97 research outputs found

    Plantation des cocotiers élevés en sacs de plastique

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    Description des diverses opérations qui permettent de mettre en place des cocotiers élevés en sacs plastique en assurant la reprise rapide du jeune plan

    Le pieu à débourrer portatif

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    Une technique classique de fabrication du coprah consiste à débourrer les noix et à les casser en deux avant de les placer dans un séchoir de type " Ceylan ". Le combustible utilisé pour le séchage est la coque de la noix de coco récupérée en fin ou en cours de fabrication, lorsque l'amande séchée peut être extraite sans difficulté de la demi-noix. Pour le défibrage des noix, on procède le plus souvent de façon manuelle au moyen d'un pieu à débourrer fixe, planté dans le sol. Ce procédé exclut le défibrage des noix de coco au pied de chaque arbre et ne permet pas de tirer profit de nombreux avantages : - économie importante sur le transport des noix au séchoir (gain de 40 p. 100 sur le poids et de 60 p. 100 sur le volume quand les noix débourrées au champ sont cassées au pied des arbres) ; - restitution à la cocoteraie des bourres qui représentent un apport non négligeable de matière organique et d'éléments minéraux. Les analyses faites par l'I.R.H.O. ont montré qu'un cocotier hybride, produisant 80 à 110 noix/an, stocke dans ses bourres l'équivalent de 1 kg de KCl/an. Dans les conditions de la Côte d'Ivoire environ 60 p. 100 du potassium est restitué après 18 mois. Pour rendre possible le débourrage des noix au pied de chaque arbre, l'I.R.H.O. a mis au point un modèle de pieu léger (environ 4,5 kg) et facilement transportable, décrit ci-dessous. (Résumé d'auteur

    Irrigation des cocotiers à l'eau salée

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    Depuis décembre 1970, plusieurs dizaines d'ha de Jardins grainiers cocotiers de la Station IRHO de Port-Bouet, en Côte d'Ivoire, ont été irrigués les uns à l'eau douce et les autres avec une eau saumâtre (15 g de sels/l). L'évolution de la nutrition minérale des arbres arrosés à l'eau saumâtre montre un enrichissement de la teneur des feuilles en Mg, Cl et Na. Ceci a permis de supprimer tout apport magnésien aux cocotiers Nains, particulièrement sensibles à toute déficience en cet élément, mais risque, par contre, d'introduire un problème de déficience calcique. La production des arbres irrigués à l'eau saumâtre a été accrue de 30 p. 100 par rapport aux arbres non irrigués, pour les deux premières années, 1971 et 1972, et de 60 p. 100 pour 1973. Il faut noter cependant que ces résultats sont obtenus avec des apports d'eau supérieurs de 60 p. 100 aux déficits hydriques. Ceci s'explique par une action limitée de l'eau saumâtre sur les ouvertures stomatiques. Cela se justifie, par ailleurs, par la nécessité d'assurer un lessivage du sol afin d'éviter tout enrichissement excessif en sels de sodium en particulier. Cette remarque fait penser que ce mode d'irrigation serait impropre aux sols argileux à haut pouvoir fixateur. (Résumé d'auteur

    Les symptômes de carence azotée du cocotier

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    Les niveaux critiques pour la teneur en azote d'une feuille de rang 14 d'un cocotier adulte ont été fixés à 2 p.100 de matière sèche pour le cocotier Grand et 2,2 p.100 de matière sèche pour le cocotier hybride. En dessous de ces valeurs, la nutrition azotée est insuffisante et lorsque les teneurs baissent encore, des smptômes de carence apparaissent. Description de ces symptômes. Etude des causes et des mesures correctives à applique

    Développement du système racinaire du cocotier en fonction du milieu en Côte d'Ivoire

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    La densité du système racinaire du cocotier a été estimée par la Station Marc-Delorme (Côte d'Ivoire) grâce à des prélèvements de cylindres de sol, à partir desquels ont été calculés des poids secs de racines par unité de volume de sol. Pour une même situation, les résultats obtenus avec les deux outils utilisés, pala-draga et tarière hollandaise, ne sont pas comparables. Le système racinaire du cocotier présente une variabilité intervariétale, et il s'adapte aux différentes conditions de milieu rencontrées : texture du sol, présence éventuelle d'un horizon induré, conditions d'humidité, niveau de fertilisation. La production d'une cocoteraie n'est pourtant pas liée de manière obligatoire à la densité de son réseau racinaire, d'où l'intérêt de s'intéresser également au fonctionnement des racine

    Maintien de la fertilité d'un sol sableux planté en cocotiers

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    Le cocotier a la réputation, justifiée, de pousser sur des sols chimiquement très pauvres, pourvu que leurs propriétés physiques soient convenables. La fertilité de ces sols ne doit cependant pas être négligée, surtout si elle est faible. Elle doit être maintenue et si possible améliorée. Il en va de la productivité de la plantation, mais aussi de celle de la replantation qui suivra. En effet, la vie économique d'une cocoteraie est très longue et cinquante à soixante ans de mauvaises pratiques culturales peuvent véritablement " stériliser " le sol dans les horizons de surface, rendant très problématique une replantation. Cette page de pratique agricole montre comment éviter une situation aussi désastreuse. (Résumé d'auteur

    Etude de la fertilisation et de la régénération des sols dans le cas d'une replantation de cocotiers

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    Cet article fait le bilan de deux expériences de replantation en hybrides PB-121 d'une vieille cocoteraie située sur sable quaternaire côtier naturellement très pauvre et dont la fertilité a encore baissé du fait d'une longue monoculture. Les carences azotées, extrêmement sévères, constituent le premier facteur limitant. On peut les corriger par un apport d'engrais tout au long de la vie de l'arbre ou par l'implantation, assez difficile à réaliser, d'une légumineuse de couverture fixatrice d'azote. La fertilisation et les techniques culturales rééquilibrent la nutrition minérale et rendent possibles les opérations de renouvellement de la cocoteraie. Les rendements obtenus les premières années de production sont toutefois inférieurs à ceux obtenus sur défrichement. Le potentiel réel ne sera connu qu'après quelques années d'observations supplémentaire

    Tolérance à la sécheresse de quelques hybrides de cocotiers

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    L'extension des programmes de développement du cocotier aux zones marginales pour cette culture est devenue une nécessité pour de nombreux pays. C'est dans le cadre de cette politique qu'une recherche d'accompagnement a été mise en place en Moyenne Côte-d'Ivoire où sévit une longue saison sèche. Plusieurs types d'hybrides ont été testés dans cette région et comparés à la variété locale, le Grand Ouest Africain. Les résultats actuels montrent que l'hybride PB 121 (Nain Jaune Malaisie x Grand Ouest Africain) est le plus tolérant à la sécheresse, tant pour la réduction du nombre de feuilles que pour la perte de noix : deux caractères particulièrement représentatifs. Le Grand Ouest Africain est, quant à lui, nettement sensible, comme d'ailleurs son hybride avec le Grand Rennell. Les autres hybrides Nain x Grand se comportent différemment selon le caractère observé. Actuellement, on conseillera donc pour des régions à pluviométrie marginale, l'hybride PB 121. (Résumé d'auteur

    Le cocotier et l'aménagement des bas-fonds en Moyenne Côte d'Ivoire

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    Dix années de recherches sur quatre points d'essais situés à l'intérieur de la Côte-d'Ivoire et sept années de vulgarisation auprès des planteurs villageois de cette même région pour la réalisation d'un programme de plantation de 2 500 ha, ont permis de mettre en évidence des zones très favorables à la culture du cocotier. Celles-ci sont situées sur les bas de pente en bordure de bas-fonds hydromorphes. Le sol est sableux et pourvu d'une nappe phréatique peu profonde qui assure aux cocotiers une alimentation hydrique complémentaire pendant la saison sèche. Cette bande favorable à la culture du cocotier a environ 50 m de large. Le cocotier peut donc avoir sa place dans une ferme à côté du riz cultivé dans le bas-fond, qui a l'avantage de stabiliser le niveau de la nappe phréatique. Le café et le cacao sont cultivés sur le plateau aux sols plus argileux. Des cultures vivrières peuvent être associées au cocotier au jeune âge, auxquelles succédera ultérieurement une couverture de Pueraria utilisable pour le pâturage des moutons. Dans de telles situations, le cocotier hybride PB-121 produit 3 t de coprah/ha; la journée de travail est valorisée à 1 800 F. CFA. Une prospection, faite en Moyenne Côte-d'Ivoire, a montré l'existence d'environ 800 000 ha de terres cultivables en cocotiers dans les conditions décrites ci-dessu

    Premiers résultats d'une expérience d'association cocotiers-cultures vivrières en Moyenne Côte d'Ivoire

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    Une expérience multilocale d'association cocotiers-cultures vivrières a été mise en place en 1982, chez quatre planteurs de Moyenne Côte d'Ivoire. Malgré quelques difficultés d'ordre pratique, cette expérience a montré qu'une association pendant deux ans peut favoriser la croissance et le développement de la cocoteraie, lorsque l'entretien des cultures vivrières est assuré convenablement et que les jeunes cocotiers sont protégés contre les agoutis. Les cultures recommandables pour l'association sont l'igname, le manioc, la patate douce, l'arachide et le maïs. Le riz, malgré les bons rendements obtenus, ne peut être retenu car il favorise les attaques d'agoutis et les maladies du jeune âge. En deuxième année, on procède au semis de la légumineuse de couverture (Pueraria javanica) en dérobé sous culture de maïs qui termine l'association. L'association, bien conduite, sera financièrement intéressante pour le planteur. Un effort particulier de vulgarisation est néanmoins nécessaire au niveau des paysans. L'expérience est poursuivie et l'arrière-effet des cultures vivrières sur la production de noix sera observ
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