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Effect Of Plant Population On Yield Of Maize And Climbing Beans Grown In An Intercropping System
Increased adoption of climbing beans ( Phaseolus vulgaris L.) in
Kabale district, south-western Uganda, has been limited by scarcity of
staking materials, despite the crop's higher yield potential compared
to bush bean types when grown on fertile soils. There is therefore need
to explore other appropriate mechanisms such as intecropping, that
could substitute use of stalks. A field experiment was conducted at
Kachwekano near Kabale town for two seasons: second rains of 1996
(1996b) and first rains of 1997 (1997a), to determine the appropriate
plant population density (PPD) of maize that would maximize bean yield
in an intercrop system. The treatments were: (a) maize PPD ranging from
25 000 to 40 000 plants ha-1, and (b) bean PPD ranging from 57 142 to
95 238 plants ha-1. Sole crops were planted at the recommended PPD of
44 444 and 111 111 plants ha-1 for maize and climbing beans,
respectively. Maize in mixtures was planted in single rows 1.0 m apart.
Two rows of beans were planted in the space between maize rows, 10 days
after maize emergence. Plant densities were achieved by varying the
within-row spacing from 0.25 to 0.40 m for maize and 0.30 to 0.50 m for
beans. Maize PPD significantly affected bean yield only during the
second rains (1996b), probably due to a favourable moisture regime.
Bean PPD significantly affected maize yield only during the first rains
(1997a), presumably due to drought stress. The highest intercrop bean
yield of 1.075 t ha-1 was realised from a final mixture of 24 575 and
66 666 plants ha-1 of maize and beans, respectively, during the second
rains. Intercropping significantly reduced maize yield during the
second rains and bean yields in both seasons. The intercrop system had
a yield advantage of 26 % (i.e., LER = 1.26) over pure stands of the
component crops only during the second rains, presumably due to
complementary use of resources. However, there were no yield advantages
observed during the first rains probably due to drought stress. Mean
total income (TI) from the mixtures was 226.8 and 31.8% higher than
income from sole bean and maize crops, respectively, during the second
rains. Income from the mixtures was 58.7 and 72.5 % higher than income
from sole bean and maize crops, respectively, during the first rains.L'adoption croissante d'haricot grippant ( Phaseolus vulgaris L.)
dans le district de Kabale au sud-ouest de l'Ouganda, a été
limitée par le manque des matériels de soutien, en dépit
du potentiel élevé du rendement des plantes comparé au
haricot des types forestiers lorsque cultivé sur des sols
fertiles. Il y a donc un besoin d'explorer les autres mécanismes
appropriés tel que l'inter culture, qui pourrait substituer
l'usage des tiges. Une expérience sur terrain était conduite
à Kachwekano près de la ville de Kabale pendant deux saisons
: secondes pluies de 1996 (1996b) et premières pluies de 1997
(1997a), pour déterminer la densité de population des plantes
appropriée (PPD) de maïs qui pourrait maximiser le rendement
de haricot dans un système d'inter culture. Les traitements
étaient : (a) PPD de maïs s'étendant de 25000 à
40000 plantes ha-1, et (b) PPD de haricot allant de 57142 à 95238
plantes ha-1. Seule les plantes de même nature étaient
plantées à PPD recommandée de 44444 et 111111 plantes
ha-1 pour le maïs et haricot respectivement. Le maïs
mélangé était planté en lignes uniques de 1,0 m de
distance. Deux lignes de haricot étaient plantées dans
l'espace entre les lignes de maïs, 10 jours après l'emergemce
du maïs. Les densités de plantes étaient atteintes en
variant l'espace entre lignes de 0,25 à 0,40 m pour le maïs
et 0,30 à 0,50 pour le haricot. La PPD de maïs avait
significativement affecté le rendement de haricot seulement durant
les secondes pluies (1996b), probablement à cause d'un régime
humide favorable. La PPD de haricot a significativement affecté le
rendement de maïs seulement durant les premières pluies
(1997a), vraisemblablement à cause de la sècheresse. Le
rendement le plus élevé de haricot en inter culture de 1,075t
ha-1 était réalisé à partir d'un mélange final
de 24575 et 66666 plantes ha-1 de maïs et haricot respectivement,
durant les secondes pluies. L'inter culture a significativement
réduit le rendement de maïs durant les secondes pluies et les
rendements de haricot dans les deux saisons. Le système d'inter
culture avait un avantage de rendement de 26% (c. à.d, LER=1,26)
sur les témoins purs des composantes des plantes durant les
secondes pluies, vraisemblablement à cause de l'usage des
ressources complémentaires. Cependant, il n y avait pas des
avantages de rendements observés durant les premières pluies
probablement à cause de la sécheresse. La moyenne totale de
revenus (IT) des de cultures mélangées était 226,8 et
31,8% élevée que le revenu des plantes d'haricot seul et
maïs seul respectivement, durant les secondes pluies. Le revenu
des cultures mélangées était 58,7 et 72,5%
élevé que le revenu des plantes de haricot seul et maïs
seul respectivement, durant les premières pluies