8 research outputs found

    Concordance of vaccination status and associated factors with incomplete vaccination: a household survey in the health district of Segou, Mali, 2019

    Get PDF
    Introduction: the region of Segou recorded 36.8% of children were incompletely vaccinated in 2018. In 2019, the district of Segou was one of the districts with the lowest vaccination coverage in the region, with 85.1% coverage for the three doses of the pentavalent vaccine and 85.4% for the measles vaccine. This study was initiated to better understand this low vaccination coverage, in the absence of specific studies on vaccination coverage in the district of Segou. Methods: a prospective cross-sectional study was conducted from May to August 2020 with 30 clusters. We performed Kappa coefficient, bivariate, and multiple logistic regression analysis. Results: findings showed that 18.46% (101/547) [15.44-21.93] of children were incompletely vaccinated. Mothers correctly reported the vaccination status of their children in 67.30% of cases (Kappa coefficient). Uneducated (OR[IC95%]=2.13[1.30-3.50]), living in rural area (OR[IC95%]=2.07[1.23-3.47]), lack of knowledge of Expanded Program on Immunization (EPI) target diseases (OR[IC95%]=2.37[1.52-3.68]), lack of knowledge of vaccination schedule (OR[IC95%]=3.33[1.90-5.81]) and lack of knowledge of the importance of vaccination (OR[IC95%]=3.6[2.35-6.32]) were associated with incomplete vaccination. In multivariate analysis, uneducated (ORa[IC95%>]=1.68[1.004-2.810]) and lack of knowledge of the importance of vaccination were associated with incomplete vaccination (ORa[IC95%]=3.40[2.049-5.649]). Conclusion: findings showed a good concordance of the vaccination status. Living in a rural area, no education, lack of the knowledge of EPI target diseases, lack of the knowledge of vaccination schedule and lack of knowledge of the importance of vaccination were associated with incomplete vaccination

    Cadres éthique et réglementaire des essais cliniques des médicaments traditionnels à base de plantes : Revue de la littérature

    No full text
    De nos jours, le recours à la médecine traditionnelle est de plus en plus fréquent dans le monde. C’est ainsi qu’en Afrique, les médicaments traditionnels à base de plantes dont la qualité, l’efficacité et l’innocuité sont établies par des méthodes scientifiques dont les essais cliniques, sont considérés comme une alternative crédible. Cette revue vise à faire le point sur les cadres éthique et réglementaire des essais cliniques des médicaments traditionnels à base de plantes. Elle est basée sur des recherches dans Scopus, Science Direct et Medline. Les données indiquent que les cadres éthique et réglementaire existant sont le plus souvent édictés sous forme de recommandations dans le monde, qui doivent être transcrites dans les législations sous-régionales ou nationales pour jouir d’une force contraignante. En Afrique de l’Ouest en particulier, il n’existe pas de cadre harmonisé contraignant et la pratique des essais cliniques des médicaments traditionnels à base de plantes reste faible. Cependant, dans un souci d’harmonisation et d’application immédiate du cadre juridique des essais cliniques des médicaments à usage humain, l’Europe a opté pour les Règlements qui de facto s’imposent à tous les États membres. En outre, la législation européennepromet l’expérience d’usage traditionnel comme mesure d’exemption d’essais cliniques pour les médicaments à base de plantes. En général, le processus de régulation (approbation, inspection, pharmacovigilance) est relativement le même aussi bien pour les médicaments conventionnels que ceux traditionnels. L’expérience européenne d’exemption d’essais cliniques pour les médicaments traditionnels à base de plantes pourrait être capitalisée dans les pays et blocs régionaux africains pour promouvoir un cadre réglementaire harmonisé et adapté aux réalités socio-culturelles.

    C8- Cadres éthique et réglementaire des essais cliniques des médicaments traditionnels à base de plantes

    No full text
    Le recours à la médecine traditionnelle ne cesse de croître dans le monde. C’est ainsi qu’en Afrique, les médicaments traditionnels à base de plantes (MTP) dont la qualité, l’efficacité et l’innocuité sont démontrées constituent une alternative crédible à l’accès aux soins de santé. Cette revue de la littérature visait à faire le point des cadres éthique et réglementaire des essais cliniques applicables aux MTP. Elle est basée sur des recherches dans Scopus, Science Direct et Medline à l’aide de mots clés en anglais se rapportant au sujet. La littérature scientifique indique que les cadres éthique et réglementaire existant sont le plus souvent édictés sous forme de recommandations dans le monde, qui doivent être transcrites dans les législations sous-régionales ou nationales pour jouir d’une force contraignante. En Afrique de l’Ouest en particulier, il n’existe pas de cadre harmonisé contraignant et la pratique des essais cliniques des MTP reste faible. Cependant, la législation européenne promet l’expérience d’usage traditionnel comme mesure d’exemption d’essais cliniques pour les médicaments à base de plantes à travers la Directive n°2004/24/CE. Il en est de même en Afrique pour les médicaments traditionnels des catégories 1 et 2. Mais pour l’approbation à grande échelle des médicaments traditionnels des catégories 3 et 4, les essais cliniques s’avèrent indispensables. Un financement domestique durable et une réglementation adaptée aux contextes socioculturels demeurent les défis majeurs de la mise en œuvre des essais cliniques des MTP en Afrique. Relever ces défis permettra d’améliorer fortement la production locale des phytomédicaments dans les pays africains

    Cadres éthique et réglementaire des essais cliniques des médicaments traditionnels à base de plantes : Revue de la littérature

    No full text
    De nos jours, le recours à la médecine traditionnelle est de plus en plus fréquent dans le monde. C’est ainsi qu’en Afrique, les médicaments traditionnels à base de plantes dont la qualité, l’efficacité et l’innocuité sont établies par des méthodes scientifiques dont les essais cliniques, sont considérés comme une alternative crédible. Cette revue vise à faire le point sur les cadres éthique et réglementaire des essais cliniques des médicaments traditionnels à base de plantes. Elle est basée sur des recherches dans Scopus, Science Direct et Medline. Les données indiquent que les cadres éthique et réglementaire existant sont le plus souvent édictés sous forme de recommandations dans le monde, qui doivent être transcrites dans les législations sous-régionales ou nationales pour jouir d’une force contraignante. En Afrique de l’Ouest en particulier, il n’existe pas de cadre harmonisé contraignant et la pratique des essais cliniques des médicaments traditionnels à base de plantes reste faible. Cependant, dans un souci d’harmonisation et d’application immédiate du cadre juridique des essais cliniques des médicaments à usage humain, l’Europe a opté pour les Règlements qui de facto s’imposent à tous les États membres. En outre, la législation européennepromet l’expérience d’usage traditionnel comme mesure d’exemption d’essais cliniques pour les médicaments à base de plantes. En général, le processus de régulation (approbation, inspection, pharmacovigilance) est relativement le même aussi bien pour les médicaments conventionnels que ceux traditionnels. L’expérience européenne d’exemption d’essais cliniques pour les médicaments traditionnels à base de plantes pourrait être capitalisée dans les pays et blocs régionaux africains pour promouvoir un cadre réglementaire harmonisé et adapté aux réalités socio-culturelles.

    C50 - Evaluation de l’utilisation de la liste nationale des médicaments essentiels au Mali

    No full text
    Introduction : La liste nationale des médicaments essentiels (LNME), version de 2019, est un outil privilégié pour la mise en œuvre de la politique pharmaceutique nationale (PPN) au Mali. Elle participe à la rationalisation de la prescription. Elle est mise à jour tous les 2 ans. L’objectif était d’évaluer l’utilisation de la LNME par les prestataires avant sa révision. Méthodologie : Il s’agissait d’une étude transversale, réalisée du 1er février au 31 mars 2023 dans les structures sanitaires. La taille de l’échantillon a été déterminée par la formule de Schwartz qui a permis de sélectionner en fonction de leurs poids les régions de Sikasso, Ségou et le district de Bamako. Les données ont été collectées avec l’application KoboCollect. Les logiciels Excel®-2019 et SPSS®-22.0 ont servi à l’analyse des données. Résultats : Au total 457 agents de santé ont été enquêtés dont 380 prescripteurs et 77 gestionnaires de médicaments dans 61 structures visitées. La LNME était disponible dans 49% des structures. Environ 65% des gestionnaires et 6% des prescripteurs disposaient de la LNME. En somme, 50% des gestionnaires et 3% des prescripteurs l’utilisaient régulièrement pour l’approvisionnement en médicaments et la prescription. Les raisons de la faible utilisation de la LNME étaient diverses. Le délai moyen entre la révision de la LNME 2019 et la réception par les structures était de 1,8 an. Sur une liste de 30 médicaments évalués, la disponibilité moyenne le jour de la visité était de 19,75%. Par ailleurs, 27% des prescripteurs et 87% des gestionnaires inclus avaient respectivement reçu une formation en prescription rationnelle et en gestion logistique. Conclusion : La mise à disposition rapide de la LNME et la disponibilité continue de tous les médicaments y figurant pourrait renforcer son appropriation et son utilisation par les acteur

    C48 - Étude de la délivrance des contraceptifs d’urgence par le personnel des officines de pharmacie à Bamako.

    No full text
    Contexte : Le désir des femmes de ne pas contracter de grossesses non désirées est un des facteurs motivant le recours à la contraception d’urgence dans les officines de pharmacie. L’objectif était d’étudier la délivrance des contraceptifs d’urgence dans les officines de pharmacie de Bamako au Mali. Méthodologie : Il s’agissait d’une étude transversale réalisée du 15 Septembre 2021 au 15 Mars 2022. Les clients venus pour achat de contraceptifs d’urgence et le personnel en service dans les officines, ayant accepté de participer à l’étude ont été inclus. Les données collectées par interview, ont été saisies et analysées sur SPSS 22.0. Résultats : Au total, 78 clients et 100 dispensateurs ont été inclus. Les clients étaient en majorité célibataires (52,6%) avec un niveau d’instruction « supérieur » (48,7%) et avaient entre 21-30ans (80,8%). Malgré le monopole des pharmaciens sur la vente des produits contraceptifs, la Loi n°02-044/ du 24 juin 2002 relative à la santé de la reproduction ne précise pas les modalités de délivrance (avec ou sans prescription médicale) dans les officines et les tranches d’âge autorisées d’accès. Plus de la moitié des utilisatrices (55,2%) avaient eu recours à la contraception d’urgence dans les 24heures suivant l’acte sexuel. Le lévonorgestrel Postpill® était la principale spécialité pharmaceutique vendue (36,2%). Certaines utilisatrices ont rapporté des effets secondaires (18,8%). Par ailleurs, les dispensateurs (82%) ne prodiguaient pas de conseils aux clients. Conclusion : La délivrance des contraceptifs d’urgence doit être encadrée dans les officines de pharmacie afin de promouvoir leur usage rationnel

    Etude epidemio-clinique des traumatismes lies aux accidents de la voie publique a l’Hopital de Niono : Epidemiological and clinical study of injuries related to road traffic accidents at Niono Hospital

    No full text
    Introduction : L’accident de la voie publique (AVP), est une collusion non désirée, mal anticipée sur le réseau public entre un engin et tout autre chose ou personne, fixe ou mobile engendrant des blessures humaines et/ou des dégâts matériels. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) les AVP entrainent plus de 1,25 millions de décès chaque année et 20 à 50 millions de blessés. Au Mali, en 2013, 6059 cas d’AVP dont 529 tués et 8286 blessés ont été enregistrés. L’objectif de ce travail était d’étudier les aspects épidémio-cliniques des traumatismes liés aux accidents de la voie publique à l’hôpital de Niono. Matériel et méthodes : il s’agissait d’une étude transversale à l’hôpital de Niono du 01 avril au 30 septembre 2019. Les données ont été saisies et analysées sur PAWS Statistics. Le respect de la confidentialité était de rigueur et aucune information n’a été divulguée. Résultats : La fréquence des AVP était de 3,14% parmi les 4705 consultations. Le sexe masculin dominait (74,1%) et le sex-ratio était de 2,86. Les jeunes de 15 à 30 ans étaient les plus touchés (42,2%). Les plaies étaient les plus rencontrées (47,6%). L’évolution a été favorable chez 69,4 % et 8,8% ont été évacués, 2% d’amputation et 3,4% de décès. Conclusion : les AVP étaient assez fréquents et provoquaient de graves traumatismes avec des handicaps et la mort, d’où l’importance de la sensibilisation et de l’obligation du permis de conduire. Introduction: A road accident is an unwanted, poorly anticipated collusion on the public network between a vehicle and any other thing or person, fixed or mobile, causing human injury and/or property damage. According to Word Health Organization (WHO), road accidents cause more than 1.25 million deaths each year and 20 to 50 million injuries. In Mali, in 2013, 6059 cases of MVA including 529 killed and 8286 injured were recorded. The objective was to study the epidemiological and clinical aspects of injuries related to road traffic accidents at Niono hospital. Material and methods: It was a cross-sectional study in the Niono hospital from April 1 to September 30, 2019. The data was captured and analyzed on PAWS Statistics. Confidentiality was respected and no information was disclosed. Results: Frequency 3.14%, male dominated (74.1%) and the sex ratio of 2.86. Youth aged 15 to 30 were the most affected (42.2%). Wounds were the most common (47.6%). The evolution was favorable in 69.4% and 8.8% were referred, 2% amputation and 3.4% death. Conclusion: Road accident were quite frequent and caused severe trauma with disabilities and death, hence the importance of sensitization and the requirement of a driver's license

    Adverse Drug Reactions to Antiretroviral Therapy (ART): Prospective Study in HIV Infected Adults in Sikasso (Mali)

    No full text
    Objective: The purpose of this study was to evaluate the adverse effects of Antiretroviral Therapy (ART) in adult HIV-infected patients in decentralized setting of Sikasso, in Mali. Methods: This is a proactive study that took place from 2 January 2011 to 30 December 2012 at the Hospital of Sikasso (Department of Medicine). HIV-infected adult patients who have started ART at least 3 months before were included in this study to monitor the laboratory and clinical Adverse Drug Reactions (ADR) for at least 6 months. The WHO classification of adverse drug reactions has been used to investigate the causality of antiretrovirals. Results: Women were the most represented with 58% of the cases. The most represented age range was 26-47 years with 73.6%. Of the 178 patients enrolled, 61.2% had an ADR. ADR were neurological (40.4%), digestive (35.8%), cutaneous (18.3%) and hematological (5.5%). Stavudine was the most incriminated molecule, in 24.8% of the cases. The WHO grade 4 classification of ART toxicity was represented in 3.4% of the cases. The WHO causality score of “certain” was found in 29.8% of the cases. Conclusion: Adverse effects of Antiretrovirals are frequent and could be life-threatening in short and long terms. Regular follow-up of patients receiving these triple therapies, and the associated complications, is essential. We recommend active surveillance of antiretroviral therapy to strengthen Pharmacovigilance in Mali
    corecore