34 research outputs found

    Dénutrition du sujet âgé.Une assiette à alourdir

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    International audienc

    Sun management of obesity by general practitioners: self-reported difficulties and suggestions for improvement

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    International audienceRationale:15% of French people15 yrs were obese in 2012.However, a few data on the self-perception ofmanagement of obesity by general practitioners (GP) are available. Aims of the study were to note the reported GP difficulties faced to obesity, their suggestions for improvement and their opinion on care.Methods:200 GP of a French district fulfilled an anonymous questionnaire reporting epidemiological GP data, their perceived difficulties about obesity, suggestions for improvement and global opinion. Statistical tests were Chi2 Fisher’s Student’s t tests, variance analysis.Results:34.0% of GP responded. 6.5% of their patients were obese. GP related to patients the five most cited difficulties:poor respect of physical activity advice (94.1%) of diet advice (91.1%) of psychological advice (72.0%) lack of motivation (92.6%) presence of eating disorders (83.8%). 58.8% of GP felt themselves ineffective, 52.9% thought they had too little time and 50.0% too little training. 28.0% were not interestedby obesity. Lack of training was positively related to feeling of inefficacy (p = 0.007) lack of time (p = 0.03) disinterest for obesity (p = 0.0002). The main suggestions for improvement were to achieve a family feeding and school education (83.8% and 80.9%), better manage childhood obesity (83.8%), improvepsychological care (76.5%), warn on effects of time spent in front of screens (70.5%) repay consultations by dieticians (69.1%). 82.4% of GP were unsatisfied by their global care of obesity.Conclusion:Coaching obese patients is important in GP activity but leaves them unsatisfied. They mainly relate obstacles to patients, but the lack of medical training is badly felt, with an impact on their self-perceived effectiveness.They think that family and school preventive actions are priorities. Improving the development of several sectors of care and networks could be explored

    Nutrition et maladies neuromusculaires.

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    International audienc

    P160 Évolution de l’état nutritionnel des patients suivi par une unité transversale de nutrition en 2012

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    International audienceIntroduction et but de l’étude. – Plusieurs études ont démontré le bénéfice apporté par les unités transversales de nutrition (UTN) en termes d’amélioration des pratiques ou d’économies de santé. On dispose de peu de données sur l’activité de consultation (CS) des UTN. Le CHU de Limoges dispose d’une UTN depuis 1995, dont l’activité est en hausse constante. Une base de données a été constituée concernant les patients reçus en consultations externes (CE) par l’UTN de Limoges en 2012. Les objectifs de l’étude étaient de préciser le niveau et le type d’activité de l’UTN, et d’évaluer l’évolution du statut nutritionnel des patients suivis durant cette année.Matériel et méthodes. – Les relevés prospectifs systématiques de données concernant les patients reçus en CE notaient la date de CS, l’âge, le sexe, le poids, la taille, les pathologies intercurrentes, le délai entre 2 CS, la présence d’une nutrition artificielle (NA). Le statut nutritionnel des patients était déterminé par calcul de l’IMC et/ou analyse de la variation pondérale. Les comparaisons statistiques étaient effectuées grâce aux tests de normalité de Shapiro- Wilk, tets t de Student, de Wilcoxon, de Mann Whitney, de Mac Nemar. Le seuil de significativité était fixé à p < 0,05.Résultats. – 1 157 CE ont été réalisées (669 patients différents, dont 110 reçus pour la première fois). La dénutrition concernait 28,1 % des CS, l’excès pondéral 48,2 %. La NA concernait 15,9 % des CS, dont 90,3 % de nutritions entérales (NE) et 9,7 % de nutritions parentérales. Les patients reçus pour la première fois étaient de poids plus élevé que les autres (respectivement 82,5 +/− 28,1 vs 70,9 +/− 25,4 kg, p < 0,0001), étaient plus corpulents (IMC respectifs à 31,4 +/− 10,0 vs 26,3 +/− 9,1, p < 0,0001) et plus souvent obèses (40 % vs 30 %, p < 0,001). Il y avait beaucoup plus de pathologies chirurgicales digestives (p < 0,0001) et de NE (p < 0,0001) parmi les CS de suivi. Les patients sous NA étaient plus âgés que les autres (respectivement 56,8 +/− 17,7 et 52,5 +/− 17,3 ans, p = 0,0004), étaient plus souvent des hommes (57,0 %, vs 63,0 % p < 0,0001), étaient moins corpulents (IMC à 21,2 +/− 4,3 vs 27,9 +/− 9,6, p < 0,0001), et moins souvent en excès pondéral (p < 0,001). 314 patients différents ont bénéficié d’au moins 2 CS en 2012. L’évolution des paramètres IMC et poids (ΔP) était significative entre la première et la dernière CS, négative pour les obèses (IMC : − 1,2 +/− 2,8, p < 0,0001 ; ΔP : −3,1 +/− 7,4 kg, p < 0,0001) et positive pour les dénutris (IMC : +0,7 +/− 1,6, p < 0,0001 ; ΔP : +1,8 +/− 3,9 kg, p < 0,0001).Conclusion. – L’UTN de Limoges assure un nombre important de CE concernant surtout les excès pondéraux. Moins d’un tiers des CE concerne la dénutrition. Les patients reçus pour la première fois sont plus corpulents et moins souvent vus pour les suites d’une chirurgie digestive ou pour une NA. Ceux bénéficiant d’une NA sont plus âgés, plus souvent des hommes, moins corpulents, et moins souvent en excès pondéral. Les patients dénutris et obèses reçus plusieurs fois en 2012 ont eu une évolution favorable, ce qui démontre l’intérêt d’un suivi rapproché

    Les troubles de déglutition

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