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    « Etude de la concentration du secteur bancaire marocain »

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    Au Maroc, comme ailleurs, une série de mesures de libéralisation et de déréglementation ont été entreprises, depuis les années 1990, afin d’insuffler au secteur bancaire plus de concurrence à même de doter l’économie nationale d’un système bancaire moderne et efficace; un système en mesure de rationnaliser le fonctionnement des marchés financiers et réels et par voie de conséquence contribuer à la réalisation d’une croissance économique forte et durable.L’approche suivie, traditionnellement, pour évaluer le degré de la concurrence/concentration sur un marché consiste à mettre en équation le nombre d’entreprises et l’ampleur de la concurrence par les prix : plus il y’aurait  moins d’entreprises,  plus le secteur est concentré et plus les prix sont élevés, et inversement. L’analyse de  la concentration du secteur bancaire marocain  est  donc de nature à nous  renseigner  sur  la relation existant entre la concentration et la rentabilité des banques (ou les prix pratiqués).Ainsi, au delà du débat sur C3 , C5 et  l’IHH, leur  calcul dans le secteur bancaire marocain fait ressortir une concentration plus modérée pour les crédits que pour les dépôts à compter de l’année 2012. Ceci découle notamment d’une fragmentation de ce sous-marché au-delà des leaders. Néanmoins, comme pour les indices C3 et C5, l’IHH relève une tendance vers plus de concentration sur la période 2005-2011et une tendance vers la baisse à compter de 2012, ceci peut, en partie, expliquer la baisse des tarifs bancaires déclenchée  depuis cette année 2012

    ETUDE DE LA CONCENTRATION DU SECTEUR BANCAIRE MAROCAIN

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    Au Maroc, comme ailleurs, une série de mesures de libéralisation et de déréglementation  ont été entreprises, depuis les années 1990, afin d’insuffler au secteur bancaire plus de concurrence à même de doter l’économie nationale d’un système bancaire moderne et efficace; un système en mesure de rationaliser le fonctionnement des marchés financiers et réels et par voie de conséquence contribuer à la réalisation d’une croissance économique forte et durable.L’approche suivie, traditionnellement, pour évaluer le degré de la concurrence/concentration sur un marché consiste à mettre en équation le nombre d’entreprises et l’ampleur de la concurrence par les prix : plus il y’aurait  moins d’entreprises,  plus le secteur est concentré et plus les prix sont élevés, et inversement. L’analyse de  la concentration du secteur bancaire marocain  est  donc de nature à nous  renseigner  sur  la relation existant entre la concentration et la rentabilité des banques (ou les prix pratiqués).Ainsi, au-delà du débat sur C3 , C5 et  l’IHH, leur  calcul dans le secteur bancaire marocain fait ressortir une concentration plus modérée pour les crédits que pour les dépôts à compter de l’année 2012. Ceci découle notamment d’une fragmentation de ce sous-marché au-delà des leaders. Néanmoins, comme pour les indices C3 et C5, l’IHH relève une tendance vers plus de concentration sur la période 2005-2011et une tendance vers la baisse à compter de 2012, ceci peut, en partie, expliquer la baisse des tarifs bancaires déclenchée  depuis cette année 2012

    Analyse de la relation entre ouverture et croissance économique dans les pays en développement

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    Le présent article analyse l’impact de l’ouverture sur la croissance économique dans les pays en développement entre 2000 et 2010. Intégrant plusieurs mesures de l’ouverture et corrigeant les biais liés à l’hétérogénéité individuelle non observée, les tests montrent que l’ouverture commerciale a un effet positif sur la croissance contrairement à l’investissement direct étranger. L’absence d’impact de ce dernier facteur pourrait être expliquée par la faiblesse du niveau du capital humain des pays arabes, nécessaire pour assimiler la technologie apportée par les firmes étrangères
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