63 research outputs found

    Breast cancer: a randomized controlled trial assessing the effect of a decision aid on mammography screening uptake: study protocol

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    IntroductionBreast cancer (BC) is the primary cancer among women. The World Health Organization recommends a bilateral screening mammogram every 2 years for women aged 50 to 74 years. However, it has been shown that there is an absence of information about the benefits and risks of screening. Shared medical decision-making is important to ensure patients are involved in the decision process. Decision aids can facilitative this decision-making process. This article presents a protocol to evaluate the effect of a decision aid on participation rates in the French organized BC screening program.Methods and analysisDesign and setting. The design is a 2 arm randomized controlled study, performed in the Pays de la Loire region (French West Coast). Randomization will be based on general medicine practices (Primary Care).ParticipantsWomen aged between 50 and 74 years, eligible for BC screening. In this region, there are 75000 women, and 2800 general practitioners eligible for recruitment.InterventionIn the « Decision aid for organized cancer screening » arm, the intervention will distribute invitation letters to eligible women combined with the provision of decision aid to these women and their general practitioners and an incentive to implement shared medical decision-making. In the « Standard organized cancer screening » arm, only the screening invitation will be sent to eligible women.Primary endpointBC screening participation rates will be assessed after an 18-month follow-up period.Statistical analysisIn this non-inferiority trial, the percentage of women who are up-to-date with their screening at 18 months after the intervention will be compared across arms using a generalized mixed linear model.DiscussionThe research team expect to demonstrate that providing a better explanation of the benefits and risks of BC screening is not at odds with screening participation. The study results should help policy makers thinking about implementing shared medical decision-making within the framework of organized BC screening programs in the future.Ethics and disseminationOn 6 December 2021, the protocol received a favorable opinion from the French Committee for the Protection of Persons (2021-A01583-38). This study is registered with ClinicalTrials.gov, number NCT05607849. (Version 1, November 7, 2022; https://www.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT05607849). The study findings will be used for publication in peer-reviewed scientific journals and presentations in scientific meetings

    Satisfaction with care after total hip or knee replacement predicts self-perceived health status after surgery

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>Inpatient satisfaction with care is a standard indicator of the quality of care delivered during hospitalization. Total hip and knee replacement (THR/TKR) for osteoarthritis (OA) are among the most successful orthopaedic interventions having a positive impact on health-related quality of life (HRQoL). The aim was to evaluate the effect of satisfaction shortly after hospital discharge on 1-month, 6-month and 1-year Medical Outcomes Study 36-item Short Form (SF-36) scores for OA patients after THR and TKR, controlling for patient characteristics, clinical presentation and preoperative SF-36 scores.</p> <p>Methods</p> <p>A multicenter prospective cohort study recruited 231 patients with OA scheduled to receive THR or TKR. Satisfaction was assessed by the Patients Judgment of Hospital Quality (PJHQ) questionnaire and HRQoL by the SF-36 questionnaire. Linear models for repeated measures assessed the relation between satisfaction (scores were dichotomized) and postoperative SF-36 scores.</p> <p>Results</p> <p>Of 231 participants, 189 were followed up 12 months after discharge (mean age 69 SD = 8; 42.6% male). The mean length of hospital stay was 13.5 (SD = 4) days. After adjustment for preoperative SF-36 scores, sociodemographic and clinical patient characteristics, satisfied patients (PJHQ score > 70) had higher SF-36 scores 1 year after surgery than did less-satisfied patients. Admission, medical care, and nursing and daily care scores mainly predicted bodily pain, mental health, social functioning, vitality and general health scores of the SF-36.</p> <p>Conclusion</p> <p>Besides being a quality-of-care indicator, immediate postoperative patient satisfaction with care may bring a new insight into clinical practice, as a predictor of self-perceived health status after surgery.</p

    Connaissance des recommandations sur les inhibiteurs de la pompe à protons (enquête auprès de 371 médecins généralistes de Loire-Atlantique et de Vendée)

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    Les inhibiteurs de la pompe à protons font partie des classes médicamenteuses les plus prescrites en France, à l'origine de coûts importants pour l'assurance maladie. Plusieurs études rapportent une divergence entre les prescriptions d IPP et les recommandations. Nous avons voulu savoir si cet écart était lié à un défaut de connaissance des recommandations. Pour cela, nous avons adressé un questionnaire en ligne, anonyme, auto-administré, à 949 médecins généralistes de Loire Atlantique et de Vendée. 371 médecins ont répondu. 86% des médecins ayant répondu connaissaient l'existence des recommandations sur les IPP. La grande majorité des médecins connaissait l'absence d'indication des IPP dans la dyspepsie, le RGO occasionnel, et en co-prescription systématique avec l'aspirine ou avec l'association aspirine-clopidogrel. La nécessité de réaliser une fibroscopie chez les patients de plus de 60 ans présentant des symptômes de RGO était connue de façon plus mitigée. Il en est de même pour l absence d'efficacité des IPP dans les symptômes extra-digestifs. Certaines indications semblaient moins bien connues : seulement un tiers des médecins indiquaient que les patients ayant un traitement antiagrégant, anticoagulant ou une corticothérapie nécessitaient une prescription d'IPP en cas de traitement par AINS. Très peu de médecins connaissaient l'augmentation d efficacité des IPP en cas d'administration le matin à jeun. Notre étude présente un biais de désirabilité sociale important favorisant la connaissance des situations où les IPP ne sont pas indiqués. Elle permet de faire ressortir l'importance de l'expérience clinique et des valeurs des patients dans les prescriptions des médecins. Enfin, si les situations ne nécessitant pas de prescriptions d'IPP semblent bien connues des médecins, des formations sur les indications paraissent nécessaires.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

    L'acupuncture dans la prise en charge des nausées et vomissements gravidiques (pratiques et représentations de 100 médecins généralistes interrogés par téléphone)

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    Contexte: L'intérêt du public pour les médecines alternatives dont l'acupuncture est indéniable. Cependant, les médecins généralistes semblent encore hésitants à y recourir. Notre étude s'est intéressée à la place accordée à l'acupuncture dans la prise en charge des nausées et vomissements gravidiques (NVG) en médecine générale, indication pour laquelle cette thérapeutique bénéficie d'un niveau de preuve de grade A selon la Haute Autorité de Santé (HAS). Méthode: 100 médecins généralistes, tirés au sort, ont été interrogés par questionnaires téléphoniques sur leur prise en charge des NVG, la place qu y occupe l acupuncture, sur leur connaissance des recommandations et leurs représentations de cette thérapeutique. Résultats: L étude a permis de dégager une méconnaissance de la recommandation (91% des médecins) et un faible recours à l acupuncture (12%) dans cette indication contrastant avec la prévalence du recours médicamenteux (87%). En ressort également une attitude positive des médecins face à cette pratique, un besoin de validation scientifique (bien qu étant paradoxalement moins prégnant dans le cadre des médecines alternatives qu en allopathie), et la nécessité (90%) d intégrer au cursus une formation brève sur les médecines alternatives (indications, preuve d efficacité, concepts). Conclusion: Pour pallier à cette méconnaissance majeure et répondre à l intérêt des médecins généralistes, il semblerait intéressant de promouvoir une formation sur les médecines alternatives au sein du cursus médical afin de poursuivre leur intégration.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Décision médicale partagée (observation des pratiques de dépistage du cancer de la prostate en médecine générale)

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    Introduction : La relation médecin-patient s'est modifiée au cours de la deuxième moitié du XXème siècle. Le modèle de décision médicale partagée s est imposé comme idéal à atteindre, en particulier dans les situations d'incertitude scientifique. A travers l exemple du dépistage du cancer de la prostate, nous avons voulu observer si ce modèle était mis en pratique et comment. Méthode : Nous avons fait observer par des internes chez 121 médecins généralistes pendant 6 mois les consultations abordant pour la première fois le dépistage du cancer de la prostate. Résultats : Nous n'avons obtenu le recueil que de 13 consultations. Une seule montre un partage patent de la décision. Dans les autres consultations, l'information donnée est souvent trop parcellaire pour que le patient s'approprie la décision, et la méthodologie permettant la décision partagée est peu respectée. Aucun outil d'aide à la décision n'a été utilisé. Discussion : Il serait intéressant de voir si une formation à la communication des risques et au partage de la décision serait acceptée par les médecins et de voir si elle permettrait une amélioration de la qualité des soins.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

    Construction d'un questionnaire explorant les déterminants socio-psychologiques de la non prise de rendez-vous chez le dermatologue chez des patients à risque adressés pour une lésion suspecte de mélanome

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    Introduction : Le dépistage du mélanome est une piste de travail intéressante pour les chercheurs. L'objectif de notre travail est de construire un questionnaire explorant les déterminants socio-psychologiques à la non-participation au dépistage ciblé du mélanome chez des patients à risque ayant une lésion suspecte. Nous allons appuyer notre questionnaire sur un modèle cognitif, le Health Belief Model. Méthode : La construction du questionnaire s'est fondée sur une revue de littérature de type narrative et des entretiens semi-directifs passés auprès de patients. La pertinence et le libellé des questions ont été évalués par la méthode Delphi et par entretiens téléphoniques. Une collaboration entre chercheurs a permis de résoudre les désaccords tout au long des différentes étapes. Résultats : La revue de littérature et les entretiens semi-directifs ont permis d'élaborer un premier questionnaire de 49 items, utilisant comme mode de réponses, l échelle de Likert. Grâce à la méthode Delphi, le libellé de plusieurs items a été modi é et les items non pertinents ont été retirés, pour aboutir à un questionnaire de 45 questions. Les entretiens téléphoniques ont permis de corriger aussi quelques libellés et de con rmer la faisabilitépar téléphone. Discussion : La pertinence du choix du Health Belief Model et de l'échelle de Likert seront con rmées par les résultats auprès de toute la cohorte COPARIME. La revue de littérature de type narrative et les entretiens semi-directifs sont deux méthodes à améliorer pour obtenir un questionnaire encore plus able. La validité de contenu est con rmé par la méthode Delphi.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

    L'information préalable à la vaccination contre le papillomavirus (une description à partir de 126 situations rencontrées en cabinet de médecine générale)

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    Contexte : L'arrivée en 2006 du vaccin Gardasil® puis de Cervarix® contre le papillomavirus humain bouleverse la prévention du cancer du col de l'utérus. Objectifs : L étude réalisée cherche à évaluer les informations fournies par les médecins généralistes et celles retenues par les patientes, elle vérifie également si les recommandations de l AFSSAPS sont respectées. Méthode : Des grilles d observation de consultation et des questionnaires ont été remplis pendant 6 mois par les étudiants en stage chez 185 médecins généralistes maîtres de stage à la faculté de médecine de Nantes et par les patientes venant se faire vacciner ainsi que leur accompagnant. Résultats : Des données ont été fournies sur 120 médecins généralistes. 54 consultations de prescription du vaccin Gardasil® ont été analysées. 72 questionnaires ont été remplis par les patientes venues se faire vacciner et 34 par leur accompagnant. Conclusion : L objectif de la vaccination est expliqué par les médecins dans 92,6% des cas et le plus souvent retenu par les patientes. Les recommandations de l AFFSAPS sont respectées dans plus de 90% des cas, mais seuls 46% des médecins vérifient l absence d activité sexuelle de plus d un an même en cas de vaccination de rattrapage. Les premières informations reçues par les patientes relèvent majoritairement des médias tandis que celles de leur mère proviennent du médecin généraliste. On peut s'inquiéter que la vaccination anti-papillomavirus ne soit que rarement une occasion de prévention contre les autres MST par les médecins et que 50% des patientes croient être définitivement protégées par le vaccin contre le cancer du col de l'utérus.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Prévention et dépistage de l'obésité de l'enfant (enquête de pratiques auprès de 50 médecins généralistes)

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    Contexte : l'obésité infantile est un problème majeur de santé publique. La prévention est un pilier essentiel pour combattre ce problème. Le médecin généraliste dispose d'outils simples d utilisation et de recommandations claires pour repérer rapidement les enfants à risque d obésité. Cependant, il existe toujours un retard au diagnostic et donc ensuite à la prise en charge de l obésité chez l enfant. Objectifs : quelles sont les connaissances des médecins généralistes des modalités de dépistage et de leur utilité ? Quelles difficultés rencontrent-ils à réaliser ce dépistage ? Méthodes : enquête par questionnaire téléphonique auprès d un échantillon représentatif de 50 médecins généralistes. Résultats : 63 % des médecins interrogés pensent qu un dépistage précoce est utile. Cependant, ils sont seulement 37 % à déclarer des pratiques conformes aux recommandations et 22 % à rechercher un rebond d adiposité précoce. De plus, ils n identifient pas ce manque de formation puisqu ils sont 79 % à ne ressentir aucune difficulté à la réalisation de ce dépistage. Conclusion : l amélioration de la prévention et du dépistage de l obésité infantile par les médecins généralistes nécessite une meilleure formation à l'utilisation efficace de la courbe de corpulence. L'évolution de la mission de prévention du médecin généraliste, ainsi que la mise en place de travail en groupe, dans des cabinets informatisés, sont des perspectives à encourager.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Perception de la vaccination contre le Papillomavirus Humain (une enquête chez des adolescentes en classe de 3ème)

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    La vaccination contre le cancer du col de l'utérus est une nouvelle vaccination autorisée depuis novembre 2006 en France. Les recommandations officielles de ce nouveau vaccin demandent aux médecins de vacciner les jeunes filles de 14 ans, avec ensuite un rattrapage possible pour les patientes de 15 à 23 ans qui sont dans leur première année de rapports sexuels. Or selon les derniers chiffres officiels, la vaccination observée a plutôt été une vaccination de rattrapage car peu de jeunes filles de 14 ans se sont faites vaccinées. Cette étude a donc pour but d évaluer les connaissances et la perception de cette nouvelle vaccination auprès de la population cible afin de mettre en évidence ce qui freine au bon suivi de ces recommandations : méconnaissance du nouveau vaccin ? Peur des effets secondaires comme celui de l hépatite B ? Difficulté d'informer et/ou de conseiller de la part des médecins traitants ?NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Evaluation de l implantation de bioprothèse pour cure d éventration en milieu septique (Etude rétrospective à partir de 30 cas)

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    Introduction : La prise en charge des éventrations en milieu septique est un problème fréquent et grave. L implantation de prothèse non résorbable classique, afin de diminuer le taux de récidive, est contre-indiquée dans ces circonstances, rendant nécessaires le développement de nouveaux matériaux et leur évaluation. Objectif : Etudier les circonstances de mise en place et les suites post-opératoires de l implantation de bioprothèse, dont les avantages seraient la possible implantation en milieu septique. Matériels et méthodes : L ensemble des patients ayant bénéficié d une implantation de bioprothèse au CHU Dijon depuis 2010, date de mise à disposition, ont été revus. Résultats : Trente patients ont bénéficié de l implantation d une bioprothèse, dont 21 étaient obèses (70%), 19 dénutris (63%) et 16 ASA III ou IV (53%). Les scores prenant en compte l ASA, la durée opératoire et le degré de contamination ont classé 24 patients à haut risque de complications septiques (80%). Dix ont présenté des suites simples. Parmi les 20 complications, 8 ont pu être traitées avec des soins locaux, 6 ont nécessité une reprise opératoire sans explantation de la bioprothèse et 2 sont décédées. La seule complication imputable au matériel était un délitement d un assemblage de 2 bioprothèses. A distance, 2 patients ont présenté une récidive d éventration. Conclusion : L implantation de bioprothèse en milieu septique ou à risque ne se traduit pas par une absence d infection du site opératoire mais par une capacité de guérison sans explantation obligatoire du matériel. Dans cette population très fragile et à haut risque de complications septiques, le surcoût engendré par ce type de matériel semble être contrebalancé par une diminution de la durée du séjour hospitalier et des soins à domicile. Des études prospectives randomisées et des enquêtes coûts-efficacité doivent être menées afin de déterminer la place de ces bioprothèses.DIJON-BU Médecine Pharmacie (212312103) / SudocSudocFranceF
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