111 research outputs found

    Abstracts of presentations on plant protection issues at the fifth international Mango Symposium Abstracts of presentations on plant protection issues at the Xth international congress of Virology: September 1-6, 1996 Dan Panorama Hotel, Tel Aviv, Israel August 11-16, 1996 Binyanei haoma, Jerusalem, Israel

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    L’ARN satellite du virus de la mosaïque du concombre IV. - Transmission expérimentale de la maladie nécrotique de la tomate par pucerons

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    Les essais de transmission par pucerons du VMC, additionné de son ARN satellite à forte (5 μg/ml) ou très faible (5 x 10-6 μg/ml) concentration, à la tomate ont conduit aux conclusions suivantes : 1) Il n’existe pas de proportionnalité entre le taux de transmission assuré à partir d’une plante et sa concentration en particules virales infectieuses. L’espèce hôte joue par contre un rôle plus important au niveau de son efficacité comme source de virus. Ainsi, le melon constitue une source aussi efficace pour l’acquisition du VMC par les pucerons que la tomate ou le tabac bien qu’il soit moins favorable à la multiplication du virus. 2) La possibilité de transmission de l’ARN satellite avec les ARN du génome est liée à sa concentration dans les particules virales. Il est toujours transmis par les pucerons lorsqu’il a été abondamment répliqué dans la plante source (tomate ou tabac, 45 à 50 p. 100 de l’ARN viral encapsidé). Les tomates contaminées développent alors uniquement le syndrome nécrotique. Par contre, il peut ne pas être transmis s’il ne représente que 15 p. 100 environ de l’ARN viral encapsidé, puisque les tomates infectées extériorisent parfois les symptômes de filiformisme grave, caractéristiques de l’absence de réplication de l’ARN satellite nécrogène. Dans ce cas, les résultats diffèrent de ceux obtenus, à partir des mêmes sources, par transmission mécanique. 3) Lorsque la plante source de virus est riche en ARN satellite, son efficacité pour l’acquisition du virus par les aphides paraît nettement réduite. 4) Des tomates âgées de 30 à 40 j, stade auquel elles sont généralement repiquées au champ, sont toujours très sensibles à l’inoculation par pucerons.Experiments of aphid transmission of CMV, with satellite RNA added at high (5 μg/ml) or very low (5 x 10-6 μg/ml) concentration, to tomato plants lead us to the following conclusions : 1) The transmission rate from a source plant is not directly correlated with its virus concentration. However, the transmission rate is dependent on the host species. So, muskmelon seems to be a better source than tomato or tobacco, although it is a less efficient host for virus multiplication. 2) The possibility of transmission of the satellite RNA, with the genomic RS,NA is associated with its concentration in the particles synthetized in the source. RNA-5 is always transmitted by aphids when it represents a great proportion of the viral RNA (tomato or tobacco as source plants, 45 to 50 per cent of RNA-5). So infected tomato plants only display necrosis. Nevertheless, RNA-5 may be not transmitted when it is produced in lower proportion in the source (muskmelon, 15 per cent of the viral RNA) since the inoculated tomato plants sometimes show mosaic and fern leaf symptoms, characteristic of the absence of replication of the satellite RNA. These last results differ from those obtained, with the same source, by mechanical inoculation. 3) A host plant in which satellite RNA has been actively replicated is a less efficient source for aphids than one containing a small amount of it. 4) Tomato plants, when 30 to 40 days old, stage of development to which they are usually transplanted in the field, are still very susceptible to CMV inoculation by aphids

    L'ARN satellite du virus de la mosaïque du concombre IV. - Transmission expérimentale de la maladie nécrotique de la tomate par pucerons

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    Les essais de transmission par pucerons du VMC, additionné de son ARN satellite à forte (5 μg/ml) ou très faible (5 x 10-6 μg/ml) concentration, à la tomate ont conduit aux conclusions suivantes : 1) Il n'existe pas de proportionnalité entre le taux de transmission assuré à partir d'une plante et sa concentration en particules virales infectieuses. L'espèce hôte joue par contre un rôle plus important au niveau de son efficacité comme source de virus. Ainsi, le melon constitue une source aussi efficace pour l'acquisition du VMC par les pucerons que la tomate ou le tabac bien qu'il soit moins favorable à la multiplication du virus. 2) La possibilité de transmission de l'ARN satellite avec les ARN du génome est liée à sa concentration dans les particules virales. Il est toujours transmis par les pucerons lorsqu'il a été abondamment répliqué dans la plante source (tomate ou tabac, 45 à 50 p. 100 de l'ARN viral encapsidé). Les tomates contaminées développent alors uniquement le syndrome nécrotique. Par contre, il peut ne pas être transmis s'il ne représente que 15 p. 100 environ de l'ARN viral encapsidé, puisque les tomates infectées extériorisent parfois les symptômes de filiformisme grave, caractéristiques de l'absence de réplication de l'ARN satellite nécrogène. Dans ce cas, les résultats diffèrent

    L'ARN satellite du virus de la mosaïque du concombre IV. - Transmission expérimentale de la maladie nécrotique de la tomate par pucerons

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    Les essais de transmission par pucerons du VMC, additionné de son ARN satellite à forte (5 μg/ml) ou très faible (5 x 10-6 μg/ml) concentration, à la tomate ont conduit aux conclusions suivantes : 1) Il n'existe pas de proportionnalité entre le taux de transmission assuré à partir d'une plante et sa concentration en particules virales infectieuses. L'espèce hôte joue par contre un rôle plus important au niveau de son efficacité comme source de virus. Ainsi, le melon constitue une source aussi efficace pour l'acquisition du VMC par les pucerons que la tomate ou le tabac bien qu'il soit moins favorable à la multiplication du virus. 2) La possibilité de transmission de l'ARN satellite avec les ARN du génome est liée à sa concentration dans les particules virales. Il est toujours transmis par les pucerons lorsqu'il a été abondamment répliqué dans la plante source (tomate ou tabac, 45 à 50 p. 100 de l'ARN viral encapsidé). Les tomates contaminées développent alors uniquement le syndrome nécrotique. Par contre, il peut ne pas être transmis s'il ne représente que 15 p. 100 environ de l'ARN viral encapsidé, puisque les tomates infectées extériorisent parfois les symptômes de filiformisme grave, caractéristiques de l'absence de réplication de l'ARN satellite nécrogène. Dans ce cas, les résultats diffèrent

    The cDNA of cucumber mosaic virus associated satellite RNA has in vivo biological properties

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    International audienceTwo isolates of cucumber mosaic virus (CMV)-associated satellite RNA, differing in their biological properties, have been reverse transcribed. One was able to induce the tomato necrotic syndrome whereas the other one attenuated fernleaf symptoms on tomato plants after co-inoculation with the helper virus. cDNAs representing partial or full-length copies have been cloned in the plasmid pAT153 and sequenced. The two RNAs showed a very limited number of variations (2 to 5 substitutions depending on the clones and a one base deletion). Full-length cDNA copies possessed the same biological properties that characterized the parent satellite RNA. Efficiency of the cDNA dependent upon its form in the inoculum (circular or linear plasmid or excised cDNA) and upon the form of the helper virus (viral RNAs or virions) with which it seemed to compete for installation and/or expression

    RECHERCHE DES DETERMINANTS MOLECULAIRES DU VIRUS Y DE LA POMME DE TERRE (PVY) IMPLIQUES DANS LE CONTOURNEMENT DE LA RESISTANCE DE LYCOPERSICON HIRSUTUM

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    LE VIRUS Y DE LA POMME DE TERRE (PVY), MEMBRE TYPE DU GROUPE DES POTYVIRUS, EST UN PATHOGENE MAJEUR AFFECTANT GRAVEMENT LES CULTURES DE TOMATE. DES CARACTERES DE RESISTANCE A CE VIRUS SONT EN COURS D'EXPLOITATION MAIS DES SOUCHES CAPABLES DE SURMONTER CES RESISTANCES ONT DEJA ETE IDENTIFIEES. UNE COMPARAISON DES PROPRIETES BIOLOGIQUES DE SOUCHES DE REFERENCE A MONTRE QUE LA SOUCHE LYE 84.2, ISOLEE DE TOMATE, EST LA SEULE SOUCHE CAPABLE DE CONTOURNER LA RESISTANCE DU GENOTYPE RESISTANT L. HIRSUTUM PI 247087. LA SOUCHE DONT ELLE EST ISSUE, LYE 84, INFECTE UNIQUEMENT LES TEMOINS SENSIBLES. UNE ANALYSE RT-PCR-RFLP DES DEUX GENOMES A MONTRE UNE TRES FORTE PARENTE MOLECULAIRE. UN ADNC INFECTIEUX DE LA SOUCHE LYE 84.2 A ETE PRODUIT POUR CONSTRUIRE ENSUITE DES VIRUS HYBRIDES ENTRE LES DEUX SOUCHES. DEUX STRATEGIES DE SYNTHESE D'ADNC ONT ETE DEVELOPPEES. UNE STRATEGIE DE SYNTHESE CLASSIQUE EN PRESENCE D'UN OLIGOD(T) A PERMIS D'OBTENIR UN CLONE CORRESPONDANT A L'EXTREMITE 3' TERMINALE DU GENOME. DES EXPERIENCES EN AMORCAGE INTERNE SUR LA MOLECULE D'ARN N'AYANT PAS ABOUTI, UNE SYNTHESE PAR AMPLIFICATION PCR A ETE EXPLOITEE POUR CLONER LE RESTE DU GENOME. LE GENOME A ETE CLONE EN DEUX MOITIES, DEFINIES PAR UN SITE CENTRAL ET UNIQUE BST XI. LE CLONE 5'LV32, CORRESPOND A LA MOITIE 5' CLONEE EN AVAL DU PROMOTEUR 35S DE LA TRANSCRIPTION. LE CLONE 3'LV12 CORRESPOND A LA MOITIE 3' CLONEE DANS LE VECTEUR PB1KS(+). LE PRODUIT DE LIGATURE IN VITRO DE CES CLONES DIGERES PAR BST XI A ETE INOCULE PAR BOMBARDEMENT A NICOTIANA CLEVELANDII. LES PLANTES ONT DEVELOPPE DES SYMPTOMES DE MOSAIQUE DIX JOURS APRES INOCULATION. DES TESTS SEROLOGIQUE (ELISA) ET MOLECULAIRE (RT-PCR), AINSI QU'UNE RETROINOCULATION SUR L. HIRSUTUM PI 247087, ONT PERMIS DE S'ASSURER QUE LA DESCENDANCE VIRALE PRESENTAIT LES CARACTERISTIQUES DE LA SOUCHE LYE 84.2. LA SEQUENCE DE LYE 84.2 EST CONSTITUEE DE 9700 NUCLEOTIDES ET CODE POUR UNE POLYPROTEINE DE 3062 ACIDES AMINES AU SEIN DE LAQUELLE LES DIX PROTEINES VIRALES ONT PU ETRE IDENTIFIEES GRACE AUX HOMOLOGIES AVEC D'AUTRES SOUCHES DU VIRUS. CES HOMOLOGIES INDIQUENT PAR AILLEURS UNE PLUS FORTE PARENTE AVEC LES SOUCHES ISSUES DE PIMENT QU'AVEC CELLES ISSUES DE POMME DE TERRE. LA PARFAITE HOMOLOGIE DES REGIONS CAPSIDE ET 3' NON CODANTE DES DEUX SOUCHES TOMATE INDIQUE QUE CETTE PARTIE DU GENOME VIRAL N'EST PAS IMPLIQUEE DANS LE CONTOURNEMENT DE RESISTANCE.RENNES1-BU Sciences Philo (352382102) / SudocSudocFranceF

    Creation de plantes transgeniques tolerantes au virus de la mosaique du concombre

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    National audienc

    L'ARN satellite du virus de la mosaïque du concombre. III. - La propriété de survie in vivo

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    L'ARN satellite du VMC (ARN-5) est retrouvé, biologiquement actif, plusieurs jours après son apport à une plante. Il ne s'accumule pas dans l'organe où il avait été apporté et ne migre pas à partir de cet organe. Cette propriété de survie a été établie selon deux méthodes : 1) Mise en évidence de l'ARN satellite dans un broyat de feuilles où il avait été antérieurement apporté ; 2) Inoculations, sur des feuilles d'étages différents d'une tomate, de l'ARN satellite et du génome viral. Cette dernière étude a été précédée par celle du mouvement, dans la tomate, du virus inoculé à un étage donné et donc, de la durée requise pour que les particules soient activement synthétisées dans les diverses parties de la plante. Les ARN-5 de type D (responsables du développement du syndrome nécrotique létal de la tomate) et de type R (inducteurs de la réduction des symptômes dus à l'infection par le génome viral chez cet hôte) présentent la même aptitude à survivre in vivo. La durée de survie de l'ARN-5 est de l'ordre de 25 j chez la tomate, 15 j chez le tabac et le concombre

    L’ARN satellite du virus de la mosaïque du concombre. I. - Comparaison de l’aptitude à induire la nécrose de la tomate d’ARN satellites isolés de plusieurs souches du virus

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    Des tomates infectées par le VMC extériorisent des symptômes de mosaïque et filiformisme ou de nécrose létale. Le développement du syndrome nécrotique est caractéristique de la présence d’ARN-5 (satellite du VMC) dans les nucléoprotéines. De plus, l’addition d’ARN-5 purifié à partir de différentes souches du virus (I17N, D, TL, S) à des isolats dépourvus d’ARN satellite et inducteurs de mosaïque et filiformisme (I17F, K, M) provoque le développement de la nécrose. Une souche particulière de VMC (la souche R), pourvue d’ARN-5, n’induit pas de nécrose chez les tomates qu’elle infecte. L’adjonction de cet ARN satellite aux génomes viraux I17F, K ou M se traduit par la réduction des symptômes de filiformisme résultant de l’infection par le seul génome viral. Ces résultats suggèrent l’existence de deux types d’ARN satellite se différenciant par leur aptitude à induire ou non la nécrose létale de la tomate. Lorsqu’ils sont simultanément présents dans l’inoculum, l’effet provoqué par la synthèse de l’ARN satellite nécrogène domine si sa concentration initiale est suffisante pour que toutes les tomates où il a été inoculé seul avec le génome viral se nécrosent.Tomato plants when infected with cucumber mosaic virus may develop mosaic and fern leaf symptoms or lethal necrosis. The necrotic syndrome is associated with the presence of RNA-5 (CMV-satellite) in the nucleoproteins. When added to different viral genomes (I17F, K, M) inducing fern leaf symptoms, RNA-5 of various strains (I17N, D, TL, S) provokes the development of typical necrosis on so infected tomato plants. A particular CMV strain (R strain) cannot induce the necrosis, although great amount of RNA-5 is synthesized on tomato. The inoculation of the genomes I17F, K or M with CMV-R satcllite RNA results in an important decrease of the symptoms of mosaic and fern leaf caused by the infection with the genome alone. These results suggest that there are two types of satellite RNAs differing by their capacity to induce the tomato necrosis. When they are present together in the inoculum, the plants essentially develop necrosis if the concentration of the " necrogen "satellite RNA is important enough to induce necrosis in all the tomato plants where it has been inoculated with the genome RNAs. In other cases, it seems that the two satellite RNAs may interfere
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