38 research outputs found

    Plédran (Côtes-du-Nord). Camp de Péran

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    Nicolardot Jean-Pierre. Plédran (Côtes-du-Nord). Camp de Péran. In: Archéologie médiévale, tome 19, 1989. pp. 344-345

    Plédran (Côtes-du-Nord). Camp de Péran

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    Nicolardot Jean-Pierre. Plédran (Côtes-du-Nord). Camp de Péran. In: Archéologie médiévale, tome 15, 1985. p. 281

    Pledran (CĂ´tes-du-Nord). Camp de PĂ©ran

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    Nicolardot Jean-Pierre. Pledran (Côtes-du-Nord). Camp de Péran. In: Archéologie médiévale, tome 16, 1986. p. 224

    Plédran (Côtes-du-Nord). Camp de Péran

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    Nicolardot Jean-Pierre. Plédran (Côtes-du-Nord). Camp de Péran. In: Archéologie médiévale, tome 19, 1989. pp. 344-345

    Chapitre III. Le Châtelet d’Étaules (Côte-d’Or). Du Néolithique moyen au Hallstatt final

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    III-1 Présentation générale du site III-1-1 Le site dans son proche environnement géologique et archéologique Situé dans la vallée du Suzon, affluent de l’Ouche qui, elle-même, va se jeter dans la Saône, le camp du Châtelet d’Étaules (fig. 224 et fig. 237 E / 5), que se partagent les communes de Darois et d’Étaules, est un habitat de hauteur fortifié du type éperon barré (fig. 80). Il occupe le sommet d’un promontoire qui s’avance sur la rive droite de la partie encaissée de la vallée, entre ..

    Chapitre II. Le camp de Myard à Vitteaux (Côte-d’Or) du Néolithique moyen au Bronze final

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    II-1 Présentation générale du site II-1-1 Le site dans son proche environnement archéologique Le Camp de Myard, du type éperon barré, occupe la pointe nord d’un haut plateau sur le territoire de Vitteaux (Côte-d’Or) (fig. 224 et fig. 237 C / 5). C’est une digitation du substrat bajocien qui s’avance entre les vallées de l’Armançon qui coule à l’ouest, et de son affluent, la Brenne, qui déroule ses méandres à l’est (fig. 14). À une altitude de 510 m, le Camp de Myard domine aujourd’hui la bour..

    Chapitre IV. L’habitat de hauteur fortifié pré- et protohistorique en Côte-d’Or dans son environnement archéologique (IVe millénaire au Ve siècle avant J.-C.)

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    En avril 1952, au XXXIIIe Congrès des Sociétés Savantes de Bourgogne, René Joffroy avait proposé des comparaisons entre habitats et nécropoles, en suggérant des rapprochements entre l’habitat fortifié du Mont Lassois et les sépultures princières alors connues dans le proche environnement du site à Sainte-Colombe, avec les tumulus de la Garenne et de la Butte. En octobre de la même année, la découverte de la tombe princière de Vix venait confirmer cette hypothèse (JOFFROY, 1979, p. 100). L’étu..

    Pledran (CĂ´tes-du-Nord). Camp de PĂ©ran

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    Nicolardot Jean-Pierre. Pledran (Côtes-du-Nord). Camp de Péran. In: Archéologie médiévale, tome 16, 1986. p. 224

    Chapitre I. L’habitat fortifié pré- et protohistorique. Présentation

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    I-1 Étude archéologique I-1-1 Définition L’apparition de structures fortifiées liées à l’habitat correspond à une prise de conscience par les Préhistoriques de la nécessité d’apporter à ce dernier des mesures artificielles de protection ou de renforcer une position déjà naturellement défensive. Ce développement de la protection de l’habitat a été vraisemblablement rendu nécessaire par l’évolution des modes de vie communautaires instaurés par le développement des regroupements de population en..

    L’habitat fortifié pré- et protohistorique en Côte-d’Or

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    S’appuyant sur trois décennies de travaux de terrain et de recherches bibliographiques en Côte-d’Or, l’ouvrage que publie aujourd’hui la R.A.E. reprend une thèse de doctorat soutenue en 1993 à l’Université de Franche-Comté par Jean-Pierre Nicolardot, chercheur au C.N.R.S. Après l’historique et la définition de l’habitat fortifié aux temps préhistoriques et protohistoriques, l’auteur présente les résultats de ses recherches stratigraphiques sur deux sites clefs de la Côte-d’Or pour l’étude des premières architectures défensives, le Camp de Myard à Vitteaux, entre les vallées de l’Armançon et de la Brenne, et le Châtelet d’Étaules, dans la vallée du Suzon. Ces deux sites ont été occupés plus particulièrement au Néolithique moyen et au Bronze final, ainsi que, pour le second, au premier Âge du Fer. Dépassant le cadre de ces deux gisements bourguignons, le lecteur trouvera une abondante matière comparative de sites témoins des activités ou de la présence humaine en Côte-d’Or, depuis la fin de la Préhistoire jusqu’aux Âges des Métaux (habitats ouverts, nécropoles, dépôts et objets isolés remarquables…). La documentation iconographique et la bibliographie, qui dépassent les limites régionales, rendent plus accessibles les acquis de l’archéologie de terrain
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