10 research outputs found

    Énergie Ă©lectrique : la Martinique Ă  bout de souffle ?

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    Introduction Continuant sa course effrĂ©nĂ©e vers un meilleur dĂ©veloppement, la Martinique semble aujourd’hui confrontĂ©e Ă  une vĂ©ritable hypothĂšque Ă©nergĂ©tique (PĂ©lis, 2004). Les besoins et la demande en Ă©nergie, mais Ă©galement le nombre croissant annuel de nouveaux clients (environ 4 000), acculent le principal producteur de l’üle, EDF centre de Martinique, Ă  des exercices d’équilibriste dans la fourniture d’électricitĂ©. Disposant d’un parc productif vieillissant dont le dĂ©classement progressi..

    Should the Coastal/Inland Model of the Caribbean Island Environment be Re-examined? Case in Point: The Isle of Saba (Netherlands Antilles)

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    Introduction In order to understand the Caribbean environment, the issue should be raised as to its borderlines and in general, its very definition. For the past few years, two different concepts have opposed each other: On the one hand, those who refer to ‘The Caribbean Region’ and on the other, those who speak of ‘The Caribbean Islands’. It is evident that such an opposition remains the keystone to any attempts at explaining and comprehending the dynamics of the basin. Hence, considering su..

    GUADELOUPE ET MARTINIQUE : DEUX TERRITOIRES SOUS FORTES CONTRAINTES Analyses comparatives pour une meilleure prise de décision

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    Poster des 3e Assises Nationales des Risques Naturels, 22-23 mars 2016, Marseille.International audienceLes DROM antillais ont subi, depuis une trentaine d’annĂ©es, de multiples crises liĂ©es Ă  l’expression d’alĂ©as naturels divers : cyclones tropicaux, inondations torrentielles et glissements de terrain 
, les perturbations environnementales et sanitaires des sargasses. La crise sismique des Saintes (2004) dont les rĂ©pliques sont encore en cours en 2015-16, le sĂ©isme majeur dit « de la Martinique » de novembre 2007, furent des Ă©vĂ©nements marquants qui permirent de remettre en mĂ©moire la principale menace Ă  laquelle ces Ăźles sont exposĂ©es : l’alĂ©a sismique.Ces crises se sont produites dans un contexte socio-Ă©conomique en mutation trĂšs rapide. En quelques dĂ©cennies, les sociĂ©tĂ©s antillaises sont passĂ©es de rurales Ă  urbaines et pĂ©riurbaines. La croissance dĂ©mographique rĂ©cente a aggravĂ© les pressions sur les terres exposĂ©es aux dangers naturels, notamment sur les littoraux.La prise de dĂ©cision des acteurs, souvent ancrĂ©e dans le prĂ©sent et les contraintes immĂ©diates dont une part est conjoncturelle, rĂ©sulte de choix dont la pertinence pourrait ĂȘtre amĂ©liorĂ©e avec des outils d’analyse complĂ©mentaires.Une connaissance de la construction des territoires exposĂ©s aux risques naturels majeurs et Ă  subir des crises de gravitĂ© variable certes, mais Ă  forte pĂ©riodicitĂ©, Ă©clairerait leurs faiblesses constitutives et les solutions possibles pour les rĂ©duire. Les territoires se sont Ă©difiĂ©s avec le temps, les mutations socio-Ă©conomiques, institutionnelles et spatiales ainsi que les rĂ©ponses conjoncturelles et structurelles aux crises subies. Deux territoires Ă  fortes contraintes, exposĂ©s Ă  des alĂ©as naturels similaires, confrontĂ©s Ă  des enjeux vulnĂ©rables comparables, peuvent avoir toutefois des particularitĂ©s dont la mise en Ă©vidence et la comparaison aideraient Ă  une comprĂ©hension globale et circonstanciĂ©e. C’est le cas de la Guadeloupe et de la Martinique.Un programme de recherche (Analyse comparative des GEStions de crise dans les Antilles et perspectives de REponses aux risques NATurels majeurs sur les espaces sensibles, AGESARENAT ) en cours a pour finalitĂ© d’effectuer une analyse diachronique et synchronique de la territorialisation de ces deux espaces insulaires antillais en rapport aux crises subies et aux rĂ©ponses tant conjoncturelles que structurelles apportĂ©es. Les problĂ©matiques posĂ©es et la recherche engagĂ©e amĂšnent Ă  reconsidĂ©rer les critĂšres de dĂ©finition de la notion de crise, de l’apprĂ©ciation de la gravitĂ© relative des Ă©vĂšnements, Ă  en dĂ©celer les Ă©volutions, et ce, d’autant que l’analyse remonte trĂšs loin dans le temps, jusqu’aux fondements mĂȘme de la colonisation.Parmi les procĂ©dures de recherche analyser/comparer les actions rĂ©centes des collectivitĂ©s des deux territoires (inscrites dans un cadre global ou de rĂ©ponses aux crises) met en exergue des stratĂ©gies spĂ©cifiques et des territorialisations diffĂ©renciĂ©es. Elles rĂ©vĂšlent de fortes identitĂ©s socio-spatiales dont les Ă©volutions institutionnelles rĂ©centes diffĂ©renciĂ©es (maintien des deux collectivitĂ©s territoriales en Guadeloupe, collectivitĂ© unique Ă  la Martinique) sont l’une des expressions. Comprendre, savoir, comparer
 pour agir avec le recul nĂ©cessaire Ă  la prise de dĂ©cision pertinente est l’une des finalitĂ©s des rĂ©flexions en cours

    GUADELOUPE ET MARTINIQUE : DEUX TERRITOIRES SOUS FORTES CONTRAINTES Analyses comparatives pour une meilleure prise de décision

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    Poster des 3e Assises Nationales des Risques Naturels, 22-23 mars 2016, Marseille.International audienceLes DROM antillais ont subi, depuis une trentaine d’annĂ©es, de multiples crises liĂ©es Ă  l’expression d’alĂ©as naturels divers : cyclones tropicaux, inondations torrentielles et glissements de terrain 
, les perturbations environnementales et sanitaires des sargasses. La crise sismique des Saintes (2004) dont les rĂ©pliques sont encore en cours en 2015-16, le sĂ©isme majeur dit « de la Martinique » de novembre 2007, furent des Ă©vĂ©nements marquants qui permirent de remettre en mĂ©moire la principale menace Ă  laquelle ces Ăźles sont exposĂ©es : l’alĂ©a sismique.Ces crises se sont produites dans un contexte socio-Ă©conomique en mutation trĂšs rapide. En quelques dĂ©cennies, les sociĂ©tĂ©s antillaises sont passĂ©es de rurales Ă  urbaines et pĂ©riurbaines. La croissance dĂ©mographique rĂ©cente a aggravĂ© les pressions sur les terres exposĂ©es aux dangers naturels, notamment sur les littoraux.La prise de dĂ©cision des acteurs, souvent ancrĂ©e dans le prĂ©sent et les contraintes immĂ©diates dont une part est conjoncturelle, rĂ©sulte de choix dont la pertinence pourrait ĂȘtre amĂ©liorĂ©e avec des outils d’analyse complĂ©mentaires.Une connaissance de la construction des territoires exposĂ©s aux risques naturels majeurs et Ă  subir des crises de gravitĂ© variable certes, mais Ă  forte pĂ©riodicitĂ©, Ă©clairerait leurs faiblesses constitutives et les solutions possibles pour les rĂ©duire. Les territoires se sont Ă©difiĂ©s avec le temps, les mutations socio-Ă©conomiques, institutionnelles et spatiales ainsi que les rĂ©ponses conjoncturelles et structurelles aux crises subies. Deux territoires Ă  fortes contraintes, exposĂ©s Ă  des alĂ©as naturels similaires, confrontĂ©s Ă  des enjeux vulnĂ©rables comparables, peuvent avoir toutefois des particularitĂ©s dont la mise en Ă©vidence et la comparaison aideraient Ă  une comprĂ©hension globale et circonstanciĂ©e. C’est le cas de la Guadeloupe et de la Martinique.Un programme de recherche (Analyse comparative des GEStions de crise dans les Antilles et perspectives de REponses aux risques NATurels majeurs sur les espaces sensibles, AGESARENAT ) en cours a pour finalitĂ© d’effectuer une analyse diachronique et synchronique de la territorialisation de ces deux espaces insulaires antillais en rapport aux crises subies et aux rĂ©ponses tant conjoncturelles que structurelles apportĂ©es. Les problĂ©matiques posĂ©es et la recherche engagĂ©e amĂšnent Ă  reconsidĂ©rer les critĂšres de dĂ©finition de la notion de crise, de l’apprĂ©ciation de la gravitĂ© relative des Ă©vĂšnements, Ă  en dĂ©celer les Ă©volutions, et ce, d’autant que l’analyse remonte trĂšs loin dans le temps, jusqu’aux fondements mĂȘme de la colonisation.Parmi les procĂ©dures de recherche analyser/comparer les actions rĂ©centes des collectivitĂ©s des deux territoires (inscrites dans un cadre global ou de rĂ©ponses aux crises) met en exergue des stratĂ©gies spĂ©cifiques et des territorialisations diffĂ©renciĂ©es. Elles rĂ©vĂšlent de fortes identitĂ©s socio-spatiales dont les Ă©volutions institutionnelles rĂ©centes diffĂ©renciĂ©es (maintien des deux collectivitĂ©s territoriales en Guadeloupe, collectivitĂ© unique Ă  la Martinique) sont l’une des expressions. Comprendre, savoir, comparer
 pour agir avec le recul nĂ©cessaire Ă  la prise de dĂ©cision pertinente est l’une des finalitĂ©s des rĂ©flexions en cours
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