Étude AIRBAg : résultats préliminaires après un an de dépistage de la BPCO agricole [AIRBAg study: Preliminary results after one year of screening for COPD in dairy farmers]

National audienceINTRODUCTION:The AIRBAg study screens for bronchial obstruction in dairy farmers. We present the preliminary results after one year.METHODS:A prospective screening study based on questionnaires and electronic mini-spirometry (Néo-6(®)) that includes a representative sample of dairy farmers from the departments of Morbihan and Île-et-Vilaine in Brittany. The dairy farmers had an occupational medicine appointment and, if they demonstrated at least one marker of possible bronchial obstruction (chronic cough, chronic bronchitis, dyspnoea, wheezing, FEV1/FEV6<0.8), they were referred to a pulmonologist. The data we present here were extracted from the occupational medicine appointments because the pulmonologists' appointments are still running.RESULTS:Among the 277 dairy farmers included, 125 (45%) demonstrated "possible bronchial obstruction". The total score of the CAT questionnaire was higher in these farmers (9.1±6.2 versus 5.8±4.0; P<0.0001). In multivariate analysis markers of "possible bronchial obstruction" were eczema, manual foddering and duration of mechanical straw litter spreading.CONCLUSION:Occupational medicine appointments identified markers of "possible bronchial obstruction". We will have the complete results from AIRBAg study in 2015

Théorie, conception et gestion des systèmes

536 p., ref. bib. : 7 p.La publication en langue française de l'ouvrage fondamental des professeurs Johnson, KASTet ROSENZWEiG sur l'application de la théorie des systèmes à la gestion des entreprises doit permettre à tous ceux qui s'intéressent aux méthodes modernes du « management » de faire le point sur un certain nombre de sujets assez délicats. En effet, on parle volontiers de Management Information Systems (M.I.S.) auxquels une littérature volumineuse a déjà été consacrée au cours des dernières années, cependant que des réalisations plus ou moins heureuses ont concrétisé le passage de la théorie à la pratique. Il n'en reste pas moins qu'une grande confusion règne, le plus souvent, lorsqu'il s'agit de définir et surtout de réaliser ces fameux systèmes de gestion intégrés qui semblent fasciner de plus en plus les dirigeants modernes. Des exemples fâcheux ont d'ailleurs montré le danger qu'il y a, dans ce domaine, à se laisser hypnotiser par les mots et devenir victime d'idées mal comprises ou mal assimilées. Deux mots semblent posséder une vertu magique : « information » et « système » : ils marquent l'avènement du règne de « l'informatique ». L'informatique de gestion peut, telle la langue d'Esope, être la meilleure et la pire des choses. Fondée sur les méthodes sans cesse plus raffinées du traitement de l'information, elle a d'abord révélé son efficacité dans l'automatisation des circuits comptables traditionnels et de données relatives à la vie de l'entreprise. Dans un certain nombre de cas, l'opération s'est avérée profitable, mais d'autres fois les gains directs et indirects n'ont pas contrebalancé des investissements très onéreux en équipement et en personnel. Parallèlement à ce développement, l'informatique devenait un instrument de la recherche opérationnelle. Les principes de celle-ci avaient été dégagés depuis fort longtemps ; mais il a fallu attendre l'avènement des calculatrices automatiques électroniques pour les appliquer couramment, et sur une grande échelle, à la gestion des entreprises