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    Investigations on the structural properties of Carlson's <_1-relation

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    Evaluación del estado nutricional durante el embarazo en gestantes de la población de Tanguarín San Antonio, Ibarra 2016

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    Evaluar el estado nutricional en gestantes de la población de Tanguarín.El presente trabajo investigativo tuvo como objetivo evaluar el estado nutricional en gestantes de la población de Tanguarín San Antonio, Ibarra 2016. El diseño metodológico se basó de un enfoque cuantitativo, no experimental de corte transversal, con la participación de 15 mujeres en periodo de gestación de la comunidad de Tanguarín, como técnicas de investigación se utilizaron la encuesta y la observación complementándose con exámenes de laboratorio, como instrumento se utilizó el formulario perinatal del Ministerio de Salud Pública, los datos fueron tabulados a través de los programas Microsoft Excel y SPSS. Como los principales resultados de la investigación se encontró que las mujeres gestantes de la comunidad de Tanguarín tuvieron el 20% de ganancia de peso adecuado, mientras que el 40% tuvo excesiva ganancia de peso y el 40% insuficiente ganancia de peso, de acuerdo al peso de las gestantes el 13.3% tuvieron bajo peso, el 53.3% tuvo normopeso, el 6.7% tuvo obesidad y el 26.7% tuvo sobrepeso, entre los valores de laboratorio se encontró que el 40% presentó anormalidad en los triglicéridos, el 80% en el colesterol y el 7% en la hemoglobina, mientras en la glucosa los valores permanecieron entre los parámetros normales. Se concluyó que la mayoría de las mujeres gestantes de la comunidad de Tanguarín tienen un peso adecuado, sin embrago existe un alto porcentaje de inadecuada ganancia de peso para la edad gestacional, además hay un porcentaje significativo anormal de colesterol y triglicéridos, por lo que es necesario el apoyo y atención del personal de salud

    1676: Leibniz, lecteur de la seconde partie du Parménide

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    Durant le printemps 1676, Leibniz lit et résume le Phédon, le Théétète et le Parménide. De ces résumés, seuls les deux premiers nous sont parvenus (A VI.3 283-311 = FC 44-145). Du dernier, l’on ne connaît guère que la forme : annotant la lettre 73 de Spinoza, Leibniz dit avoir condensé le Parménide sous la forme d’une démonstration (A VI.3 370.26-27). Si l’influence du Phédon sur la pensée leibnizienne est évidente et bien documentée, notamment parce que Leibniz le cite dans le Discours de métaphysique (A VI.4 1562.3-1563.13), celle du Théétète l’est un peu moins (à cet égard, beaucoup reste à faire, en particulier concernant la lecture leibnizienne de la dernière partie du dialogue qui a pu nourrir ses réflexions en logique, voir : A VI.3 575.7-8, 27 qui réfère à 201e-202a). Quant à l’estime de l’influence du Parménide, elle demeure une terra incognita des études leibniziennes, sans doute parce qu’elle se fait beaucoup plus discrète. Leibniz ne fait en effet explicitement référence au Parménide qu’à deux reprises, en octobre et en novembre 1676, dans des opuscules au sein desquels il associe l’unicité spinoziste de la substance et la ‘démonstration’ de la seconde partie du Parménide (A VI.3 370.26-27, 573.14-18). En outre, si le Phédon et le Théétète sont encore mentionnés par Leibniz après 1676 (respectivement : A VI.4 435.16, 1386.18, 1387.3, 1403.6, 1562.3-1563.13, 1571.5, 1948.7, 2039.3, 2475.13, VI.6 165.21-23 etc. et A VI.4 1945.12-14), ce ne sera plus jamais le cas du Parménide. Comme on le verra, ce fait s’explique aisément : d’une part, la brève attirance pour le spinozisme ne survécut pas longtemps à sa rencontre avec le maître (novembre 1676) ; d’autre part le tournant dynamique de la physique leibnizienne – et son corollaire, la phénoménalisation du continu – rendit caducs les problèmes cinématiques du Parménide. L’intérêt du dialogue platonicien s’évanouit donc presque aussitôt pour la réflexion leibnizienne. Malgré le peu de références explicites au Parménide, il apparaît toutefois que le Pacidius Philalethi, rédigé en octobre-novembre 1676, garde trace de la récente lecture attentive des trois dialogues platoniciens (au-delà de la forme dialogique déjà très caractéristique, Pacidius se réclame expressément de la maïeutique du Théétète : A VI.3 534.2-4), et en particulier des passages cinématiques de la première (138b-139b = A VI.3 535-538) et de la seconde hypothèse (156c-157b = A VI.3 545) du Parménide. Cela n’a rien d’étonnant. En tant que somme et critique des réflexions sur le mouvement menées entre 1669 et 1676, le Pacidius Philalethi marque le dernier texte proprement cinématique de Leibniz avant le tournant que représente le De Concursu corporum (1678), lequel constitue les premiers linéaments de la nouvelle science dynamique. Il est donc peu surprenant que, dans le Pacidius, Leibniz fasse allusion aux réflexions platoniciennes sur le changement : celles-ci s’inscrivent temporairement dans le champ problématique de la pensée leibnizienne. En dépit de leur rareté, les quelques références et allusions à la seconde partie du Parménide sont suffisamment claires pour que l’on puisse reconstruire la lecture leibnizienne du dialogue. Un fait textuel apparaît d’emblée : jamais Leibniz ne cite ou ne fait allusion à la première partie du Parménide, en cela ce qui l’intéresse dans ce dialogue diffère des préoccupations de ses contemporains (par exemple, Simon Foucher – lui-même lecteur assidu de Platon – se concentre exclusivement sur la première partie du Parménide, partie dans laquelle il dit voir, en 1689, « le fond de toute la dispute que j’ay eue avec le Pere Malbranche sur les idées » A II.2 292.5-6, voir aussi A II.2 475.7-9). Il apparaît immédiatement que la lecture leibnizienne du dialogue ne s’inscrit dans aucun ‘tiroir’ ni de la classification rapportée par Proclus (Theol. Plat., I 7-12 et In Parm. I 630.37-643.5, VI 1051.34-1064.12) ni de la classification des interprétations récentes (Ryle, Cornford, Marguerite, Allen, Pemberton, Meinwald, Gill, Rickless, Priest, etc.), et qu’elle ne s’appuie pas non plus sur la lecture parallèle du commentaire de Marsile Ficin (dont il connait les traductions et dont il juge le ‘pseudo’-platonisme avec sévérité : A II.2 86.28-87.6, VI.4 479.6-25). Sa manière de lire le Parménide consiste tout autant dans l’isolement de certains arguments, et – pour le cas des passages cinématiques – dans leur liaison, que dans l’appréhension de la seconde partie du Parménide comme étant une démonstration unitaire et cohérente. 1. Leibniz ne pouvait en effet qu’être sensible à la dialectique combinatoire de la seconde partie du Parménide, par conséquent il n’est pas étonnant que, loin d’un jeu ou d’un exercice dialectique stérile, il y décèle une authentique démonstration, examinant successivement et en ordre toutes les alternatives afin d’en déduire l’unicité substantielle absolue. Ne restait plus dès lors qu’à souligner la parenté entre les anciens Eléates et le ‘nouveau Parménide’ Spinoza (A VI.4 2461.6-8 et GP VII 536, identification parfois corrigée au profit d’une lecture ‘idéaliste’ de l’éléatisme : GP IV 523). Interpréter la seconde partie du Parménide comme une démonstration unique est loin d’aller de soi. La position de Leibniz se rapproche ici de ceux qui, à l’instar de Gill, voient dans la seconde partie du Parménide une reductio ad absurdum démontrant que, d’une certaine manière, l’un peut être à la fois un et multiple. La différence cruciale étant que Leibniz inscrit sa lecture du Parménide dans un schème imprégné de spinozisme, i.e. celui où l’unicité substantielle côtoie la multiplicité des modes. 2. Le lien que Leibniz effectue entre les deux passages cinématiques du Parménide, qui plus est, témoigne de son acuité caractéristique. A chaque fois, il refuse la conclusion platonicienne et accentue la portée aporétique de l’argument. Il les déclare en outre « absurdes » pour des raisons similaires. Je voudrai montrer que cette similarité confine à l’identité, et correspond à une distance prise par Leibniz à l’égard des éléments scotistes et pseudo-cavaliériens de la Theoria Motus Abstracti (1671). Je suggérai par ailleurs que la lecture leibnizienne s’avère être l’interprétation ‘correcte’ des passages cinématiques du Parménide, dans la mesure où ils constituent bien une réflexion poussée sur la notion de limite, laquelle – comme l’avait vu Natorp – joue un rôle crucial dans l’argumentaire du Parménide dans la mesure où celui-ci affronte le labyrinthe de la compositione continui. A cet égard, il est remarquable que Leibniz lise ces deux arguments platoniciens comme conduisant à l’acceptation de dialetheias, en cela il anticipe certains aspects de la lecture contemporaine du Parménide telle qu’elle est menée par Graham Priest. En somme, d’une certaine manière, la lecture de la seconde partie du Parménide a été pour Leibniz un moyen de déceler l’impasse que représentait la physique continuiste du conatus au profit à la fois d’une cinématique (provisoire) du contigu et d’une approche des infinitésimaux comme ‘fictions utiles’ (les références au Parménide sont circonscrites à la première partie du Pacidus Philalethi, c’est-à-dire celle dévolue à l’examen de la continuité du mouvement, tandis que la seconde opère sous le paradigme de sa contiguité). La tolérance envers les dialetheias qui affleurait en certains endroits de la TMA est en effet définitivement révolue en 1676, tout comme la tentation, voire la bienveillance, à l’égard du monisme spinozien. L’intérêt de la lecture leibnizienne du Parménide, au-delà des études leibniziennes, est double : d’une part, si on la compare à celle de Foucher, elle nous renseigne sur la fonction du Parménide dans les débats métaphysiques du XVIIème siècle ; d’autre part, parce qu’elle anticipe certains aspects des lectures récentes les plus stimulantes, elle témoigne de l’actualité du dialogue platonicien pour le travail de la pensée

    III. Dialektik als ‘ars inveniendi’

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    Pueblo fantasma

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