6 research outputs found

    Connectivity sustains disease transmission in environments with low potential for endemicity: modelling schistosomiasis with hydrologic and social connectivities

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    Social interaction and physical interconnections between populations can influence the spread of parasites. The role that these pathways play in sustaining the transmission of parasitic diseases is unclear, although increasingly realistic metapopulation models are being used to study how diseases persist in connected environments. We use a mathematical model of schistosomiasis transmission for a distributed set of heterogeneous villages to show that the transport of parasites via social (host movement) and environmental (parasite larvae movement) pathways has consequences for parasite control, spread and persistence. We find that transmission can be sustained regionally throughout a group of connected villages even when individual village conditions appear not to support endemicity. Optimum transmission is determined by an interplay between different transport pathways, and not necessarily by those that are the most dispersive (e.g. disperse social contacts may not be optimal for transmission). We show that the traditional targeting of villages with high infection, without regard to village interconnections, may not lead to optimum control. These findings have major implications for effective disease control, which needs to go beyond considering local variations in disease intensity, to also consider the degree to which populations are interconnected

    RĂ©sultats bio-mĂ©dicaux de l'enquĂȘte ORSTOM/DLMT dans la rĂ©gion de Betafo-Miandrivazo en juillet-aoĂ»t 1995

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    Le lecteur trouvera dans ce rapport les principaux rĂ©sultats d'une enquĂȘte Ă©pidĂ©miologique descriptive rĂ©alisĂ©e en juillet et aoĂ»t 1995 auprĂšs d'un Ă©chantillon de 5000 personnes dans le Moyen Ouest de Madagascar. La distribution et les caractĂ©ristiques majeures des principales maladies parasitaires (paludisme, bilharziose, protozooses et helminthoses intestinales) et carentielles (malnutritions) concernant un Ă©chantillon reprĂ©sentatif de la population sont ainsi dĂ©crites pour la premiĂšre fois dans cette rĂ©gion de Madagascar

    Etude épidémiologique des principales nématodoses intestinales humaines dans le Moyen-ouest de Madagascar

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    Une enquĂȘte Ă©pidĂ©miologique descriptive concernant les gĂ©ohelminthes a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e durant les mois de juillet et aoĂ»t 1995 dans le Moyen-ouest de Madagascar. 4571 adultes et enfants ĂągĂ©s de 6 mois Ă  90 ans ont Ă©tĂ© inclus dans cette Ă©tude qui a concernĂ© 61 villages rĂ©partis entre les villes de Betafo et Miandrivazo. L'examen des Ă©chantillons de selles par la mĂ©thode du MIF concentration a rĂ©vĂ©lĂ© que l'ascaris est le nĂ©matode intestinal prĂ©dominant dans cette rĂ©gion, en particulier dans les villages d'altitude. Les prĂ©valences d'#Ascaris lumbricoidessontmaximaleschezlesenfantsetlessujetsdesexefeˊminin.Cetteparasitose,quitoucheplusde50 sont maximales chez les enfants et les sujets de sexe fĂ©minin. Cette parasitose, qui touche plus de 50% de l'Ă©chantillon et dont l'association avec les taux de malnutrition infantile est statistiquement significative, constitue un problĂšme de santĂ© publique. Les prĂ©valences de l'ankylostomose sont Ă©levĂ©es en zone de faible altitude et augmentent avec l'Ăąge des sujets. Son importance est majeure dans l'ouest de la zone Ă©tudiĂ©e. Les prĂ©valences de #Trichuris trichiura sont plus basses que celles des deux autres nĂ©matodoses dans tous les villages. D'importantes variations des prĂ©valences des gĂ©ohelminthes sont observĂ©es selon les rĂ©gions en relation avec les facteurs climatiques. (RĂ©sumĂ© d'auteur
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