110 research outputs found
Studies in neuroendocrine pharmacology
The expertise and facilities available within the Medical Sciences Program section on Pharmacology were used along with informational input from various NASA sources to study areas relevant to the manned space effort. Topics discussed include effects of drugs on deprivation-induced fluid consumption, brain biogenic amines, biochemical responses to stressful stimuli, biochemical and behavioral pharmacology of amphetamines, biochemical and pharmacological studies of analogues to biologically active indole compounds, chemical pharmacology: drug metabolism and disposition, toxicology, and chemical methodology. Appendices include a bibliography, and papers submitted for publication or already published
Drugs and driving: a research review. Final report.
National Highway Traffic Safety Administration, Washington, D.C.Mode of access: Internet.COP: 2Author corporate affiliation: Indiana University, BloomingtonReport covers the period June 1974 to Oct 1975Subject code: BDSubject code: EOESubject code: OBBDSubject code: OBCEPSubject code: RCNSubject code: SBBKSubject code: WSKSubject code: XMHSubject code: YC
A survey of court procedures for handling problem drinkers convicted of driving while intoxicated. Summary. Final report.
National Highway Traffic Safety Administration, Washington, D.C.Mode of access: Internet.COP: 2Author corporate affiliation: Indiana University, Bloomington, Institute for Research in Public SafetySubject code: FJCSubject code: RETCSubject code: RPRSubject code: WPRDFSubject code: OBCBDSubject code: YC
The drinking driver: a survey of the literature. (Court procedures survey; reference volume I.) Final report.
National Highway Traffic Safety Administration, Washington, D.C.Mode of access: Internet.COP: 2RFOJ: BibAuthor corporate affiliation: Indiana University, Bloomington, Institute for Research in Public SafetySubject code: BDFSubject code: EODSubject code: PDDHSubject code: WPRDFSubject code: OBCBDSubject code: YECSubject code: WPG
The drinking driver: a survey of legal issues. (Court procedures survey, reference volume II.) Final report.
National Highway Traffic Safety Administration, Washington, D.C.Mode of access: Internet.COP: 2COP: 3Author corporate affiliation: Indiana University, Bloomington, Institute for Research in Public SafetySubject code: HCEESubject code: HCEJSubject code: RCCDDSubject code: RETCSubject code: RJSubject code: RPSubject code: RPNSubject code: RPRSubject code: WS
The Olokun head reconsidered
The opportunity was taken in 2010 to carry out a full scientific and technical examination of the brass head from Ife, popularly known as the Olokun head, first published in 1912 by Leo Frobenius, together with a selection of other Ife heads that came to London for exhibition at the British Museum. This was especially appropriate as on its last visit some 60 years previously, the Olokun head had been examined and condemned as a sand cast copy. The present study has established beyond doubt that the Olokun head is a hollow cire perdue or lost wax casting, very similar in technique and composition to the other heads. The balance of evidence suggests that this is the head unearthed at Ife in 1910.En 2010, une exposition de tĂŞtes Ife au British Museum Ă Londres a fourni l’opportunitĂ© de procĂ©der Ă un examen scientifique et technique dĂ©taillĂ© d’une tĂŞte en laiton, plus connue sous le nom de tĂŞte d’Olokun, et publiĂ©e par LĂ©o Frobenius en 1912 ; une sĂ©lection d’autres tĂŞtes Ife exposĂ©es ont fait Ă©galement l’objet d’analyses. La tĂŞte d’Olokun avait Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©e et relĂ©guĂ©e, soixante ans auparavant, au statut de simple copie obtenue par fonte au sable. Cette nouvelle approche, particulièrement bienvenue, Ă©tablit sans aucun doute que la tĂŞte d’Olokun est une fonte Ă cire perdue, très similaire aux autres tĂŞtes en termes de technique et de composition. Par ailleurs, tout un faisceau d’élĂ©ments suggère qu’il s’agit bien de la tĂŞte mise au jour Ă Ife en 1910.Cet article livre les rĂ©sultats du rĂ©-examen technique et scientifique de la cĂ©lèbre tĂŞte en laiton d’Olokun, originaire d’Ife (NigĂ©ria), considĂ©rĂ©e en 1949 par William Fagg et LĂ©on Underwood comme une copie rĂ©alisĂ©e par moulage de la tĂŞte originale dĂ©couverte en 1910 par Leo Frobenius.La discussion s’articule autour de trois grandes parties. La première examine les nombreux arguments utilisĂ©s par W. Fagg et L. Underwood pour relĂ©guer la tĂŞte au statut de simple copie. La seconde dĂ©crit la façon dont on pense actuellement que la tĂŞte a Ă©tĂ© coulĂ©e. Enfin, la troisième dĂ©voile l’examen scientifique Ă©tablissant son anciennetĂ© probable, sa production en Afrique de l’Ouest, et sa ressemblance frappante avec d’autres tĂŞtes d’Ife.Parmi les nombreux points retenus par W. Fagg et L. Underwood, trois revĂŞtent une certaine importance. Dans l’ensemble ils dĂ©noncent la nature diffuse de la surface du mĂ©tal et le manque de dĂ©tails prĂ©cis (les points a, b, f et g de Fagg et Underwood), alors attribuĂ©s Ă la mĂ©thode de fonte au sable. En rĂ©alitĂ©, l’examen attentif a très vite dĂ©montrĂ© que l’origine de cette diffĂ©rence d’aspect rĂ©sidait dans le fait que, contrairement aux autres tĂŞtes d’Ife prĂ©sentes au British Museum de nombreux mois avant l’exposition – pour examen et nettoyage –, la tĂŞte d’Olokun n’était arrivĂ©e en Grande-Bretagne que la veille de son ouverture et n’avait, par consĂ©quent, reçu qu’un traitement très superficiel. Sous la couche de cire appliquĂ©e Ă la hâte, la corrosion, la terre et mĂŞme des restes du matĂ©riau de moulage d’origine ont subsistĂ©, remplissant les interstices et brouillant les dĂ©tails de la fonte (fig. 8).Une objection plus sĂ©rieuse (g) rĂ©sidait dans le fait, qu’en certains endroits de la tĂŞte, des accrĂ©tions de matière de surface paraissaient ĂŞtre en mĂ©tal, comme si on avait lĂ la traduction dans le mĂ©tal du moulage de rĂ©sidus, de poussières et de traces de corrosion, ce qui aurait pu effectivement ĂŞtre un argument en faveur d’une copie moulĂ©e sur l’original. Cependant, l’examen approfondi des zones concernĂ©es a montrĂ© que la plupart de ces « moulages de poussière » sont en fait constituĂ©s de vraies poussières et de rĂ©sidus de fonte (fig. 9). Ă€ la base du cimier, on distingue quelques gerces de mĂ©tal et le dĂ©cor du cimier lui-mĂŞme est Ârecouvert de mĂ©tal (fig. 10), mais cela pourrait s’expliquer par le simple fait que l’argile utilisĂ©e pour le moulage n’était pas assez fine pour pĂ©nĂ©trer profondĂ©ment dans cet interstice, ou encore que la surface du moule avait Ă©tĂ© endommagĂ©e pendant la cuisson et la coulĂ©e.Leur point h nĂ©cessite Ă©galement une explication. Ainsi W. Fagg et L. Underwood dĂ©crivent deux zones sur le front qu’ils attribuent Ă une Âtentative d’introduction de broches en fer dans un possible moule en plâtre. Cette interprĂ©tation est entièrement erronĂ©e. Pour que cela soit interprĂ©tĂ© comme la preuve que cette tĂŞte Ă©tait une copie d’un original, le mĂ©tal aurait dĂ» ĂŞtre coulĂ© par les canaux intĂ©rieurs dans l’original et ce que l’on voit dans le mĂ©tal de la prĂ©sente tĂŞte correspondrait alors au moulage des canaux de coulĂ©e de la tĂŞte originale. Toutefois ces canaux de coulĂ©e coupĂ©s contenaient encore les extrĂ©mitĂ©s de broches de renforcement et par consĂ©quent il s’agit bien, non de moulages de canaux, mais de vrais canaux qui pour une raison quelconque n’ont pas Ă©tĂ© utilisĂ©s. En outre l’examen indique que c’est la cire que l’on a coupĂ©e Ă cet endroit, et non le mĂ©tal. L’explication la plus probable est que le moule a Ă©tĂ© assemblĂ©, prĂŞt Ă ĂŞtre chauffĂ©, mais qu’il a subi un accident qui l’a endommagĂ© avant le dĂ©but de la coulĂ©e. Les canaux de cire originaux ont alors probablement dĂ» ĂŞtre coupĂ©s et remplacĂ©s par deux autres Ă l’intĂ©rieur de la tĂŞte (fig. 2).Dans l’ensemble il est Ă noter que, dans leur discussion, W. Fagg et L. Underwood ne mentionnent aucune des principales caractĂ©ristiques qui permettent de distinguer les fontes au sable ou les fontes postĂ©rieures, telle une rĂ©duction de taille de la copie qui aurait pu ĂŞtre constatĂ©e. De mĂŞme, la prĂ©sence de traits tout aussi distinctifs de la fonte Ă cire perdue qui peuvent ĂŞtre observĂ©s sur la tĂŞte ne sont pas Ă©voquĂ©s.L’examen scientifique a Ă©tabli que le mĂ©tal est sĂ©rieusement corrodĂ©, avec une corrosion intergranulaire très importante, tĂ©moignant fortement d’un enfouissement prolongĂ© (fig. 16 et 18). Les produits de corrosion sont les minĂ©raux auxquels on peut s’attendre sur une vĂ©ritable antiquitĂ©. Il y a aussi une contamination très superficielle de pigments synthĂ©tiques. Ces derniers sont identiques Ă ceux trouvĂ©s sur les moulages en plâtre des tĂŞtes rĂ©alisĂ©s au British Museum, lors de la prĂ©sence de la tĂŞte d’Olokun en 1948.La composition Ă©lĂ©mentaire et isotopique du mĂ©tal de la tĂŞte d’Olokun est similaire Ă celle des autres tĂŞtes d’Ife, ce qui suggère fortement qu’elle a Ă©tĂ© fabriquĂ©e Ă partir du mĂŞme stock de mĂ©tal. L’examen du noyau de la tĂŞte indique une composition similaire Ă celle de l’une des autres tĂŞtes Ă©chantillonnĂ©e pour comparaison (Willett & Sayre 2006). Plus significatif encore, une partie de la matière vĂ©gĂ©tale utilisĂ©e comme remplissage du noyau de la tĂŞte d’Olokun provenait de plantes qui poussent uniquement en Afrique de l’Ouest, signe Ă©vident que la tĂŞte a Ă©tĂ© coulĂ©e dans cette rĂ©gion.Ainsi, dans l’ensemble, le rĂ©examen jette un doute considĂ©rable sur le rapport de 1949. Il Ă©tablit que la tĂŞte est certainement une fonte creuse Ă la cire perdue, probablement rĂ©alisĂ©e en fonte directe – bien qu’une fonte indirecte ne puisse pas ĂŞtre totalement exclue –, très similaire Ă celle mise en Ĺ“uvre pour rĂ©aliser les autres tĂŞtes. L’ensemble de ces arguments suggère qu’il s’agit bien de la tĂŞte exhumĂ©e par L. Frobenius en 1910
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