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    Establishment of early donor engraftment after reduced-intensity allogeneic hematopoietic stem cell transplantation to potentiate the graft-versus-lymphoma effect against refractory lymphomas

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    AbstractReduced-intensity allogeneic hematopoietic stem cell transplantation (alloHSCT), which typically results in mixed chimerism initially after transplantation, has had limited efficacy in chemotherapy-refractory lymphomas. We hypothesized that the rapid establishment of complete donor chimerism would potentiate a graft-versus-lymphoma effect. Fifteen patients with chemotherapy-refractory lymphoma initially received induction with a conventional chemotherapy regimen (etoposide, prednisone, vincristine, cyclophosphamide, adriamycin, fludarabine [EPOCH-F]) to deplete host T cells and provide disease control prior to alloHSCT. Patients then received conditioning with fludarabine and cyclophosphamide followed by alloHSCT from HLA-matched siblings. Graft-versus-host disease prophylaxis consisted of cyclosporine alone. EPOCH-F resulted in 73% of patients having partial responses or stable disease. EPOCH-F depleted host CD4+ T cells from a median of 235 cells/μL to 56 cells/μL. Fourteen patients underwent alloHSCT, and all had >95% donor engraftment by day 14 after transplantation. The incidence of Grade II to III acute graft-versus-host disease was 71%. There were two therapy-related deaths. There were 8 partial responses and 3 complete responses (CRs) at day 28. Five additional CRs were observed at day 100 without withdrawal of cyclosporine or donor lymphocyte infusion. The rate of CRs for all 15 patients was 60%. The 1-year progression-free survival rate from time of study entry is 67% with only 1 relapse among 9 CRs. At a median potential follow-up of 28 months, the overall survival rate is 53%. These data demonstrate that a potent and durable graft-versus-lymphoma effect can occur against chemotherapy-refractory lymphomas and suggest that this effect may be associated with rapid, complete donor chimerism after reduced-intensity alloHSCT. © 2003 American Society for Blood and Marrow TransplantationBiology of Blood and Marrow Transplantation 9:162-169 (2003

    Coopération entre des bactéries solubilisatrices de phosphate et le champignon mycorhizien à arbuscule Rhizophagus irregularis dans la nutrition phosphatée de la pomme de terre

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    National audienceLe phosphore est un élément essentiel pour le développement des plantes. Néanmoins, la majorité des ions phosphate est incorporée dans des structures organiques (Po) et inorganiques (Pi) insolubles qui rende cet élément très peu disponible pour les plantes et en particulier pour la pomme de terre (Solanum tuberosum). Dans les sols, le phytate (molécule de réserve phosphatée des plantes), est une source essentielle. Pour accéder au phosphate, les plantes ont développé des symbioses mutualistes à bénéfices réciproques avec des microorganismes de la rhizosphère capables d’extraire le P. Dans ce contexte, les objectifs de cette étude étaient de i) déterminer si la disponibilité en P du sol impacte la distribution des communautés bactériennes efficaces pour mobiliser le P et ii) développer des associations contrôlées tripartites entre plante/champignon mycorhizien et souche bactérienne efficace pour mobiliser le P. Un total de 185 souches bactériennes provenant de trois sols caractérisés par des concentrations en phosphate total différentes ont été caractérisées sur leur capacité à rompre des complexes de Po (phytate) et de Pi (Tricalcique phosphate) ainsi à acidifier. Cette étude a révélé que la concentration en phosphate libre d’un sol affecte la fréquence et l’efficacité des communautés bactériennes capables de dégrader le phytate. La souche bactérienne 11.2B affiliée au genre Erwinia est apparue comme la plus efficace dans cette fonction de solubilisation. La comparaison des résultats issus des différents biotests suggère que la solubilisation du phytate dans nos collections serait essentiellement due à une acidification, plutôt qu’à une activité phytase strictement. Un protocole expérimental visant à associer S. tuberosum, le champignon mycorhizien à arbuscule Rhizophagus irregularis et la souche 11.2B a été développé in vitro. Ce modèle expérimental a pour but d’analyser in fine l’impact de ces deux microorganismes symbiotiques sur la nutrition phosphatée du plant de pomme de terre
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