs found

    Les « bĂątiments Ă  auges » d’HaĂŻdra : des Ă©curies ?

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    International audienc

    Guerre

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    International audienc

    Des Ă©quidĂ©s porteurs d’empire : compagnons de route et d’infortune Ă  l’époque nĂ©o-assyrienne

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    International audienceA la fois force de traction, mais aussi compagnon de route, les Ă©quidĂ©s aux cĂŽtĂ©s de l’armĂ©e semblent constamment prĂ©sents Ă  l’époque nĂ©o-assyrienne (IXe – VIe siĂšcles avant notre Ăšre). Les travaux archĂ©ologiques, philologiques ou encore iconographiques ont relevĂ©s la prĂ©sence des Ă©quidĂ©s sans toutefois en faire un objet d’étude Ă  part entiĂšre. UtilisĂ©s avant tout pour faciliter les dĂ©placements de l’armĂ©e, l’analyse systĂ©matique des reprĂ©sentations d’équidĂ©s sur la route, se dĂ©plaçant jusqu’au champ de bataille, combattant et enfin rejoignant victorieusement la capitale de l’empire, permet de soulever de nouvelles questions. Le cheval, Ă©quidĂ© le plus reprĂ©sentĂ©, est-il constamment utilisĂ© ? Qu’en est-il de l’ñne ou de la mule ? Ces Ă©quidĂ©s sont-ils utilisĂ©s lors des combats ou simplement sur la route y menant ? L’étude des reliefs nĂ©o-assyriens, issus des palais royaux de Nimrud, Khorsabad et Ninive, figurant les Ă©quidĂ©s, sont porteurs d’élĂ©ments rĂ©vĂ©lateurs de cette exploitation tout en constituant un corpus parfaitement homogĂšne tant chronologiquement que gĂ©ographiquement. S’il est aisĂ© de constater des Ă©volutions et des changements dans la fonction donnĂ©e Ă  chacun de ces Ă©quidĂ©s Ă  travers les diffĂ©rents rĂšgnes nĂ©o-assyriens, il convient de noter que leur prĂ©sence est permanente. Capables de surmonter tous les obstacles naturels, steppes arides, fleuves torrentueux ou encore hautes montagnes, les Ă©quidĂ©s frappent la route de leur pieds assurĂ©s. Compagnons indĂ©fectibles de l’armĂ©e, les Ă©quidĂ©s apparaissent comme des acteurs majeurs de la circulation des soldats, mais aussi des populations dĂ©placĂ©es

    Assyrien et perse : sur les traces d’une identitĂ© Ă©quine

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    National audienc

    De l’expression des passions Ă  une figure animale anthropomorphe : les bĂȘtes face au roi dans les reliefs nĂ©o-assyriens (IXe – VIIe s. av. J.-C.) 

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    Si la dimension symbolique du conflit opposant le roi nĂ©o-assyrien Ă  la figure sauvage du lion a pu ĂȘtre Ă©tudiĂ©e, notamment par E. Cassin, il convient toutefois de prĂ©ciser que le fĂ©lin n’est pas le seul animal faisant face au monarque.AccompagnĂ© tant par ses chevaux que par ses chiens, le souverain chasse et s’oppose Ă  de nombreux animaux tels que les hĂ©miones ou les cervidĂ©s. Les reliefs nĂ©o-assyriens nous documentent largement sur cette pratique dĂ©veloppĂ©e au sein de l’empire.La figuration de ces Ă©vĂšnements cynĂ©gĂ©tiques prĂ©sente un roi aux traits du visage fermĂ©s, marquĂ© par un important stoĂŻcisme : il contrĂŽle parfaitement ses Ă©motions. Les animaux apparaissent, quant Ă  eux, en proie Ă  leurs passions. La rage, la fureur, la dĂ©termination mais Ă©galement l’effroi et la douleur se lisent parfaitement sur les traits de ces multiples bĂȘtes. Un dĂ©placement s’opĂšre alors depuis la figure humaine vers celle des animaux, telle une anthropomorphisation de la figure animale. Il s’agit ici de tenter de comprendre l’existence mĂȘme de ce transfert Ă©motionnel mais Ă©galement son impact sur la valeur discursive de l’image ainsi modifiĂ©e. Il convient en outre d’effectuer une Ă©tude comparative des Ă©motions exprimĂ©es par les animaux reprĂ©sentĂ©s – domestiques et sauvages – mĂąles et femelles – afin de mieux percevoir les liens que les hommes entretenaient avec chacun d’entre eux. L’apport des sciences vĂ©tĂ©rinaires et Ă©thologiques permet ici d’évaluer la vĂ©racitĂ© du rendu des affects animaliers.Afin de respecter le temps imparti et pour assurer l’homogĂ©nĂ©itĂ© du corpus, seuls les reliefs figurant des scĂšnes de chasse issus des palais assyriens de Nimrud, Khorsabad et Ninive seront Ă©tudiĂ©s. Chevaux affolĂ©s, chiens dĂ©terminĂ©s, lions enragĂ©s ou cervidĂ©s apeurĂ©s, tels sont les premiers qualificatifs que l’on pourrait donner aux animaux reprĂ©sentĂ©s dans les reliefs assyriens. Le roi, lui, depuis son char ou montĂ© sur son destrier lancĂ© Ă  pleine vitesse, se mure dans une absence d’expression. Il guide pourtant l’action oĂč seules les bĂȘtes semblent s’émouvoir. Reste Ă  savoir si ces passions sont bestiales ou si, Ă©minemment humaines, elles ne rĂ©vĂšlent pas toutes leurs forces grĂące Ă  ce dĂ©placement vers la figure animale

    L’évolution du geste du cavalier archer assyrien : une recherche iconographique

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    International audienc

    L’image des Ă©quidĂ©s assyriens : une Ă©tude iconographique au prisme de l’observation vĂ©tĂ©rinaire

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    International audienceL'empire néo-assyrien (IX e-VII e s. av. J.-C.) est un empire conquérant. L'armée, menant des campagnes annuelles, a un besoin constant en ressources équines. Victorieux, les rois assyriens font orner les murs de leurs palais de reliefs figuratifs représentant leurs exploits. Ces reliefs sculptés présentent de nombreuses actions militaires et cynégétiques. Les équidés, parmi lesquels les chevaux, y prennent activement part. Leurs représentations sont marquées par de multiples détails particuliers qui apparaissent comme le fruit de conventions iconographiques ou à l'inverse, comme les témoins d'un réalisme naturaliste. L'observation du réel attaché à une approche comparatiste permet alors d'apporter de nouvelles pistes de recherche afin de mettre en lumiÚre le caractÚre intrinsÚque des détails sculptés

    L’iconographie assyrienne du cheval au risque de l’observation vĂ©tĂ©rinaire

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    International audienc

    Horses in Neo-Assyrian Reliefs: Observing Physical Types and Their Development

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    One of the recurring motifs in Neo-Assyrian imagery is the horse. Essential for military or hunting scenes, it occupies an important part of the visual framework. However, not all horse f igures are the same and it is easy to differentiate them stylistically in the reliefs. Therefore, we attempt a specific iconographical study of the horse’s shape and morphotype through the different reigns of Assyrian kings. In addition, we discuss the modification of the engraved space as a whole. We thus focus our attention on the use and the disposition of horses within the engraved composition. For this purpose, we follow a comparative method based on the study of physical characteristics and compare the various postures in which horses are shown to try to perceive visual and discursive changes within the images. Thus, from the slender horses of the Ashurnasirpal’s era, to the muscular and fleshy ones of Ashurbanipal, we will question their morphotypes. This approach allows us to take into consideration the horse as a narrative and discursive tool characterising a visual culture necessarily in flux
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