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    Le polyparasitisme gastro-intestinal des ruminants domestiques dans la région des savanes de la cote d'ivoire

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    La région des savanes est le berceau de l'élevage des ruminants en Côte d'Ivoire. Elle renferme 65% du cheptel national bovin, 16% du cheptel ovin et 15% du cheptel caprin. En dépit de l'importance reconnue des strongles gastro-intestinaux, aucune étude épidémiologique n'y a été entreprise pour aboutir à des mesures de luttes judicieuses. La zone est régie par un climat soudanien dont la saison des pluies a une hauteur de précipitations moyennes de 1200 mm. La végétation est à majorité constituée de savanes arborée et arbustive. l'étude sur l'épidémiologie des strongles a été réalisée par des autopsies de 48 bovins, 144 moutons et 72 chèvres. Elle a permis l'inventaire des strongles présents dans la région ainsi que la connaissance de leurs évolutions saisonnières. La quasi-totalité des animaux sont porteurs de strongles avec une prévalence de 100ù pour les bovins et les chèvres et 95% chez les moutons. [...]TOULOUSE-ENSAT-Documentation (315552324) / SudocSudocFranceF

    Comportements sexuels et usage du préservatif chez les personnes vivant avec le VIH/sida au Gabon

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    Introduction : le taux de prévalence du VIH/Sida au Gabon en 2011 est de 5 % chez les 15 à 49 ans. L&#8217;objectif de cette étude est de décrire la sexualité et l&#8217;usage du préservatif chez les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) en comparant ceux vivant à la capitale d&#8217;avec ceux résidant dans deux provinces du Gabon&#8200;: l&#8217;Ogooué maritime (Port-Gentil) et le moyen Ogooué (Lambaréné). Méthodes : l&#8217;enquête, transversale et descriptive, a été menée sur 5 mois en cumulé entre mai 2009 et septembre 2010, chez des PVVIH âgées de plus de 18 ans, fréquentant des centres de Prise en Charge du Gabon et étant sous traitement ARV depuis au moins six mois. Nous avons procédé par la méthode d&#8217;échantillonnage aléatoire simple. Cette enquête s&#8217;est déroulée dans sept centres différents pour les PVVIH. Résultats : l&#8217;enquête a été réalisée auprès 422 PVVIH sous ARV depuis au moins six mois, dont 284 (67,3 %) à Libreville et 138 (32,7 %) dans les provinces. Le sexe ratio était de 0,71 en faveur des femmes. Dans notre échantillon, 68 % des PVVIH ont eu au moins un rapport sexuel au cours des 6 derniers mois. Par ailleurs 49,5 % des PPVVIH déclarent toujours utiliser le préservatif avec leur partenaire principal (p = 0,0096) et 52,4 % déclarent toujours l&#8217;utiliser avec d&#8217;autres partenaires (p < 0,0001). En outre, 50,1 % des PVVIH affirment avoir eu leur dernier rapport sexuel lors des 6 derniers mois avec leur partenaire principal (p < 0,0001). Conclusion : nous constatons que les patients sous ARV utilisent majoritairement le préservatif tant avec leur partenaire principal qu&#8217;avec des partenaires occasionnels. La prise en charge et l&#8217;usage du préservatif se font mieux dans la capitale

    Organisation des soins et prise en charge des personnes vivant avec le VIH/SIDA au Gabon

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    Selon l OMS en Afrique, 80% de la population a déjà eu recours au moins une fois à la médecine alternative pour des soins de santé primaire. Le Gabon, avec une prévalence du VIH estimée à 5,2% en 2011, est toujours situé parmi les pays à prévalence élevée de l infection à VIH. Globalement, 22253 PVVIH (adultes et enfants) sont actuellement suivies, dont 9976 sont sous ARV. Objectif : Décrire l impact des médecines alternatives sur la prise en charge des PVVIH au Gabon. Méthodologie : Il s agit d une enquête transversale, descriptive menée sur 4 mois en cumulé entre mai 2009 et septembre 2010 d une part chez des personnes vivant avec le VIH âgées de plus de 18 ans, fréquentant des centres de Prise en Charge du Gabon et étant sous traitement ARV depuis au moins 6 mois, ayant donné leur consentement et d autre part auprès des médecins et soignants de ces centres. Nous avons procédé par la méthode d'échantillonnage aléatoire simple. Cette enquête s est déroulée dans sept centres différents pour les PVVIH et les soignants, et huit centres distincts pour les médecins. Le recueil des données s est fait avec le logiciel Epidata . Les analyses ont été faites sur SAS . Résultats :Parmi 5752 patients sous ARV suivis dans les 7 sites concernés par l enquête en 2009/2010, 422 PVVIH (dont 58,3% de femmes) ont été enquêtés, soit 284 à Libreville (67,29%) et 138 en provinces (32,71%). Parmi ces PVVIH enquêtées 90,5% sont de confession chrétienne dont 21,5% issues des églises chrétiennes, 5,7% des PVVIH étant musulmans. Les 4% restants correspondent aux patients déclarant qu ils n ont pas de religion. Il y a 12,5% de médecins qui mettent leurs patients en relation avec des groupes spirituels ou religieux. Pour 29,2% (IC 95%, 24,6%-33,8%) des PVVIH enquêtés, les ARV font disparaitre le virus du sang (sans mesure de la charge virale) p<0,001. Les entretiens réalisés nous montrent que pour certains PVVIH les guérisseurs par leurs pratiques favorisent leur inobservance aux ARV. En outre certains PVVIH prônent une collaboration entre ces derniers et les médecins conventionnels. Conclusion : Notre étude a montré que la moitié des PVVIH ne connaissaient pas les procédures de mise sous traitement ARV, les croyances sur l infection par le VIH/SIDA étaient très différentes selon qu on vit en province ou à la capitale. Enfin le contexte culturel lié aux médecines alternatives, était très présent dans les itinéraires thérapeutiques des PVVIH au Gabon. Certes les PVVIH doivent facilement accéder aux ARV, mais leur association avec des médecines alternatives organisées et contrôlées peut être bénéfique.Background: According to WHO, in Africa, 80% of the population has used at least once alternative medicine for primary health care. Gabon, with an estimated HIV prevalence of 5.2% in 2011, is still among the countries of high prevalence of HIV infection. As a whole, 22,253 PLWHA (adults and children) are being treated, including 9976 on HAART. The procedures for HAART initiation are very long, stock-outs of ARVs recurring, stigma in care centers for PLWHA, all factors that favored the development of alternative medicine for HIV care in Gabon. Objective: To analyze the impact of alternative medicine in the treatment of PLWHA in Gabon. Methodology: A cross sectional survey was conducted during four months between May 2009 and September 2010 with people living with HIV over 18, being on ARVs for at least 6 months, who had given their consent, and with physicians and other caregivers of these centers. We used a simple random sample method. This survey was conducted in seven centers for PLWHA and caregivers, and eight centers for physicians. Data collection was done with the software Epidata. The analyzes were performed using SAS .Results: Among the 5752 patients on HAART followed in 7 sites included in the survey in 2009/2010, 422 PLWHA (including 58.3% women) were in Libreville (284: 67.29%) and in provinces 138 (32.71%). Among them 90.5% were christians (including 21.5 from revivalist churches), 5.68% were muslims, 4% stated that they had no religion. 12.5% of doctors refer their patients to religious or spiritual groups. Conclusion: Our study showed that half of PLWHA did not know the procedures of ARV treatment, beliefs about HIV / AIDS were very different depending on whether you live in the province or the capital. Finally, the cultural context related to alternative medicine, was very present in the therapeutic routes of PLHIV in Gabon. Although PHAs have easy access to ARVs, but their association with organized and controlled alternative medicine can be beneficialPARIS-BIUSJ-Physique recherche (751052113) / SudocSudocFranceF

    Ebola Virus Antibody Prevalence in Dogs and Human Risk

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    During the 2001–2002 outbreak in Gabon, we observed that several dogs were highly exposed to Ebola virus by eating infected dead animals. To examine whether these animals became infected with Ebola virus, we sampled 439 dogs and screened them by Ebola virus–specific immunoglobulin (Ig) G assay, antigen detection, and viral polymerase chain reaction amplification. Seven (8.9%) of 79 samples from the 2 main towns, 15 (15.2%) of 14 the 99 samples from Mekambo, and 40 (25.2%) of 159 samples from villages in the Ebola virus–epidemic area had detectable Ebola virus–IgG, compared to only 2 (2%) of 102 samples from France. Among dogs from villages with both infected animal carcasses and human cases, seroprevalence was 31.8%. A significant positive direct association existed between seroprevalence and the distances to the Ebola virus–epidemic area. This study suggests that dogs can be infected by Ebola virus and that the putative infection is asymptomatic

    Detection of Ebola virus in oral fluid specimens during outbreaks of Ebola virus hemorrhagic fever in the republic of Congo

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    Background. Patients who have refused to provide blood samples has meant that there have been significant delays in confirming outbreaks of Ebola virus hemorrhagic fever (EVHF). During the 2 EVHF outbreaks in the Republic of Congo in 2003, we assessed the use of oral fluid specimens versus serum samples for laboratory confirmation of cases of EVHF. Methods. Serum and oral fluid specimens were obtained from 24 patients with suspected Ebola and 10 healthy control subjects. Specimens were analyzed for immunoglobulin G antibodies by enzyme-linked immunosorbent assay (ELISA) and for Ebola virus by antigen detection ELISA and reverse-transcriptase polymerase chain reaction (RT-PCR). Oral fluid specimens were collected with a commercially available collection device. Results. We failed to detect antibodies against Ebola in the oral fluid specimens obtained from patients whose serum samples were seropositive. All patients with positive serum RT-PCR results also had positive results for their oral fluid specimens. Conclusions. This study demonstrates the usefulness of oral fluid samples for the investigation of Ebola outbreaks, but further development in antibodies and antigen detection in oral fluid specimens is needed before these samples are used for filovirus surveillance activities in Africa
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