13 research outputs found

    124 Peak systolic 2D strain may help to characterize arrhytmogenic right ventricular cardiomyopathy

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    BackgroundArrythmogenic right ventricular cardiomyopathy (ARVC) is an inherited disease characterized by progressive fibrofatty replacement of the right ventricle (RV). The diagnosis of ARVC remains a challenge for clinicians. We hypothesized that 2D strain imaging helps to differentiate ARVC from normals.Material and Methods20 patients meeting both the Task Force and cardiac MRI criteria for ARVC were compared to 10 age-matched controls. From the apical-4 chamber view, we measured the end-diastolic RV area, the peak systolic S tissue velocity at the tricuspid level. A 2D strain region of interest including the RV free wall and the septum (occasionally diseased in ARVC) was manually traced, from which the averaged peak systolic 2D strain along 6 segments was calculated. Pulmonary systolic pressure as well as the systolic right atrial area were measured as surrogate for RV loading conditions. Overall, patients with ARVC had both larger right atrial and ventricular area (p<0.03 and p<0.02, respectively), compared to controls while pulmonary systolic pressure were similar in both groups (p=0.40). Peak systolic 2D strain was statistically deteriorated in ARCV patients (13±6 vs. 23±4% in normals, p<0.001) so as peak systolic S tissue velocity (8±3 vs. 12±4 in normals, p<0.005). From the ROC analysis, a peak systolic 2D strain of 19.7% had a sensitivity and specificity of 82% and 86% (AUC=90) while the peak systolic tissue velocity of 12 cm/s gave a sensitivity of 83% and a specificity of 71% (AUC=79).ConclusionPeak systolic 2D strain is deteriorated in ARVC patients and may help to characterize arrythmogenic right ventricular cardiomyopathy

    Multi-national survey on the methods, efficacy, and safety on the post-approval clinical use of pulsed field ablation (MANIFEST-PF).

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    AIMS Pulsed field ablation (PFA) is a novel atrial fibrillation (AF) ablation modality that has demonstrated preferential tissue ablation, including no oesophageal damage, in first-in-human clinical trials. In the MANIFEST-PF survey, we investigated the 'real world' performance of the only approved PFA catheter, including acute effectiveness and safety-in particular, rare oesophageal effects and other unforeseen PFA-related complications. METHODS AND RESULTS This retrospective survey included all 24 clinical centres using the pentaspline PFA catheter after regulatory approval. Institution-level data were obtained on patient characteristics, procedure parameters, acute efficacy, and adverse events. With an average of 73 patients treated per centre (range 7-291), full cohort included 1758 patients: mean age 61.6 years (range 19-92), female 34%, first-time ablation 94%, paroxysmal/persistent AF 58/35%. Most procedures employed deep sedation without intubation (82.1%), and 15.1% were discharged same day. Pulmonary vein isolation (PVI) was successful in 99.9% (range 98.9-100%). Procedure time was 65 min (38-215). There were no oesophageal complications or phrenic nerve injuries persisting past hospital discharge. Major complications (1.6%) were pericardial tamponade (0.97%) and stroke (0.4%); one stroke resulted in death (0.06%). Minor complications (3.9%) were primarily vascular (3.3%), but also included transient phrenic nerve paresis (0.46%), and TIA (0.11%). Rare complications included coronary artery spasm, haemoptysis, and dry cough persistent for 6 weeks (0.06% each). CONCLUSION In a large cohort of unselected patients, PFA was efficacious for PVI, and expressed a safety profile consistent with preferential tissue ablation. However, the frequency of 'generic' catheter complications (tamponade, stroke) underscores the need for improvement

    La stimulation positionnelle (évaluation d'une nouvelle technique permettant de différencier une conduction à travers la crista terminalis d'un bloc isthmique incomplet après ablation du flutter auriculaire typique)

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    Le flutter auriculaire typique est un trouble du rythme supra-ventriculaire en rapport avec un circuit de macro-réentrée situé au niveau de l'oreillette droite. Le traitemenr curatif de cette arythmie est l'ablation par radiofréquence de l'isthme cavo-tricuspide. Le principal critère de succès de cette procédure est l'obtention d'un bloc isthmique complet bidirectionnel en cartographie d'activation. La crista terminalis est une sturcture fibreuse servant de barrière de conduction postérieure au circuit de flutter. La présence d'une conduction à travers elle peut entraîner une modification de la séquence d'activation de la partie antéro-inférieure de l'oreillette droite, donnant un aspect de bloc isthmique incomplet en stimulation sinus coronaire proximal après ablation alors qu'il n'existe plus de conduction isthmique. Nous montrons dans notre étude que la réalisation d'une stimulation positionnelle sur trois site permet de différencier rapidement et facilement une conduction isthmique résiduelle d'une conduction à travers la crista terminalis. Celle-ci est fréquente, retrouvée chez 86% des patients étudiés dans ce travail, mais ne s'accompagne d'une modification de la séquence d'activation de la partie antéro-inférieure de l'oreillette droite en stimulation sinus coronaire proximal que dans 50% des cas.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Défibrillateur automatique implantable (indications, complications, suivi à 1 an au CHU de Rouen en 2006)

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    De nombreuses cardiopathies sont responsables de troubles du rythme ventriculaire ou de mort subite. La prévention de ces événements peut conduire à l'implantation d'un DAI chez les patients estimés à risque. L'identification de ces patients et les indications d'implantation du DAI sont régulièrement mises à jour. Nous avons mené un suivi chez les patients implantés d'un DAI sur une année, afin d'évaluer la prise en charge de ces patients de l'implantation du DAI et après 18 mois de suivi. L'objectif était d'évaluer le devenir de ces patients et la survenue de complications potentielles. On confirme ici les indications et la prise en charge adaptés de ces patients dans notre centre, conformes aux indications en vigueur. Les taux de complications répertoriés sont identiques voire inférieurs à ceux cités dans la littérature spécifique. Les thérapies appropriés sont nombreuses, preuve de la bonne sélection de ces patients à haut risque de mort subite. Les thérapies inappropriées ne sont pas négligeables. Elles nécessitent toujours une optimisation des traitements et de la programmation du boîtier pour éviter les récidives, toujours invalidantes pour le patient. Le DAI n'est donc pas un dispositif anodin. Il doit être proposé dans le cadre des recommandations. Celle-ci sont de plus en plus larges et conduisent à un taux d'implantation de plus en plus important chaque année.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Traitement des tachycardies jonctionnelles par cryoablation (expérience initiale du CHU de Rouen. Á propos de 94 cas )

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    Depuis le début des années 2000, la cryothérapie est l énergie alternative à la radiofréquence pour l ablation de certaines tachycardies jonctionnelles, permettant de limiter le risque de BAV permanent. Objectif : Le but de ce travail est d évaluer l efficacité immédiate et à long terme de la cryoablation au CHU de Rouen pour le traitement radical des TRIN et des tachycardies utilisant des voies accessoires située à proximité des voies de conduction normales du coeur. Méthodes et résultats : Une cryoablation endocavitaire a été pratiquée chez 70 patients (76 % de femmes, d âge moyen 38.2 ans) symptomatiques de TRIN typique (93 %) ou atypique et 24 patients (62.5 % d hommes, d âge moyen 29.6 ans) porteurs d une préexcitation ventriculaire symptomatique ou non (4 patients). Le taux de succès immédiat est de 96 % pour le groupe TRIN, après un nombre moyen de cryomapping pour repérer le site d ablation de la voie lente et de cryoapplication de 5.6 (0 17). En fin de procédure, il persistait une dualité nodale chez 51 patients (74 %), un écho nodal chez 41 (61 %) patients et >= 1 tour de circuit chez 8 patients (11,4%). Après un suivi moyen de 720 jours pour ce groupe, 4 patients ont présenté une récidive de tachycardie documentée par un ECG et 13 patients ont présenté des recidives de palpitation non documentée. Aucun facteur prédictif de récidive n est retrouvé dans ce travail. Le taux de succès immédiat est de 88 % pour le groupe VA (13 patients avec un cryocathéter de 6 mm et 11 patients avec un cryocathéter de 8 mm) avec un taux de récidive précoce élevé (45%) en partie expliqué par l utilisation du cathéter de 6 mm. Le taux de succès clinique à long terme est de 81 %, au cours d un suivi moyen de 923.4 jours. Aucun BAV permanent n est survenu dans les 2 groupes. En majorité, les patients étaient très satisfaits de la technique dans les 2 groupes. Conclusion : Ces résultats suggèrent que la cryoablation est une méthode fiable, sans risque sur les voies de conduction et efficace pour le traitement des TRIN et des VA à risque.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Cryoablation au ballonnet de la fibrillation atriale paroxystique (expérience initiale au CHU de Rouen)

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    L'ablation percutanée est actuellement reconnue comme un traitement efficace de la fibrillation atriale (FA) chez les patients présentant une FA symptomatique résistante au traitement antiarythmique. L'isolation des veines pulmonaires par radiofréquence est la technique de référence mais son utilisation peut être source de complications, potentiellement sévères. L'objectif de cette étude est d'évaluer à court et à moyen terme l'efficacité et la sûreté d'un nouveau cathéter utilisant un ballonnet de cryothérapie (Arctic Front®, Cryocath, Quebec, Canada). METHODE: Entre Décembre 2007 et Avril 2009, 37 patients (25 hommes, d'âge moyen 56 ans) porteurs d'une FA symptomatique, paroxystique (n= 36) ou persistante (n=1), et résistante au traitement antiar,.thmique ont bénéficié d'une isolation des veines pulmonaires par cryothérapie au ballonnet (23 ou 28 mm). Pendant l'hospitalisation, un Holter-ECG, une échocardiographie ainsi qu'une fibroscopie œsogastroduodénale ont été réalisées. Tous les patients ont également bénéficié d'une IRNf des veines pulmonaires avant la procédure et à 3 mois. En cas de récidive symptomatique de la FA. une 2ème procédure a été réalisée par radiofréquence. RESULTATS: Sur les 148 veines pulmonaires ablatées, 138 ont été isolées avec succès (93.2 %), ce qui correspond à 73 % des patients (n=27). Chez les 10 autres patients, l'isolation n'était que partielle avec persistance d'une conduction résiduelle sur une veine pulmonaire, le plus souvent la veine pulmonaire inférieure droite (n=8). Le nombre moyen de cryoapplications par veine est de 2.2 +- 0.7 et les temps moyens de procédure et de scopie de 164.1 +- 38.8 et 31.4 +- 12.2 minutes respectivement. A la sortie de l'hôpital, 97.3% (n=36) des patients sont en rythme sinusal. Aucune sténose des veines pulmonaires, fistule oeso-atriale ou évènement thromboembolique n'est relevé. L'évènement indésirable le plus sévère est la survenue de 4 paralysies phréniques (10,8 %), dont 3 résolutives immédiatement après arrêt des tirs de cryothérapie et 1 à 15 jours. Au terme d'un suivi moyen de 158 +/- 70 jours, le maintien du rythme sinusal est obtenu chez 64,9 % des patients (45.9 % sans traitement antiarythmique). Les facteurs prédictifs d'échec de la procédure en analyse multivariée sont la présence d'un score de CHADS2>= 1 (p= 0.046) et la récidive précoce de FA (p= 0.0035). CONCLUSION: L'isolation des veines pulmonaires par cryothérapie au ballonnet semble être une technique sûre et efficace avec un taux de succès satisfaisant à 4 mois.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    201 Pulmonary vein isolation by cryoballoon ablation in patients with paroxysmal atrial fibrillation: efficacy, safety and predictors of arrhythmia recurrence

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    IntroductionRadiofrequency (RF) catheter ablation has emerged as an effective treatment for patients with drug-refractory atrial fibrillation (AF). The objective of this study is to evaluate the efficacy and safety of pulmonary vein isolation (PVI) with a cryoballoon catheter (Arctic Front, Cryocath, Quebec, Canada).MethodsIn 44 consecutive patients with symptomatic paroxysmal AF (28 males, age 57 +/− 11 years), circumferential PVI was performed using a cryoballoon catheter. Before discharge, all patients were subjected to 24-hour Holter electrocardiograms, echocardiography, and esophageal endoscopy. Magnetic resonance imaging was performed prior to and 3 months after ablation. At a mean follow up of 4.3 +/− 1.2 months after ablation, patients underwent clinical review and 24-hour Holter electrocardiograms. Clinical and demographic variables were analyzed via logistic regression to assess for predictors of recurrence.ResultsThirty-two of the 44 patients (73%) had complete isolation of all PVs. Out of 176 treated veins, 164 were completely isolated (93%). The number of balloon applications per vein was 2.3±0.8. The mean procedure and fluoroscopy times were 163.4±36.2 and 32.0±11.7min, respectively. Eight patients had evidence of mild pericardial effusions requiring no further treatment. Five patients (11.4%) experienced phrenic nerve palsy, 4 of which resolved immediately and one at 2 weeks. Follow up at 4.3 +/− 1.2 months showed freedom from AF in 28 patients (63.6%) and freedom from AF without antiarrhythmic drug therapy in 19 patients (43.2%). Of all clinical variables analyzed, only early recurrence of AF within 4 days post ablation was associated with long term AF recurrence (p=0.002; OR=0.11; CI=[0.018–0.524]).ConclusionPVI can be safely achieved with the cryoballoon catheter with a moderate success rate at 4.3 months follow-up. Early recurrence of AF seems to be a clinical predictor for long term atrial fibrillation recurrence
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