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    Revégétalisation des sites miniers au moyen d'herbacées

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    Les Araucariaceae de la Nouvelle-Calédonie. Présentation et clé

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    La Nouvelle-Calédonie recèle une grande variété d'espèces d'Araucariaceae, avec treize espèces d'Araucaria et cinq d'Agathis. Le document présente un rapide tour d'horizon de ces arbres et une clé de détermination illustrée et simplifiée, qui permet de retrouver le nom de l'espèce recherchée. La Nouvelle-Calédonie recèle, de façon assez surprenante, une très grande variété de conifères en pleine zone tropicale. Il s'y développe quatorze genres et quarante-trois espèces (Farjon, Page, 1999), ce qui au regard de la taille de cet archipel en fait un site exceptionnel. Il existe sur l'archipel trois familles de conifères indigènes : les Podocarpaceae, les Araucariaceae et les Cupressaceae. La famille la plus spectaculaire est, bien entendu, celle des Araucariaceae, avec des espèces qui dominent la forêt, mais aussi le maquis minier, le bord de mer et les jardins. C'est une famille qui ne se développe naturellement que dans l'hémisphère Sud, de la Malaisie au Brésil. La Nouvelle-Calédonie s'avère un site où s'observe une grande variété d'Agathis, avec cinq espèces sur vingt et une dans le monde. Pour les araucarias, avec treize sur dix-neuf observées sur la planète, elle est sans conteste l'habitat privilégié de ce genre. On distingue trois genres dans la famille : Wollemia, Agathis et Araucaria. Le genre Wollemia W. G. Jones, K. D. Hill & J. M. Allen Une seule espèce, découverte en 1994, dans le parc de Wollemia, en Australie. Le pin Wollemi, Wollemia nobilis (photo 1 ; cliché pris, ici, au Canada), est l'une des plantes les plus anciennes et les plus rares du monde, dont l'histoire remonte jusqu'à l'ère des dinosaures. Moins de cent arbres adultes sont connus dans la nature. Les cônes males sont cylindriques avec des sporophylles (feuilles portant des sacs polliniques) insérées en spirales. Les cônes femelles sont épineux, avec un complexe bractée-écaille complètement fusionné. Les écailles sont insérées en spirale et tombent à maturité. (Résumé d'auteur

    Utilisation d'un appareil de mesure simple, et précis, pour l'étude de l'érosion à Mayotte

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    Le lagon de Mayotte est soumis à un fort envasement provoqué par l'érosion intense qui s'exerce sur les bassins-versants. Les sols nus dénommés localement padzas et les terrains en forte pente, cultivés en manioc, en sont principalement la cause. Un appareil de terrain a été élaboré pour mesurer l'érosion dans ces conditions, qui offre l'avantage d'être très bon marché, simple à utiliser et facilement transportable quelle que soit la configuration du terrain. On a pu tester l'appareil, pour les mois les plus arrosés de la saison des pluies 2003-2004, et évaluer l'érosion sur ces terrains. Pour faire une estimation de l'érosion à l'échelle de bassins-versants, à l'amont des mangroves, on a utilisé le modèle de l'érosion Usle (Universal Soil Loss Equation), en fournissant à ce modèle les données nécessaires sur la pluviométrie, les sols, les couvertures végétales (photos aériennes), les pentes et les données ainsi obtenues concernant les conditions extrêmes qui occasionnent l'essentiel des départs de terre. Ces données permettent de tenter d'extrapoler l'érosion à l'échelle de bassins-versants modèles, dont on a pu suivre l'évolution des couvertures végétales sur une cinquantaine d'années. On constate que, malgré une diminution forte des surfaces occupées par la forêt primaire, l'érosion à l'échelle du bassin-versant n'augmente pas de façon inquiétante. (Résumé d'auteur

    Etude de l'érosion sur une exploitation forestière

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