64 research outputs found

    Pour une histoire des élections médiévales et modernes

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    Les Cahiers de Recherches médiévales et humanistes accueillent dans leurs pages les communications présentées lors de la table ronde « Élections et pouvoirs politiques II » réunie à l’Université Paris-Est Créteil (UPEC), appelée alors l’université Paris 12 – Val-de-Marne, au printemps 2009. Le but de ce recueil est d’offrir, de manière prismatique, une approche de l’élection aux époques antérieures à ce qu’il est convenu d’appeler « l’âge démocratique » et de prolonger les travaux d’un premie..

    Raphaëlle Schott, Les Conseillers au service de la reine Marguerite. Étude des Riksråd nordiques (1375-1397)

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    L’ouvrage de Raphaëlle Schott est issu de sa thèse, soutenue en 2009, qui fut dirigée par Claude Gauvard et Thomas Lindkvist. Il s’agit donc de la version remaniée de ce travail qui se fonde sur une approche prosopographique des Conseils scandinaves au moment de la mise en place et des premières années de l’Union de Kalmar, nom donné à la réunion des trois royaumes de Suède, de Danemark et de Norvège sous un roi commun. L’Union, voulue par un grand nombre de clercs et d’aristocrates scandinav..

    Pour une histoire des élections médiévales et modernes

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    Les Cahiers de Recherches médiévales et humanistes accueillent dans leurs pages les communications présentées lors de la table ronde « Élections et pouvoirs politiques II » réunie à l’Université Paris-Est Créteil (UPEC), appelée alors l’université Paris 12 – Val-de-Marne, au printemps 2009. Le but de ce recueil est d’offrir, de manière prismatique, une approche de l’élection aux époques antérieures à ce qu’il est convenu d’appeler « l’âge démocratique » et de prolonger les travaux d’un premie..

    « her star thz scriwat huru thz hauer warit ». On trouve écrit ici comment cela s’est passé

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    L’Erikskrönika, qui date vraisemblablement des années 1330, est sans nul doute l’œuvre suédoise la plus célèbre de l’époque médiévale. Cette chronique rimée présente un siècle d’histoire du royaume de Suède entre le début du XIIIe siècle et l’élection du roi Magnus Eriksson (1319). Elle a été étudiée à la fois par des historiens, qui se sont attachés à évaluer sa fiabilité, à rechercher ses sources, à identifier son ou ses auteurs et à déterminer sa date de rédaction, et par les littéraires, qui se sont plutôt intéressés au genre et à l’écriture du texte. Or pour comprendre tous les aspects de la chronique, il convient de prêter attention à la forme du texte, aux lieux communs utilisés et à la manière dont se mêlent, à la trame des règnes, des inventions et des fictions. C’est par cette appréhension globale du texte, qui invite, par exemple, à prendre en compte le sens des épisodes dont l’ordre chronologique a été bouleversé ou qui sont purement fantaisistes, que l’Erikskrönika peut trouver sa place dans l’histoire de la société et des représentations politiques

    Les venins imaginaires

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    Poisons do not seem to be the most frequently used weapons in medieval Sweden. Nevertheless, more often than other types of sources, chronicles and laws offer some interesting examples of poisonings. As in other parts of Europe, the use of poison is linked with magic and is considered one of the worst possible crimes. In the books of Swedish law, death is the typical punishment for this crime whose victims can be men, women or even animals. In provincial laws, women are the only murderers who resort to poison, but in urban and national laws, men and women are both considered as possible poisoners. In literature, three women are blamed for killing people with poisonous potions. The first example is found in a text inspired by Saint Bridget: Blanche of Namur, king Magnus Eriksson’s wife, was accused of having murdered her own son Erik. The two others were Danish queens. Towards the end of the Middle Ages, foreign queens became largely considered as being real poison inside the body politic.Les poisons ne furent pas les armes les plus utilisées dans la Suède médiévale. Cependant, les chroniques et les lois, plus que tout autre type de sources, proposent quelques cas intéressants relatifs à l’usage des poisons. Comme dans d’autres régions d’Europe, cet usage est lié à la magie et considéré comme un des pires crimes possibles. Dans les lois suédoises, la mort est le châtiment courant pour ces crimes dont les victimes peuvent être des hommes, des femmes, mais aussi des animaux. Dans les lois provinciales, les femmes seules sont décrites en empoisonneuses, mais dans les lois urbaines et nationales, hommes et femmes peuvent être considérés comme des manipulateurs de poisons. Dans l’historiographie, trois femmes sont accusées d’être des empoisonneuses. Le premier exemple peut être trouvé dans un texte inspiré par sainte Brigitte : Blanche de Namur, la femme du roi Magnus Eriksson, fut accusée d’avoir empoisonné son propre fils Erik. Les deux autres furent des reines danoises. À la fin du Moyen Âge, les reines étrangères apparaissaient en effet comme de véritables poisons au sein ducorps politique

    Itinéraires du savoir de l’Italie

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    Les vingt-deux études rassemblées ici en l’honneur d’Élisabeth Mornet suivent les chemins du savoir à l’époque médiévale à travers les institutions, les hommes, les textes et les images. La Scandinavie médiévale est choisie comme champ d’étude spécifique et permet une ouverture sur la culture européenne, celle des laïcs par la littérature, l’écriture de l’histoire, la constitution de bibliothèques et celle des clercs dans le cadre spécifique des universités. La profonde unité culturelle de l’Occident à la fin du Moyen Âge ressort avec évidence des différents thèmes abordés : de l’arrivée des premiers cisterciens en Scandinavie au départ des clercs scandinaves vers les universités créées dans l’Empire ; des différentes constructions hagiographiques, en Islande, en Suède ou en Italie, à la fondation des collèges à Paris ou à Oxford ; de la constitution de nouveaux modèles historiographiques, en France ou en Finlande, aux habitudes culturelles des élites norvégiennes ou françaises. Enfin, ce livre, qui réunit des auteurs venus du Danemark, de Finlande, de France, d’Islande, de Norvège et de Suède, a pour ambition de montrer la richesse des divers modes d’interrogation des sources et de continuer, à la suite des rencontres organisées par Élisabeth Mornet, le fructueux dialogue entre les chercheurs français et nordiques

    Article « Sainte Brigitte et la guerre de Cent Ans »

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    Dictionnaire de la guerre de Cent Ans, sous la direction de Jean-Marie Moeglin (à paraître

    Gothicisme

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    International audienc

    Le deuil du pouvoir. Essais sur l’abdication

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    International audienc
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