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    La peinture chez les rĂ©collets au xviie siĂšcle : premiers Ă©lĂ©ments d'enquĂȘte dans la province Saint-Denys

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    La prĂ©sence d’Ɠuvres peintes dans les Ă©glises des rĂ©collets ne va pas de soi, elle est mĂȘme a priori paradoxale. D’une part, elle se heurte aux exigences de simplicitĂ© des sanctuaires franciscains que rappellent les statuts des rĂ©collets. D’autre part, comme ordre contemplatif, les rĂ©collets accordent une place importante Ă  des pratiques spirituelles (oraison mentale, mĂ©ditation, exercices de Bonne Mort, etc.) qui prĂ©conisent le recours mĂ©diatisĂ© Ă  l’image mentale et rĂ©ifiĂ©e. De fait, il n’es..

    Gers. DĂ©couverte de fresques dans l'Ă©glise Saint-Nicolas de Nogaro

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    Ducoureau Bertrand, Saint-Genez Francis, Stouffs Jean-Marc. Gers. Découverte de fresques dans l'église Saint-Nicolas de Nogaro. In: Bulletin Monumental, tome 158, n°2, année 2000. pp. 147-150

    L'ñge du Fer à Bithnah (Émirat de Fujaïrah) : campagnes 2001-2002

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    Pdf : http://www.jstor.org/stable/41223803International audienceUn programme de recherches sur l'Age du Fer est actuellement menĂ© dans l'oasis de Bithnah (Emirat de Fujairah) par la Mission ArchĂ©ologique Française aux Emirats Arabes Unis. Durant deux campagnes ont Ă©tĂ© fouillĂ©s deux ensembles publics localisĂ©s de part et d'autre du wādÄ« Hām : une forteresse Ă  Bithnah-24 et un complexe cultuel Ă  Bithnah-44/50. Tandis que la forteresse se rattache Ă  d'autres monuments connus dans la rĂ©gion (Husn Madhāb), le site religieux comporte de nombreux Ă©lĂ©ments inĂ©dits, qui nous renseignent sur les pratiques cultuelles de l'Ă©poque. Deux types d'autels s'y distinguent : un autel Ă©tabli en hauteur, auquel on accĂ©dait par un chemin amĂ©nagĂ© et plusieurs autels construits Ă  l'intĂ©rieur de structures en " chapelles " . Ces lieux de culte se distribuent autour d'un bĂątiment central comportant une salle Ă  piliers, qui a pu servir de lieu de rĂ©unions et de cĂ©rĂ©monies. Ces deux ensembles sont datĂ©s du Fer II (1100-600 av. J. C.) et faisaient vraisemblablement partie d'un mĂȘme territoire qui tĂ©moigne d'un degrĂ© de spĂ©cialisation de l'espace aussi important que dans les grandes oasis du piĂ©mont occidental des montagnes.L'exploitation du cuivre dans la partie orientale de la vallĂ©e (Bithnah-54) apparaĂźt comme l'un des moteurs du dĂ©veloppement de cette rĂ©gion durant cette pĂ©riode

    Les récollets

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    « Square des rĂ©collets » (Paris), « rue des rĂ©collets » (LiĂšge), « boulevard des rĂ©collets » (Toulouse), « Mont des rĂ©collets » (Cassel)
 Mais qui sont les rĂ©collets ? Seuls les historiens peuvent aujourd’hui rĂ©pondre Ă  cette question, car les rĂ©collets n’existent plus. Au cours de sa longue histoire, l’Ordre de saint François n’a jamais cessĂ© de se rĂ©former, de se diviser, mais aussi de se rĂ©unifier. Des mots nouveaux sont apparus pour dĂ©signer les franciscains, puis ont disparu, Ă  l’instar de ces rĂ©collets qui ont prospĂ©rĂ© en France, dans les Iles britanniques, les Pays-Bas mĂ©ridionaux et l’Empire germanique, entre les Guerres de religion et la fin du XIXe siĂšcle. Le terme « rĂ©collet » dit dĂ©jĂ  quelque chose de l’identitĂ© de cette rĂ©forme, car il est apparentĂ© Ă  l’ancien verbe français recolliger qui signifie « se recueillir en soi-mĂȘme ». Mais ce dĂ©sir de recueillement n’empĂȘche pas ces religieux d’ĂȘtre trĂšs actifs dans les sociĂ©tĂ©s d’Ancien RĂ©gime, au point d’ĂȘtre souvent comparĂ©s Ă  d’autres franciscains rĂ©formĂ©s, beaucoup mieux connus, les capucins. PrĂ©dicateurs, confesseurs, peintres, mystiques, Ă©crivains, controversistes, missionnaires (en Hollande protestante comme en Angleterre anglicane), aumĂŽniers militaires (en Nouvelle France), supĂ©rieurs de moniales, les rĂ©collets ont inventĂ© une identitĂ© franciscaine originale qui a perdurĂ© bien au-delĂ  de la disparition de cette rĂ©forme
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