29 research outputs found

    Christine de Pizan e la rilettura della tradizione

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    Le Livre de la Cité des Dames, written in 1405, continue the program of rewriting those books, which Cristine began in the debate on Jean de Meung’s view of women in the Roman de la Rose. In building her city of ladies as a challenge to the book of men, however, Christine turned to the work of a male writer for her source, Boccaccio’s De claris mulieribus. The relationship between the two writers is complicated by Christine paradoxical reliance on Boccaccio’s text, and his authority as a male author, in her attempt to refute the traditional representation of women by male authors and write the history of women from her special and revolutionary perspective as a woman. Thus, while Christine de Pizan uses Boccaccio as a source and refers to him as a witness in support of her claims, at the same time she is involved in a revision and correction of his conception of women’s capabilities. Therefore, she aims to defend the position of women in society, which she believes has been obscured and misrepresented by male tradition.Keywords: women’s history and writing gender – women and power (political, social and economical) - rewriting of the literary traditionParole chiave: storia delle donne e scrittura di genere – donne e potere (politico, sociale ed economico) – riscrittura della tradizione letterari

    Die "sichtbare Stadt" Turin und Calvinos Tag eines Wahlhelfers

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    « ...là dove ora ero di casa e dove però non ero mai stato prima » : considerazioni sull’idea di patria e di identità nazionale nei romanzi di Joseph Zoderer*

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    Di cittadinanza italiana e di lingua tedesca, famoso in Germania, Austria e Svizzera e scoperto tardivamente in Italia, Joseph Zoderer ha di continuo posto nei suoi romanzi il tema/nodo della identità nazionale. A partire dai suoi libri a forte componente autobiografica, che ripercorrono le condizioni di frontiera e di opzione obbligata da parte dei sudtirolesi negli anni del dopoguerra, fino ai romanzi ambientati in anni più recenti, Zoderer si confronta con il delicato e complesso rapporto di adesione e estraneità nei confronti della Heimat (tranquillizzante retroterra costruttivo della personalità se limitato all’apprezzamento delle radici, pericoloso pretesto se giustifica atteggiamenti di chiusura del gruppo e di aggressione nei confronti di coloro che non ne fanno parte), in un ambiente – quello montano – connotato da forti spinte aggressive

    Un naufragio felice : L’île di Giuseppina di Lorena Carignano

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    Une figure peu connue, que celle de Giuseppina di Lorena Carignano (1743-1797), entrée très jeune à la cour de Savoie, au sein de laquelle elle mènera une existence des plus convenues, tout en s’intéressant vivement à la philosophie des Lumières, ainsi qu’aux nouveaux courants de la littérature européenne. Avec une liberté de pensée dont témoignent, dans une fiction romanesque qu’elle compose à l’âge de dix-huit ans, la profondeur et l’originalité des réformes qu’introduit son héroïne dans une île où, suite à un naufrage que l’on peut qualifier d’heureux, ne vit qu’une communauté de femmes et d’enfants (égalité des droits entre toutes les citoyennes, suppression de la propriété privée, répartition équitable des richesses, abolition de l’état de guerre, notamment). Pareille fiction illustre bien la force des idées nouvelles, et la faveur dont elles jouissaient au sein d’une frange de la société aristocratique piémontaise dans les années 1770-1780, mais révèle aussi les limites de cette pénétration. Rien de ce qu’a écrit la jeune romancière ne sera publié de son vivant, et du reste, à la fin de son récit l’ordre traditionnel reprend ses droits. Reste que se trouve ici formulée, par rapport au modèle utopique habituellement proposé, une variante féministe de grand intérêt

    « ...là dove ora ero di casa e dove però non ero mai stato prima » : considerazioni sull’idea di patria e di identità nazionale nei romanzi di Joseph Zoderer*

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    Di cittadinanza italiana e di lingua tedesca, famoso in Germania, Austria e Svizzera e scoperto tardivamente in Italia, Joseph Zoderer ha di continuo posto nei suoi romanzi il tema/nodo della identità nazionale. A partire dai suoi libri a forte componente autobiografica, che ripercorrono le condizioni di frontiera e di opzione obbligata da parte dei sudtirolesi negli anni del dopoguerra, fino ai romanzi ambientati in anni più recenti, Zoderer si confronta con il delicato e complesso rapporto di adesione e estraneità nei confronti della Heimat (tranquillizzante retroterra costruttivo della personalità se limitato all’apprezzamento delle radici, pericoloso pretesto se giustifica atteggiamenti di chiusura del gruppo e di aggressione nei confronti di coloro che non ne fanno parte), in un ambiente – quello montano – connotato da forti spinte aggressive

    « Contraddire » da destra : il caso di Il sarto stregato  di Orsola Nemi (1960)

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    Luisa Ricaldone présente une figure originale de femme écrivain antiféministe et catholique, Orsola Nemi, dont les convictions allèrent jusqu’à lui faire refuser un prix littéraire féminin qui lui était décerné. Après avoir présenté l’auteur et son œuvre, elle centre son propos sur un roman où s’exerce de façon caractéristique la veine polémique et sarcastique de l’écrivain. Il sarto stregato (1960) est en effet une féroce satire d’un certain type d’intellectuel, de la mode du roman réaliste et des critiques littéraires qui le soutiennent, et a pour but de discréditer la culture de gauche

    Un naufragio felice : L’île di Giuseppina di Lorena Carignano

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    Une figure peu connue, que celle de Giuseppina di Lorena Carignano (1743-1797), entrée très jeune à la cour de Savoie, au sein de laquelle elle mènera une existence des plus convenues, tout en s’intéressant vivement à la philosophie des Lumières, ainsi qu’aux nouveaux courants de la littérature européenne. Avec une liberté de pensée dont témoignent, dans une fiction romanesque qu’elle compose à l’âge de dix-huit ans, la profondeur et l’originalité des réformes qu’introduit son héroïne dans une île où, suite à un naufrage que l’on peut qualifier d’heureux, ne vit qu’une communauté de femmes et d’enfants (égalité des droits entre toutes les citoyennes, suppression de la propriété privée, répartition équitable des richesses, abolition de l’état de guerre, notamment). Pareille fiction illustre bien la force des idées nouvelles, et la faveur dont elles jouissaient au sein d’une frange de la société aristocratique piémontaise dans les années 1770-1780, mais révèle aussi les limites de cette pénétration. Rien de ce qu’a écrit la jeune romancière ne sera publié de son vivant, et du reste, à la fin de son récit l’ordre traditionnel reprend ses droits. Reste que se trouve ici formulée, par rapport au modèle utopique habituellement proposé, une variante féministe de grand intérêt
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