9 research outputs found

    Expanded Hemodialysis Therapy: From the Rational to the Delivery

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    Expanded hemodialysis therapy is a new concept in blood purification technology using a specific membrane with a steep sieving curve characterized by medium membrane cutoff and high retention onset values that are close to but lower than those of albumin. Expanded hemodialysis therapy thereby targets an important pathophysiologic link to many of the sequelae of end-stage renal disease, by improving the clearance of medium to larger-size solutes. The significant internal filtration achieved in these hemodialyzers provides a remarkable convective clearance of medium to high solutes. This therapy does not need specific software or additional complex technology, making its application possible in every setting once the quality of the dialysis fluid is guaranteed to ensure the safe conduct of the dialysis session. The present chapter reviews the rationale for expanded hemodialysis therapy, the potential benefits, and the considerations for prescription and delivery

    Place de l’hémodialyse dans la prise en charge de l’intoxication aiguë au lithium

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    Nous rapportons le cas d'un patient âgé de 47 ans, suivi depuis vingt ans pour une psychose maniaco-dépressive sous lithium admis dans un tableau de trouble de conscience après une tentative de suicide au lithium (30 comprimés de Téralithe® LP 400, forme galénique retard correspondant à 12 g de carbonate de lithium), bien amélioré cliniquement après trois séances d'hémodialyse. Cette observation illustre l'intérêt thérapeutique de l'hémodialyse au cours des intoxications volontaires au lithium sous sa forme retard même après une semaine de la prise et l'insuffisance thérapeutique d'une seule séance d'hémodialyse.Pan African Medical Journal 2016; 2

    Profil de l’infection urinaire nosocomiale dans un service de nephrology

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    L'infection urinaire est l'infection nosocomiale la plus fréquente. Elle constitue un véritable problème de santé publique par la surmortalité et le surcoût qu'elle entraîne. L'objectif de notre étude est de  déterminer l'incidence et le profil des IU nosocomiales dans un service de Néphrologie. Etude  rétrospective sur dossier de tous les patients hospitalisés dans notre service durant l'année 2011, ayant bénéficié d'un examen cytobactériologique des urines. Ont été exclus, tous les patients admis avec une IU connue ou active. 325 dossiers ont été retenus. L'incidence de l'IU nosocomiale était de l'ordre de 16,9%. La durée moyenne d'hospitalisation était de 14,1±10,15 jours. 30% de nos patients ont été  transférés du service des urgences. 80% des IU nosocomiales étaient compliquées. Le germe  responsable était E.Coli dans 2/3 des cas dont 14,5% était à E.Coli sécrétrice de bétalactamases à  spectre étendu. L'évolution après traitement était favorable chez 90,7%. En analyse multivariée, les  facteurs de risque pour contracter une IU nosocomiale étaient le sexe féminin; le sondage urinaire et  l'antécédent d'IU à répétition. Nos résultats rejoignent ceux de la littérature concernant les facteurs de risque liés à la survenue de l'IU nosocomiale, la fréquence des infections à entérobactéries, et l'émergence de souches résistantes. Une Surveillance microbiologique et une évaluation de la résistance aux antibiotiques constituent une ligne de défense pour faire face à l'accentuation de nouvelles souches bactériennes de plus en plus résistantes aux antibiotiques rendant les options thérapeutiques très limitées.Key words: Infection urinaire, nosocomiale, facteurs de risque, néphrologi

    Hypotension artérielle intra dialytique chez un hémodialysé chronique révélatrice d’insuffisance antéhypophysaires

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    L'hypotension artérielle per dialytique est une complication fréquente chez l'hémodialysé chronique. Elle est occasionnée par des facteurs liés à la séance d'hémodialyse et/ou au patient. Nous rapportons le cas d'un patient âgé de 42 ans, hémodialysé chronique sur néphropathie lithiasique depuis 5 ans. Il a rapporté des céphalées chroniques atypiques, compliquées d'une baisse progressive de l'acuité visuelle, une asthénie, une hypertrophie mammaire, et une baisse de libido. Il est référé pour une hypotension artérielle per dialytique non expliquée par les causes habituelles, dont la recherche étiologique a objectivé une insuffisance anté hypophysaire et une masse hypophysaire à l'IRM. A travers cette observation, nous montrons qu'après avoir éliminé les causes classiques d'hypotension artérielle chez l'hémodialysé, une cause endocrinienne doit être recherchée.Pan African Medical Journal 2016; 2

    Diabetic Patients and Peritoneal Dialysis

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    The prevalence of diabetes mellitus (DM) among patients requiring renal replacement therapy (RRT) has been on the rise worldwide, with DM now being the primary cause of end-stage renal disease (ESRD) in roughly one-third of RRT initiations. Although renal transplantation is the optimal treatment for ESRD, its limited availability has led to in-center hemodialysis (HD) being widely used as the default RRT modality in many countries. However, peritoneal dialysis (PD) may offer a superior option for diabetic patients due to its slower ultrafiltration rate, which can help mitigate the dialysis-induced hypotension and coronary ischemia that are associated with extracorporeal circulation during HD. Despite these advantages, unfounded concerns about technique failure and increased complication rates have discouraged some clinicians from recommending PD as a first-line RRT for diabetic patients. We conducted a retrospective study comparing the incidence of complications and technique survival rates between diabetic and non-diabetic patients undergoing PD at a dialysis unit in Morocco. Our findings reveal that, diabetic patients undergoing PD experienced no significant difference in technique survival or incidence of complications compared to their non-diabetics. Nevertheless, only a small proportion (17.5%) of patients in our PD unit was diabetic, suggesting a need to improve access to PD for diabetic patients with ESRD

    Patients diabétiques en dialyse péritonéale

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    The prevalence of diabetes mellitus (DM) among patients requiring renal replacement therapy (RRT) has been on the rise worldwide, with DM now being the primary cause of end-stage renal disease (ESRD) in roughly one-third of RRT initiations. Although renal transplantation is the optimal treatment for ESRD, its limited availability has led to in-center hemodialysis (HD) being widely used as the default RRT modality in many countries. However, peritoneal dialysis (PD) may offer a superior option for diabetic patients due to its slower ultrafiltration rate, which can help mitigate the dialysis-induced hypotension and coronary ischemia that are associated with extracorporeal circulation during HD. Despite these advantages, unfounded concerns about technique failure and increased complication rates have discouraged some clinicians from recommending PD as a first-line RRT for diabetic patients. We conducted a retrospective study comparing the incidence of complications and technique survival rates between diabetic and non-diabetic patients undergoing PD at a dialysis unit in Morocco. Our findings reveal that, diabetic patients undergoing PD experienced no significant difference in technique survival or incidence of complications compared to their non-diabetics. Nevertheless, only a small proportion (17.5%) of patients in our PD unit was diabetic, suggesting a need to improve access to PD for diabetic patients with ESRD.La prévalence du diabète sucré chez les patients nécessitant une thérapie de remplacement rénal est en hausse dans le monde entier, et le diabète est désormais la principale cause d'insuffisance rénale chronique terminale (IRCT) chez environ un tiers de ces patients. Bien que la transplantation rénale soit le traitement optimal pour l'IRCT, sa disponibilité limitée a conduit à l'utilisation généralisée de l'hémodialyse en centre (HD) comme modalité de remplacement rénal par défaut dans de nombreux pays. Cependant, pour les patients diabétiques, la dialyse péritonéale (DP) peut offrir une option supérieure en raison de son taux d'ultrafiltration plus lent, qui peut aider à diminuer les complications associées à la circulation extracorporelle pendant l'HD. Malheureusement, des préoccupations infondées concernant l'échec technique et l'augmentation des taux de complications ont dissuadé certains cliniciens de recommander la DP comme traitement de première intention pour les patients diabétiques en IRCT. Nous avons mené une étude rétrospective comparant l'incidence des complications et les taux de survie technique entre les patients diabétiques et non diabétiques bénéficiant de la DP dans une unité de dialyse au Maroc. Nos résultats révèlent que les patients diabétiques en DP n'ont pas connu de différence significative en termes de survie de la technique ou d'incidence de complications par rapport aux non diabétiques. Cependant, nous avons constaté que seule une petite proportion (17,5 %) des patients de notre unité de DP était diabétique, ce qui suggère que l'accès à la DP pour les patients diabétiques atteints d'ESRD doit être amélioré

    Néphropathie lupique proliférative et psoriasis: Un défi thérapeutique. A propos dun cas

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    Lassociation du lupus systémique et psoriasis est exceptionnelle et rarement décrite dans la littérature. Elle pose à la fois un problème diagnostic vu la similitude des lésions cutanées et articulaires dans certains cas, et thérapeutique vu le risque daggravation voire dinduction de lune des affections par les traitements prescrits. Nous décrivons dans cet article, le cas dune patiente âgée de 49 ans, suivie pour une néphropathie lupique proliférative mise sous cyclophosphamides, qui présente un psoriasis au cours de la dégression des corticoïdes prescrits dans le cadre du traitement du lupus systémique. Lassociation de ces deux pathologies, bien que peu fréquente, mérite dêtre connue compte tenu de lutilisation possible de plusieurs immunosuppresseurs, pouvant présenter des toxicités au long cours

    La suspicion de Néphropathie fibrillaire : une impasse dans les pays en voie de développement ?

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    La glomérulonéphrite fibrillaire (FGN) est une maladie rare qui a été décrite pour la première fois dans la littérature par Rosenmann et Eliakim en 1977 et a été reconnue plus tard comme une maladie glomérulaire distincte par Duffy et al. en 1983 . Les critères diagnostiques actuels de la FGN exigent la démonstration de fibrilles droites, disposées au hasard et mesurant de 10 à 30 nm d'épaisseur dans le mésangium et/ou le long des membranes basales glomérulaires par microscopie électronique (ME). En immunofluorescence (IF), dans la plupart des cas, nous retrouvons des dépôts dIgG, de chaînes légères κ et λ et de C3. Il existe des dépôts faibles dIgA, dIgM et de C1q dans 30 à 50 % des cas. Nous rapportons dans cet article le cas dune patiente agée de 34 ans admise pour un syndrome néphrotique impur dans un contexte de néoplasie chez qui le bilan immunologique était négatif et à la biopsie rénale, en microscopique optique une expansion mésangiale diffuse avec hypercellularité, un aspect rigide de la membrane basale glomérulaire avec un croissant fibro-cellulaire (10% du glomérule) et trois glomérules sont le siège dune prolifération endo-capillaire segmentaire et focale. En immunofluorescence, nous notons des dépôts IgG membranaires granuleux linéaires et diffus, ainsi que des dépôts de C3, de C1q, kappa et lambda. Après avoir écarté les diagnostics différentiels possibles à lanalyse de la biopsie rénale en microscopie optique et immunofluorescence, le diagnostic de glomérulonéphrite fibrillaire a été évoqué. Cependant, la microscopie électronique na pas pu être réalisée. Actuellement, l'analyse des glomérules par microscopie électronique est nécessaire pour diagnostiquer la FGN. Cependant, comme dans notre cas, celle-ci n'est pas souvent disponible dans les laboratoires de pathologie des pays en développement et même dans certains pays développés en raison de son coût élevé et de lexpertise nécessaire. Par conséquent, la NGF est probablement une maladie sous-diagnostiquée

    Relation entre la dose de dialyse et la qualité de vie des patients en dialyse péritonéale.

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    ObjectiveThe interest of our work is to identify the objective parameters that can improve the subjective parameters of the well-being of the patients and to share the experience of the care in our center. Kt / V urea and KDQOL SF 36 scale (Kidney Disease Quality of Life short form 36)were used. Material and methodsThis is a single-center cross-sectional study conducted in October 2018 among patients treated with peritoneal dialysis, followed for at least six months in the Nephrology Department of Fez University Hospital (Morocco). The quality of life was assessed using the SF-36 (short form) version of the Kidney Disease Quality of Life (KDQOL) scale in its validated Arabic dialect version (1). We used the KDQOL-SF36 results as quantitative variables related to obtaining a Kt / V> 1.7. ResultsThis study included 17 adult patients on peritoneal dialysis of which 35.3% are on automated peritoneal dialysis (APD) and 64.7% are on continuous ambulatory peritoneal dialysis (CAPD). The mean age is 40.8 ± 5 years and the sex ratio is 9H / 8F. In bivariate analysis, we found a significant relationship between dialysis dose and social support. This result could be explained by better adherence in patients with better social support. ConclusionEfforts must be made to achieve the adequacy goals, without losing sight of patients’ quality of life. There is also a need for further studies that include more patients and study other parameters such as clinical evaluation, residual renal function and ultrafiltration.    .Objectif Notre travail avait pour but d’identifier les paramètres objectifs pouvant amĂ©liorer les paramètres subjectifs du bien-ĂŞtre des patients et de partager l’expĂ©rience de la prise en charge dans notre centre. .La dose de dialyse exprimĂ©e par le Kt/V urĂ©e et le KDQOL SF 36 ont Ă©tĂ© utilisĂ©. MatĂ©riel et MĂ©thode C’est une Ă©tude monocentrique transversale menĂ©e en octobre 2018 auprès des patients traitĂ©s par dialyse pĂ©ritonĂ©ale, suivis depuis au moins six mois dans le service de NĂ©phrologie du CHU de Fès (Maroc). La qualitĂ© de vie a Ă©tĂ© Ă©valuĂ©e en utilisant la version SF-36 (short form) de l’échelle KDQOL (Kidney Disease Quality Of Life) dans sa version arabe dialectale validĂ©e. Nous avons utilisĂ© les rĂ©sultats du KDQOL-SF36 comme variables quantitatives rapportĂ©es Ă  l’obtention d’un Kt/V>1,7. RĂ©sultats17 patients adultes sous dialyse pĂ©ritonĂ©ale on Ă©tĂ© inclus, 35,3% sous dialyse pĂ©ritonĂ©ale automatisĂ©e (et 64,7% sous dialyse pĂ©ritonĂ©ale continue ambulatoire. L’âge moyen est de 40,8±5 ans et le sex-ratio de 9H/8F. En analyse bivariĂ©e, nous avons trouvĂ© une relation significative entre la dose de dialyse et le support social. Ce rĂ©sultat pourrait ĂŞtre expliquĂ© par la meilleure observance thĂ©rapeutique chez les patients ayant un meilleur support social. ConclusionIl faut s’efforcer d’atteindre les objectifs d’adĂ©quation, sans perdre de vue la qualitĂ© de vie des patients. Il faut aussi prĂ©voir d’autres Ă©tudes ultĂ©rieurs qui incluent un plus grand nombre de patients et qui Ă©tudient d’autres paramètres tel l’évaluation cliniques ,la fonction rĂ©nale rĂ©siduelle et l’ultrafiltration
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