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    An original settlement during the Tardiglacial in Brittany: the rock shelter of Kerbizien in Huelgoat

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    L’abri-sous-roche de Kerbizien sur la commune de Huelgoat (Finistère) s’ouvre dans un énorme bloc granitique installé en sommet de coteau. Il mesure 9,50 m à l’ouverture pour environ 5,50 m de profondeur, avec une hauteur sous plafond de 2,80 m depuis le socle rocheux et une surface habitable d’environ 16 m². Son remplissage sédimentaire a été presque intégralement détruit au début des années 1980, mais un tamisage des déblais et un sondage dans la cavité avaient permis à J.-M. Moullec de décrire avec précision les différentes composantes chrono-culturelles présentes, Paléolithique final, Mésolithique et Moyen-Âge. La fouille réalisée en juillet 2011 a permis d’identifier des niveaux en place du Tardiglaciaire (Azilien) au fond de la caverne. Ils formaient une bande de deux mètres de large le long de la paroi et étaient constitués d’un mélange de limons et de sables granitiques issus de l’érosion des parois. La totalité du site a été fouillée, à l’exception d’un bourrelet limoneux au sud-ouest du bloc dont la partie supérieure comprend des occupations aux vestiges indémêlables. Quelques charbons ont été recueillis dans les US 4 et 5, mais ils sont rares et donc sujets à caution ; une datation par le radiocarbone l’a d’ailleurs confirmé. Le mobilier archéologique recueilli lors de la fouille comprend des roches taillées à destination de l’outillage (principalement silex, mais aussi grès éocène, microquartzite, cataclasite et calcédoine), de petites plaquettes de schiste et trois gros blocs de granite taillés sommairement. Parmi les 1 313 objets archéologiques issus de la fouille et du tamisage, 20 % proviennent des unités stratigraphiques tardiglaciaires en place. Pointes à dos courbes, grandes lames très utilisés et chutes de burin composent un assemblage aisément comparable à l’Azilien dans une phase ancienne, très rare dans le nord-ouest de la France. Sa signature fonctionnelle est originale et serait tout à fait compatible avec l’hypothèse d’une station logistique (i.e. halte de chasse) de groupes très mobiles. Leur connaissance des ressources géologiques locales est un élément important à garder en mémoire, qui démontre que les parcours étaient réguliers dans cette partie occidentale de la région, dénuée de silex en position primaire.The Kerbizien rock shelter on the commune of Huelgoat (Finistere) opens in an enormous granitic block installed in top of slope. It measures 9.50 m with the opening for approximately 5.50 m of depth, with a height under ceiling of 2.80 m from the rock base. The liveable space is approximately 11 m². Its sedimentary filling was almost completely destroyed at the beginning of the years 1980, but a survey in the cavity allowed J.-M. Moullec to describe with precision various cultural components (Final Palaeolithic, Mesolithic and the middle Ages). The excavation carried out in July 2011 made it possible to identify Tardiglacial levels (Azilian) at the bottom of the cave in a two meters broad band along the wall. This level consisted of a mixture of silts and granitic sands resulting from the erosion of the monolithic block. Some charcoals were collected in the US 4 and 5, but they are quite rare and thus questionable as a radiocarbon date confirmed it. The archaeological materials collected during the excavation are lithic tools (mainly flint, but also Eocene sandstone, microquartzite, cataclasite and chalcedony), small pieces of schist and three large summarily worked granite blocks.Among the 1313 lithic pieces, 20% come from the homogeneous Tardiglacial stratigraphical units. Curved backed points, large blades very used and falls of graver compose an industry easily comparable with Azilian in an old phase. It is very rare in the North-West of France. Its functional signature is original and would be completely compatible with the assumption of a logistical station (i.e. field camp) of very mobile human groups. Their knowledge of the local geological resources is a significant component to be kept in memory, which shows that the courses were regular in this area

    An original settlement during the Tardiglacial in Brittany: the rock shelter of Kerbizien in Huelgoat

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    L’abri-sous-roche de Kerbizien sur la commune de Huelgoat (Finistère) s’ouvre dans un énorme bloc granitique installé en sommet de coteau. Il mesure 9,50 m à l’ouverture pour environ 5,50 m de profondeur, avec une hauteur sous plafond de 2,80 m depuis le socle rocheux et une surface habitable d’environ 16 m². Son remplissage sédimentaire a été presque intégralement détruit au début des années 1980, mais un tamisage des déblais et un sondage dans la cavité avaient permis à J.-M. Moullec de décrire avec précision les différentes composantes chrono-culturelles présentes, Paléolithique final, Mésolithique et Moyen-Âge. La fouille réalisée en juillet 2011 a permis d’identifier des niveaux en place du Tardiglaciaire (Azilien) au fond de la caverne. Ils formaient une bande de deux mètres de large le long de la paroi et étaient constitués d’un mélange de limons et de sables granitiques issus de l’érosion des parois. La totalité du site a été fouillée, à l’exception d’un bourrelet limoneux au sud-ouest du bloc dont la partie supérieure comprend des occupations aux vestiges indémêlables. Quelques charbons ont été recueillis dans les US 4 et 5, mais ils sont rares et donc sujets à caution ; une datation par le radiocarbone l’a d’ailleurs confirmé. Le mobilier archéologique recueilli lors de la fouille comprend des roches taillées à destination de l’outillage (principalement silex, mais aussi grès éocène, microquartzite, cataclasite et calcédoine), de petites plaquettes de schiste et trois gros blocs de granite taillés sommairement. Parmi les 1 313 objets archéologiques issus de la fouille et du tamisage, 20 % proviennent des unités stratigraphiques tardiglaciaires en place. Pointes à dos courbes, grandes lames très utilisés et chutes de burin composent un assemblage aisément comparable à l’Azilien dans une phase ancienne, très rare dans le nord-ouest de la France. Sa signature fonctionnelle est originale et serait tout à fait compatible avec l’hypothèse d’une station logistique (i.e. halte de chasse) de groupes très mobiles. Leur connaissance des ressources géologiques locales est un élément important à garder en mémoire, qui démontre que les parcours étaient réguliers dans cette partie occidentale de la région, dénuée de silex en position primaire.The Kerbizien rock shelter on the commune of Huelgoat (Finistere) opens in an enormous granitic block installed in top of slope. It measures 9.50 m with the opening for approximately 5.50 m of depth, with a height under ceiling of 2.80 m from the rock base. The liveable space is approximately 11 m². Its sedimentary filling was almost completely destroyed at the beginning of the years 1980, but a survey in the cavity allowed J.-M. Moullec to describe with precision various cultural components (Final Palaeolithic, Mesolithic and the middle Ages). The excavation carried out in July 2011 made it possible to identify Tardiglacial levels (Azilian) at the bottom of the cave in a two meters broad band along the wall. This level consisted of a mixture of silts and granitic sands resulting from the erosion of the monolithic block. Some charcoals were collected in the US 4 and 5, but they are quite rare and thus questionable as a radiocarbon date confirmed it. The archaeological materials collected during the excavation are lithic tools (mainly flint, but also Eocene sandstone, microquartzite, cataclasite and chalcedony), small pieces of schist and three large summarily worked granite blocks.Among the 1313 lithic pieces, 20% come from the homogeneous Tardiglacial stratigraphical units. Curved backed points, large blades very used and falls of graver compose an industry easily comparable with Azilian in an old phase. It is very rare in the North-West of France. Its functional signature is original and would be completely compatible with the assumption of a logistical station (i.e. field camp) of very mobile human groups. Their knowledge of the local geological resources is a significant component to be kept in memory, which shows that the courses were regular in this area

    Un visage original du Tardiglaciaire en Bretagne : les occupations aziliennes dans l’abri-sous-roche de Kerbizien à Huelgoat

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    L’abri-sous-roche de Kerbizien sur la commune de Huelgoat (Finistère) s’ouvre dans un énorme bloc granitique installé en sommet de coteau. Il mesure 9,50 m à l’ouverture pour environ 5,50 m de profondeur, avec une hauteur sous plafond de 2,80 m depuis le socle rocheux et une surface habitable d’environ 16 m². Son remplissage sédimentaire a été presque intégralement détruit au début des années 1980, mais un tamisage des déblais et un sondage dans la cavité avaient permis à J.-M. Moullec de décrire avec précision les différentes composantes chrono-culturelles présentes, Paléolithique final, Mésolithique et Moyen-Âge. La fouille réalisée en juillet 2011 a permis d’identifier des niveaux en place du Tardiglaciaire (Azilien) au fond de la caverne. Ils formaient une bande de deux mètres de large le long de la paroi et étaient constitués d’un mélange de limons et de sables granitiques issus de l’érosion des parois. La totalité du site a été fouillée, à l’exception d’un bourrelet limoneux au sud-ouest du bloc dont la partie supérieure comprend des occupations aux vestiges indémêlables. Quelques charbons ont été recueillis dans les US 4 et 5, mais ils sont rares et donc sujets à caution ; une datation par le radiocarbone l’a d’ailleurs confirmé. Le mobilier archéologique recueilli lors de la fouille comprend des roches taillées à destination de l’outillage (principalement silex, mais aussi grès éocène, microquartzite, cataclasite et calcédoine), de petites plaquettes de schiste et trois gros blocs de granite taillés sommairement. Parmi les 1 313 objets archéologiques issus de la fouille et du tamisage, 20 % proviennent des unités stratigraphiques tardiglaciaires en place. Pointes à dos courbes, grandes lames très utilisés et chutes de burin composent un assemblage aisément comparable à l’Azilien dans une phase ancienne, très rare dans le nord-ouest de la France. Sa signature fonctionnelle est originale et serait tout à fait compatible avec l’hypothèse d’une station logistique (i.e. halte de chasse) de groupes très mobiles. Leur connaissance des ressources géologiques locales est un élément important à garder en mémoire, qui démontre que les parcours étaient réguliers dans cette partie occidentale de la région, dénuée de silex en position primaire.The Kerbizien rock shelter on the commune of Huelgoat (Finistere) opens in an enormous granitic block installed in top of slope. It measures 9.50 m with the opening for approximately 5.50 m of depth, with a height under ceiling of 2.80 m from the rock base. The liveable space is approximately 11 m². Its sedimentary filling was almost completely destroyed at the beginning of the years 1980, but a survey in the cavity allowed J.-M. Moullec to describe with precision various cultural components (Final Palaeolithic, Mesolithic and the middle Ages). The excavation carried out in July 2011 made it possible to identify Tardiglacial levels (Azilian) at the bottom of the cave in a two meters broad band along the wall. This level consisted of a mixture of silts and granitic sands resulting from the erosion of the monolithic block. Some charcoals were collected in the US 4 and 5, but they are quite rare and thus questionable as a radiocarbon date confirmed it. The archaeological materials collected during the excavation are lithic tools (mainly flint, but also Eocene sandstone, microquartzite, cataclasite and chalcedony), small pieces of schist and three large summarily worked granite blocks.Among the 1313 lithic pieces, 20% come from the homogeneous Tardiglacial stratigraphical units. Curved backed points, large blades very used and falls of graver compose an industry easily comparable with Azilian in an old phase. It is very rare in the North-West of France. Its functional signature is original and would be completely compatible with the assumption of a logistical station (i.e. field camp) of very mobile human groups. Their knowledge of the local geological resources is a significant component to be kept in memory, which shows that the courses were regular in this area

    La répartition géographique des constructions rurales en terre crue de la Bretagne administrative

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    National audienceL'orsque l’on parcourt la campagne à l’ouest de Rennes, on est tout de suite frappé par l’architecture en terre crue largement dominante dans l’habitat rural, ce qui en fait un territoire très original. Mais quelle est l’extension de la zone où l’on utilise ce matériau

    La sédimentologie : un outil complémentaire en Archéosciences

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    Communication à la Journée du "CReAAH", Archéologie, Archéosciences, Histoire, Rennes, 2 avril 201

    La terre crue, un matériau typique de l'architecture rurale du bassin de Rennes (XVI e -XX e siècle)

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    International audienceRaw earth, a typical material of the rural architecture of the Rennes basin (16th-20th century) François PUSTOC'H (1), Simon PUAUD (1), Éric DARRIGRAND (2), Fabrice MAHÉ (2) ABSTRACT: The starting point of this study is based on an observation: the large number of vernacular raw earth constructions in the rural area of the Rennes region. The construction of these buildings was carried out according to two distinct techniques: the cob where the walls are built in successive lifts of solid earth without formwork; wattle daub, which consists of filling a lath with earth that occupies the spaces of a wooden supporting structure (half-timbering). A field survey, conducted by one of us (FP) between 2013 and 2019, on the territory of administrative Brittany, has allowed to circumscribe the area within which this material has been used. It covers almost all of Ille-et-Vilaine, a large eastern half of the Côtes-d'Armor and the extreme northeast of Morbihan. The technique of cob, unlike that of wattle daub, requires a large quantity of raw earth, the walls of buildings frequently exceed 50 cm in thickness. Its use reveals the abundance of this georesource in the environment. In rural areas, the soil is taken from the site, after the topsoil has been removed: either during the preliminary levelling of the construction site; or in pits, which would explain the abundance of ponds in our countryside. The presence of this type of construction is therefore directly linked to the nature of the geological substratum and the presence of superficial formations on the construction site. The field survey shows that it is in the west of the Rennes basin that these constructions are the most frequent. This distribution is linked to the presence of Brioverian soils, which are made up, in this area, of highly altered facies of soft shales and sandstones that do not yield good quality building stone. This area is also characterized by a remarkable cover of aeolian silts. The combination of these two factors would explain the density of the raw earth constructions. During the course of the survey, more than 800 samples were taken from the entire area where the raw earth architecture was identified. This sampling was carried out on the constructions and on the characteristic surface formations (residual weathering deposit, aeolian silts, alluvium) recognized then located on the geological maps at 1/50 000 of the BRGM. The grain-size analysis of the latter has made it possible to establish granulometric reference curves. The Rennes basin appeared ideal for this study because of its geological characteristics and the abundance of its raw earth constructions. A corpus of 240 samples taken from buildings was analyzed on the laser granulometer (CILAS 1180) of the LAGO platform of the CReAAH archeosciences laboratory at the University of Rennes 1. The resulting multi-modal curves are difficult to interpret. The search in characteristic components by minimization of deviation could be developed by two of us (DE and FM) and applied to our results. The decomposition into elementary curves specific to different families of particles seems to be a good approach. The reference curves of the different families were established from the analysis of the field samples. Two methods were implemented: considering granulometric classes (clays, fine silts, coarse silts, fine sands, coarse sands) and considering the different types of surface formations (residual weathering deposit, loess, sands). An algorithm was then developed to process all the data from the Rennes basin. It allowed the creation of two tables giving the proportions of each component (class, formations). The results of this study support the hypothesis of a relationship between the abundance of raw earth constructions and the geological nature of the substratum of the Rennes basin: Brioverian formations surmounted by an important alteration profile and a cover of aeolian silts. (1) UMR 6566 CReAAHLe point de départ de cette étude repose sur un constat : le nombre important de constructions vernaculaires en terre crue sur le territoire rural de la région rennaise. L’édification de ces bâtiments a été réalisée selon deux techniques distinctes :-la bauge où les murs sont montés en couches successives de terre massive sans coffrage ;-le torchis qui consiste à remplir de terre un lattis occupant les espaces d’une structure porteuse en bois (colombage).Une enquête de terrain, menée par l’un de nous (FP) entre 2013 et 2019, sur le territoire de la Bretagne administrative, a permis de circonscrire la zone au sein de laquelle ce matériau a été utilisé. Elle recouvre presque toute l’Ille-et-Vilaine, une grande moitié est des Côtes-d’Armor et l’extrême nord-est du Morbihan.La technique de la bauge, contrairement à celle du torchis, nécessite une quantité importante de terre crue, les murs des édifices dépassent fréquemment 50 cm d’épaisseur. Son emploi révèle l’abondance dans l’environnement de cette géoressource.En milieu rural, la terre est prélevée sur place, après décaissement de la terre végétale : soit lors du nivellement préalable du site de construction ; soit dans des fosses, ce qui expliquerait l’abondance des marres dans nos campagnes. La présence de ce type de bâtiment est donc directement liée à la nature du substrat géologique et à la présence de formations superficielles sur le lieu de construction.L’enquête de terrain montre que c’est dans l’ouest du bassin rennais que ces édifices sont les plus fréquents. Cette distribution est liée à la présence de terrains briovériens qui sont constitués, dans cette zone, de faciès très altérés de schistes et de grès tendres qui ne donnent pas de pierre de construction de bonne qualité. Cette zone se caractérise également par un recouvrement remarquable de limons éoliens. L’association de ces deux facteurs expliquerait la densité des constructions en terre crue.Au cours de l’enquête, plus de 800 échantillons ont été prélevés sur toute la superficie de l’aire où l’architecture en terre crue a été identifiée. Cet échantillonnage a été effectué sur les constructions et sur les formations superficielles caractéristiques (altérites, limons éoliens, alluvions) reconnues puis repérées sur les cartes géologiques au 1/50 000 du BRGM. L’analyse granulométrique de ces dernières a permis d’établir des courbes granulométriques de référence.C’est par ses caractéristiques géologiques et l’abondance de ses constructions en terre crue que le bassin de Rennes est apparu idéal pour effectuer cette étude.Un corpus de 240 échantillons prélevés sur des constructions a été analysé sur le granulomètre laser (CILAS 1180) de la plateforme LAGO du laboratoire d’archéosciences du CReAAH à l’université de Rennes 1.Les courbes plurimodales obtenues sont délicates à interpréter. La recherche en composantes caractéristiques par minimisation d’écart a pu être élaborée par deux d’entre nous (ÉD et FM) et appliquée à nos résultats. La décomposition en courbes élémentaires propres à différentes familles de particules semble être une bonne approche. Les courbes de références des différentes familles ont été établies à partir de l’analyse des échantillons de terrain. Deux méthodes ont été mises en œuvre : en considérant des classes granulométriques (argiles, limons fins, limons grossiers, sables fins, sables grossiers) et en considérant les différents types de formations superficielles (altérites, lœss, sables). Un algorithme a ensuite été élaboré afin de traiter l’ensemble des données du bassin de Rennes. Il a permis la création de deux tableaux donnant les proportions de chacune des composantes (classe, formations).Les résultats de cette étude confortent l’hypothèse d’une relation entre l’abondance des constructions en terre crue et la nature géologique du substrat du bassin de Rennes : formations briovériennes surmontées d’un important profil d’altération et d’une couverture de limons éoliens

    Apports des analyses chimiques in situ par spectrométrie de fluorescence X portable (p-XRF) à l'étude des occupations pré- et protohistoriques de l'Ouest de la France

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    Communication à la Journée du "CReAAH", Archéologie, Archéosciences, Histoire, Rennes, 21 mars 201
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