10 research outputs found

    Reconstruction des pertes de substance interruptrices de la mandibule chez l’enfant

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    La reconstruction mandibulaire chez l’enfant reste difficile actuellement par rapport à l’adulte dont les techniques et les indications sont bien connues. Faut-il pour les pertes de substance mandibulaires latérales reconstruire immédiatement ou peut-on attendre la fin de la croissance étant donné le pouvoir ostéogénique important du périoste ? Puis proposer une technique non mutilante pour les réserves de croissance des sites donneurs, évitant les déformations et les insuffisances de croissance

    Tumeur maxillaire révélatrice d’un myélome multiple : à propos d’un cas

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    Nous rapportons le cas d’une tuméfaction maxillaire droite survenant chez une femme âgée de 57 ans qui a amené à la découverte d’un myélome multiple. La radiographie standard du maxillaire a révélé l’existence d’une lyse osseuse de l’arcade dentaire supérieure et de la paroi antérieure du sinus maxillaire avec une masse envahissant les parties molles. L’examen tomodensitométrique a montré à côté du processus tumoral maxillaire, des images lacunaires de la voûte du crâne et de la clavicule avec fracture pathologique de cette dernière faisant suspecter le diagnostic de myélome multiple. Le diagnostic positif a été confirmé par une biopsie de la tumeur maxillaire

    Double tératome de la cavité buccale

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    Les tératomes buccaux sont rares. Ils peuvent engager le pronostic vital dès la naissance par détresse respiratoire quand ils sont volumineux. De petite taille, ils ont un retentissement fonctionnel et entrainent des malformations craniofaciales d’origine mécanique. Le diagnostic anténatal et le traitement précoce améliorent le pronostic. Nous rapportons un cas original avec un tératome de la cavité buccale à double localisation : nasopharynx et plancher buccal

    Améloblastome : diagnostic et traitement. A propos de 26 cas

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    L'améloblastome est une tumeur épithéliale odontogène histologiquement bénigne mais ayant un comportement malin par son pouvoir invasif et déformant local. Ce travail porte sur une série de 26 cas colligés dans le service d'ORL et de Chirurgie maxillo-faciale de l'Hôpital des Spécialités de Rabat, entre janvier 2000 et février 2007. L'âge moyen des patients était de 30 ans avec un sex ratio de 1. La majorité des patients n'ont consulté qu'au stade de la tuméfaction. La localisation la plus fréquente était la mandibule avec 23 cas (88,4 %). Sur le plan thérapeutique : 4 ont bénéficié d'un traitement conservateur et 22 d'un traitement radical. On a noté un taux de récidive de 23 % (6/26 cas) ce qui correspond aux données de la littérature. Ce sujet a fortement suscité notre intérêt du fait de sa fréquence relativement élevée dans notre pays comparée aux données de la littérature, de la difficulté de prise en charge thérapeutique en raison du pouvoir récidivant et mutilant de ces tumeurs, et également du rôle du chirurgien dentiste dans le dépistage précoce. (Med Buccale Chir Buccale 2009 ; 15 : 93-100)

    Tumeur mélanotique neuro-ectodermique de l’enfance

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    Introduction : La tumeur mélanotique neuro-ectodermique de l’enfance encore dénommée melanotic progonoma est une tumeur pigmentée rare, dérivée des cellules de la crête neurale. Elle se manifeste à un âge précoce avec une croissance rapide et un pourcentage élevé de récidives. Elle atteint le plus souvent le maxillaire antérieur chez l’enfant au cours de la première année de vie, mais peut également survenir au niveau de la voûte et de la mandibule. Cas clinique : Nous présentons un cas survenu chez un nourrisson de 8 mois au niveau du bord alvéolaire du maxillaire droit. Le patient a bénéficié d’une résection chirurgicale large sans maxillectomie ni reconstruction. Aucune récidive n’a été notée sur un suivi d’une année. Discussion : Nous discutons le diagnostic clinique, radiologique et anatomopathologique, ainsi que la prise en charge thérapeutique

    Cellulites cervico-faciales diffuses d’origine dentaire : à propos de 60 cas

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    Objectif : Les cellulites cervico-faciales diffuses restent des affections encore très graves, seule une prise en charge précoce et multidisciplinaire permet d’espérer un bon pronostic. L’objectif de notre étude rétrospective est d’étudier les différents aspects épidémiologiques, cliniques, paracliniques, thérapeutiques, évolutifs et préventifs de ces pathologies, tout en comparant nos résultats aux données de la littérature. Patients et méthodes : Notre étude porte sur 60 cas de cellulites cervico-faciales d’origine dentaire hospitalisés dans le service d’ORL et de Chirurgie maxillofaciale de l’Hôpital des Spécialités de Rabat sur une période de 4 ans, entre janvier 2005 et décembre 2008. Les facteurs favorisants ont été étudié et analysé statistiquement par la méthode analyse de la variance. Résultats : L’analyse de nos dossiers a trouvé que cette pathologie touche les hommes plus que les femmes, avec une moyenne d’âge de 29 ans. Les facteurs favorisants ont été étudié et analysé statistiquement par la méthode analyse de la variance, qui a permis de les classer en trois niveaux selon leur importance : la prise d’anti-inflammatoires non stéroïdiens et la mauvaise hygiène bucco-dentaire en 1er niveau, ensuite le diabète en 2e niveau, et au 3e niveau l’extraction dentaire ainsi que la tentative d’extraction dentaire. Les dents les plus souvent en cause étaient des molaires mandibulaires avec un taux de 85,7 %. La prise en charge thérapeutique a permis une évolution favorable dans 98,3 % des cas mais, dans un cas, l’évolution a été marquée par la survenue de complications ayant entraîné le décès. Conclusion : La précocité du diagnostic et de la prise en charge thérapeutique doit être pluridisciplinaire (médecine, chirurgie et parfois réanimation) pour permettre d’espérer une guérison sans complications ou séquelles. (Med Buccale Chir Buccale 2009 ; 15 : 127-135)

    Cervical Lymph Node Metastasis in Chromophobe Renal Cell Carcinoma: A Case Report and Review of the Literature

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    The metastasis of chromophobe renal cell carcinoma to head and neck region, described herein, has never been reported before to our knowledge. A 56-year-old woman with a history of nephrectomy, that revealed chromophobe renal cell carcinoma six years before, presented left cervical mass. Imaging showed with left cervical lymphadenopathies and thyroid nodule. Surgery with histopathological examination confirmed that it was a left central and lateral jugular lymph node metastasis of chromophobe renal cell carcinoma treated postoperatively by antiangiogenic therapy. The patient was successfully treated by surgery and antiangiogenic drugs with stabilization and no recurrence of the metastatic disease. The case and the literature reported here support that chromophobe renal cell carcinoma can metastasize to the head and neck region and should preferentially be treated with surgery and antiangiogenic therapy because of the associated morbidity and quality-of-life issues
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