Bothrops lanceolatus Bites: Guidelines for Severity Assessment and Emergent Management

Approximately 20-30 declared snakebite cases occurin Martinique each year. Bothrops lanceolatus, a member of the Crotalidae family, is considered to be the only involved snake. B. lanceolatus, commonly named “Fer-de-Lance”, is endemic and only found on this Caribbean island. Envenomation local features include the presence of fang marks, swelling, pain, bleeding from punctures, and ecchymosis. Severe envenomation is associated with multiple systemic thromboses appearing within 48 h of the bite and resulting in cerebral, myocardial or pulmonary infarctions. Diagnosis requires first of all identification of the snake. Coagulation tests are helpful to identify thrombocytopenia or disseminated intravascular coagulation. A clinical score based on 4 grades is helpful to assess envonimation severity. A specific monovalent equine anti-venom (Bothrofav®, Sanofi-Pasteur, France) to neutralize B. lanceolatus venom is available. Its early administration within 6h from the biting in case of progressive local injures, general signs or coagulation disturbances is effective to prevent severe thrombosis and coagulopathy. Its tolerance is considered to be good. Despite an increasing incidence of bites, no deaths have been recently attributed to B. lanceolatus in Martinique, probably due to the currently recommended strategy of early antivenom administration when required

Khan Academy mapped to South African curriculum

Numeric has mapped the Khan Academy videos and exercises to the South African CAPS curriculum. Numeric is on a mission to help young South Africans excel in mathematics. We're curating the Khan Academy mathematics material into playlists for the South African curriculum. This material is targeted at primary and high school learners between Grades 6 and Grade 12

Traitement de la capsulite rétractile de l'épaule par capsulo-distension au CHU de Fort-de-France (étude rétrospective et revue de la littérature)

La capsulite rétractile de l'épaule esf une affection bénigne, d'évolution spontanément favorable, rnais grave sur le plan fonctionnel. Elle se définit par une restriction douloureuse des amplitudes articulaires actives et passives, liée à une rétraction capsulaire. La physiopathologie est. incertaine, mais l'on s'oriente aujourd'hui vers un déséquilibre métabolique du tissu conjonctif. Elle peut être primitive ou secondaire. Le but des différents traitements est donc d'écourter les symptômes qui peuvent s'étendre sur plusieurs mois ou années. Dans cette étude, nous avons évalué de manière rétrospective l'efficacité du traitement par capsulo-distension réalisé sur trois ans au CHU de Fort:-de-France. Les résultats sont en accord avec la plupart des études réalisées depuis une dizaine d'années. On. obtient une amélioration objective globale, complète ou partielle, dans 82% des cas, et 81 % des patients ressentent une gêne fonctionnelle nulle ou légère. La capsulo-distension est donc une alternative thérapeutique efficace, qui réduit de manière significative la durée d'évolution naturelle de la capsulite rétractileFORT-DE-FRANCE-CHRU-BU (972332102) / SudocBESANCON-BU Médecine pharmacie (250562102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

La fasciite nécrosante (étude de 8 cas en Martinique)

La fasciite nécrosante est une maladie grave, d'évolution rapide, mettant en jeu le pronostic vital et fonctionnel. Elle se caractérise par une atteinte de l'aponévrose superficielle, ce qui la différencie des autres dermohypodermites bactériennes. Le diagnostic et le traitement sont essentiellement chirurgicaux. Une bonne connaissance de l'épidémiologie, des facteurs de risques et de l'association de signes cliniques locaux à des signes généraux marqués, peut orienter le diagnostic. Notre étude est rétrospective, et repose sur l'analyse de 8 cas de fasciite nécrosante retrouvés sur une période de 15 ans. Notre étude met en évidence des résultats comparables à ceux retrouvés dans la littérature mondiale du point de vue de l'épidémiologie, des facteurs de risque, de la bactériologie et de la clinique. Nous avons par ailleurs proposé un protocole de prise en charge pluridisciplinaireFORT-DE-FRANCE-CHRU-BU (972332102) / SudocBESANCON-BU Médecine pharmacie (250562102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF