221 research outputs found
Livre numérique et terminaux de lecture, quels usages ? – note d’analyse
L’Hadopi (DREV) publie une note d’analyse sur les usages des terminaux de lecture.
La présente note propose une analyse des usages des terminaux de lecture selon les profils de lecteurs et les comportements de lecture. En particulier, un focus est réalisé sur les genres de livres lus en numérique (livre pratique notamment) et les usages des supports de lecture.
Cette note s’appuie sur l’étude Hadopi-GLN « Perceptions et usages du livre numérique » réalisée par l’IFOP (octobre 2014)
Exploration des pratiques culturelles dématérialisées des très jeunes consommateurs
L’Hadopi publie une étude sur l’usage du Smartphone dans les pratiques culturelles des 8-14 ans. Leur consommation, centrée sur la vidéo, la musique et les jeux, essentiellement gratuits, alterne les pratiques licites et illicites. La lecture sur écran reste occasionnelle, le format papier étant très largement favorisé par les jeunes. Cependant, la lecture et l’échange de romans et mangas amateurs sur les réseaux sociaux est un phénomène qui s’amplifie chez les 10-14 ans
Rapport d\u27activité 2010 de la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur internet - Hadopi
nstituée par la loi du 12 juin 2009, dite "Création et Internet", l’Hadopi présente son premier rapport d’activité. L’Hadopi est une autorité publique indépendante investie de trois missions principales : protection des oeuvres à l’égard des actes de contrefaçon numérique, encouragement au développement de l’offre légale, régulation et veille dans le domaine des mesures techniques de protection et d’identification des oeuvres et des objets protégés par un droit d’auteur. Le rapport fait le point sur le fonctionnement et les différentes activités de la Haute autorité, dont la mise en oeuvre de la "réponse graduée"
Comment juger l'art à l'heure de la singularité des œuvres et de la pluralité des pratiques ?
Comment juger les œuvres d’art aujourd’hui ? Nos jugements sur les œuvres sont-ils purement subjectifs ou peuvent-ils prétendre à une certaine universalité ? Pour tenter de répondre à cette question – ou du moins en cerner les contours – je présente puis discute deux types de relativismes qui se rejoignent dans l’idée que « tous les jugements esthétiques se valent ». Le premier (que l’on pourrait appeler relativisme contingent) s’appuie sur l’état actuel de la création : l’aspect protéiforme de l’art contemporain rendrait toute tentative de catégorisation ou d’évaluation impossible. Pour le second (le relativisme absolu), en revanche, il serait intrinsèquement impossible d’estimer la valeur d’une œuvre d’art puisqu’un jugement est toujours partial, quel que soit l’état de la création. Je met ces deux relativismes en regard de deux thèses : la première, développée par Nathalie Heinich dans son dernier livre, veut que l'on considère l’art contemporain comme un nouveau paradigme ; la deuxième étant l’hypothèse kantienne d’une universalité subjective du jugement esthétique
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