55 research outputs found

    Kristian Feigelson, dir., Théorème, 8, « Caméra politique. Cinéma et stalinisme »

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    27 auteurs et 28 contributions, dont les propos liminaires de Kristian Feigelson, offrent un outil de travail avec une brève bibliographie indicative, une présentation de chaque contributeur et des résumés très succincts en anglais et français. Il ne s’agit certes pas d’une synthèse. Complétant notamment les travaux de Natacha Laurent (voir Questions de communication, 6, 2004, pp. 378-380 : note de lecture de Kristian Feigelson sur l’ouvrage dirigé par Natacha Laurent, Le cinéma « stalinien »..

    Novembre-décembre 1918 : le début de la guerre à la Hongrie

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    À peine indépendante, la jeune Hongrie a été le seul pays vaincu à être reconnu un temps avant de ne plus l’être pendant des mois. En outre, elle a été assez rapidement occupée partiellement par trois de ses voisins. Dans ces conditions la question de la sortie de la guerre se pose sous une forme paradoxale, puisqu’en novembre 1918 la Hongrie se trouve ennemie de pays qui avant n’étaient pas en guerre. Dans un premier temps le francophile Károlyi, chef du gouvernement, attend l’occupation française, et les militaires français sur place croient pouvoir instaurer un ordre régional résultant de la convention signée avec le gouvernement hongrois le 13 novembre. Cette perspective bénéficie de l’espoir d’un règlement de paix fondée sur l’autodétermination wilsonienne. Mais la convention militaire s’avère être contraire aux choix des diplomates et politiques français. Le but de l’article est de poser les bases d’un examen de cette situation au-delà des revendications nationales.November-December 1918: the Beginning of the War in Hungary. Newly independent, the young Hungary was the only country among the defeated to be recognized during these months. Yet, it was rather quickly occupied partially by three of its neighbours. Under these conditions the question of its exit from the war is posed in a paradoxical form, since in November 1918 Hungary found itself enemy to countries that previously had not been in the war. Initially, the Francophile Károlyi, head of the government, anticipated occupation by the French, and French military representatives on the spot believed they could establish a regional order resulting from the convention signed by the Hungarian government on November 13. This prospect came from the hope of establishing peace based on Wilsonian self-determination. But the military convention proved to be contrary to the preferences of French diplomats and politicians. The aim of the article is to seek an examination of this situation outside the national claims

    L'Europe médiane au XXe siècle : fractures, décompositions, recompositions, surcompositions

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    Le paradoxe hongrois : défense de la chrétienté versus refus du message papal universaliste

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    En Hongrie, les recensements offrent une première base pour percevoir les affiliations confessionnelles : en 1930 deux tiers de la population est catholique dont 2,3 % sont gréco-catholiques. La part des Réformés (20%), des Luthériens (6 %) et des Juifs (5 %) diminue en raison des nouvelles frontières telles que fixées par le traité de Trianon (1920). Par comparaison, en 1949 l’Holocauste des Juifs hongrois ramène la population juive à 1,5 %. Toutefois, la Hongrie est un des rares pays où une minorité juive significative a perduré. Sur la même période, le poids démographique des autres groupes religieux a évolué moins drastiquement : 70,5 % de Catholiques, 21,9 % de Réformés, 5,2 % de Luthériens et seulement 0,2 % de non affiliés religieusement (absence de leur confession parmi les choix offerts ou refus d’affiliation)..

    Budapest 1956 au prisme des nouvelles sources

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    International audienceBeyond the festivities of remembrance, Matériaux pour l’histoire de notre temps tries here to contribute to the reflection about the relation between the sources and history in the light of new documents. Fifty years after what has been called the uprising, the insurrection, the Hungarian revolution, and counter-revolution, all expressions that are reminders of the conflicting memories and accounts derived from the events, is it possible to avoid the political confrontation as such on one side and the peaceful neutralization through an orderly explanatory schema earmarked as “(post-)modern science on the other”? This can be done at the price of some choices.Au-delà des plaisirs commémoratifs, Matériaux pour l’histoire de notre temps tente ici de contribuer à la réflexion sur le rapport entre sources et histoire à la lumière des nouveaux documents. Cinquante ans après le soulèvement, l’insurrection, la révolution et la contre-révolution hongroise, tous termes qui rappellent les conflits mémoriels et historiques dérivés de l’événement, est-il possible d’éviter la confrontation politique en tant que telle d’un côté, et l’apaisante neutralisation par un schéma explicatif normalisé estampillé « science (post-moderne de l’autre » ? Il semble que oui, au prix de quelques choix

    La formation des Ă©lites hongroises et l'Occident, 1980-2000

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    La maison de la terreur ― musée ou Terror Háza Múzeum

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    Orban et le souverainisme obsidional

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